Nos belles retrouvailles
5 mai 2020Flore, 25 ans.
J’ai entendu la sonnette retentir dans l’appartement. J’ai sursauté, excitée comme une puce. Cela faisait plusieurs heures que je ne tenais plus en place et que je n’arrivais pas à me concentrer sur la moindre tâche que j’entreprenais. Je savais que l’avion de Gaëtan atterrissait à 19 heures à Paris et que son covoiturage devait le faire arriver entre 21 heures et 22 heures à Tours et le déposer devant notre superbe deux-pièces. Nous le louions depuis plusieurs années ensemble. L’horloge de la cuisine affichait 22 h 14, il était un poil en retard, mais ce n’était pas très grave, cela ne changeait rien à mes plans ! J’ai filé mettre mes talons hauts, j’ai rectifié une dernière fois mon maquillage dans le miroir du couloir et lui ai ouvert la porte. Quand il m’a aperçue, il n’a pu s’empêcher d’ouvrir grand la bouche, comme un poisson hors de l’eau. J’avais acheté une guêpière moulante, des bas qui remontaient jusqu’à mi-cuisse, et mes cheveux étaient remontés en chignon en laissant échapper quelques mèches rebelles. « Je n’ai pas commandé de pizza, vous devez faire erreur ! » lui ai-je dit amusée, en faisant mine de fermer la porte. Il m’a sauté dessus en riant et en bandant, d’après la bosse dure que je sentais peser contre ma cuisse. « Bonjour mon amour ! Qu’est-ce que tu m’as manqué ! » s’est-il écrié heureux et lui aussi très excité de me retrouver.
Je voyais qu’il voulait baiser, et j’avoue que moi aussi. Cette année d’abstinence a été très difficile à tenir, mais faire durer les quelques minutes qui nous séparaient de ce moment fatidique était pour moi un petit plaisir sadique. Je l’ai jeté contre le canapé et suis allée chercher deux coupes de champagne à la cuisine. « Alors mon amour, raconte-moi ton voyage dans les moindres détails ! » Il m’a raconté son stage, l’entreprise de tourisme, les collègues, les sorties, les restaurants… Plus il parlait et plus l’atmosphère devenait lourde, pesante ; je sentais qu’il avait vécu quelque chose de très fort et que la rupture avec ce monde avait dû être difficile. Quelle idiote j’ai été de l’avoir lancé sur ce sujet ! Il fallait que je lui fasse oublier l’Espagne au plus vite. J’ai fait sortir mes seins par-dessus ma guêpière noire et je les ai léchés juste devant ses yeux. Gaëtan s’est tu immédiatement, comme s’il avait vu un fantôme. Je retiré mes bas langoureusement, ainsi que mes talons. Gaëtan s’est déshabillé lui aussi, à la hâte, sentant que le moment allait venir. Ah les mecs, il suffit d’un peu de sexe pour leur faire oublier toutes leurs souffrances ! Gaëtan s’est approché de moi et a défait les quelques vêtements qui étaient restés sur moi, ainsi que mon chignon, laissant mes cheveux détachés encadrer mon beau visage. « Qu’est-ce que tu es belle, mon amour… » a-t-il soupiré en me prenant par le menton, puis en m’embrassant tendrement. Le contact de nos lèvres a éveillé une pulsion sexuelle en moi trop longtemps étouffée.
Je me suis allongée sur le sol, nue, et ai pris des poses aguicheuses. « Mon amour, tu seras la dernière merveille que je vais immortaliser de mon voyage ! » s’est soudain exclamé Gaëtan en allant chercher son appareil photo. Il me prenait sous tous les angles et s’excitait au fur et à mesure qu’il appuyait sur le déclencheur. Je voyais sa bite bien longue durcir de plus en plus. Qu’est-ce qu’elle m’avait manquée celle-là ! Ça faisait tellement longtemps que je n’avais pas sucé une queue, il fallait que je l’engloutisse sans plus attendre. Quand j’ai senti son gland chaud frétiller sur ma langue, je n’ai pu contenir un soupir de soulagement. Mmmmh… c’était trop bon ! « Mets-toi à quatre pattes mon amour, il faut que je te la mette ! » s’est tout d’un coup écrié mon Gaëtan, dont le romantisme semblait s’être soudainement évaporé. Je me suis mise en levrette, et il est venu m’embrocher. Il m’a secouée dans tous les sens, enfonçant son gros dard au plus profond de mes reins. Je sentais bien qu’il avait totalement perdu la maîtrise de son corps, abandonné à ses pulsions les plus sauvages. Un an sans baise nous laisse vraiment à notre état le plus animal. Il a joui, très rapidement, en moi. Un peu trop à mon goût. Voyant que je restais sur ma faim, il est venu me terminer à la langue, et nous nous sommes endormis, repus et heureux, dans les bras l’un de l’autre.
Aujourd’hui, nous nous rappelons toujours avec émotion de ces retrouvailles, et il m’arrive encore, certains soirs, de ressortir ma guêpière. Il me regarde alors avec un peu de nostalgie, l’air grave, se rappelant certainement de sa belle aventure espagnole…
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« Le premier était allongé le dos sur le tapis du salon et je me suis allongée aussi, mais sur lui. Comme ça, il avait mon cul contre sa bite. Il s’est frotté un peu sur mon fion, puis il m’a prise par la chatte. Il l’avait encore plus grosse que tout à l’heure, quel kif. Je couinais super fort, tant pis pour les voisins ! Au-dessus, Jérem se branlait, puis il s’est mis sur moi. Il n’a pas pu la rentrer en entier, juste le bout, mais c’était trop bon quand même. »Gwen, 20 ans.
« Je mouillais avant même qu’il sonne chez moi, et à ce stade de la soirée, mon vagin dégoulinait à grandes eaux. Thomas a récupéré un peu de ma cyprine pour en mettre sur son sexe et m’a enfoncé sa bite au plus profond de moi. Nous faisions l’amour les yeux dans les yeux, nos deux cœurs battants. C’était à la fois romantique et très fougueux ! » Mylène, 28 ans.