Offerte à un passant

Je m’appelle Éve, j’ai 26 ans et je vais vous raconter mon histoire de sexe.

Avec mon mec, Félix, on prenait l’air dans notre commune pendant le second confinement. C’était un peu morose et il faut dire qu’on s’emmerdait un peu à la maison, coincés entre quatre murs. D’autant que nous avons l’habitude de faire la fête et de nous marrer à plusieurs, notamment sur le plan sexuel. C’est alors qu’il est arrivé un truc inattendu. En bordure de la rivière qui coule aux abords de la ville, nous avons vu un jeune type d’à peu près mon âge, dans sa vingtaine, tout jeune et très mignon. Et le bougre, assis sur un banc, avait sa bite à la main et il était en train de s’astiquer ! Certains n’ont pas peur de vivre dangereusement, ni de se prendre une amende…

J’ai regardé Félix et étouffé un rire. Le jeune type, hyper gêné, a sursauté en remballant son paquet. “Oh t’inquiète pas, c’est pas nous que tu vas choquer !”, a dit mon mec. “Alors comme ça, le confinement est solitaire ?” ai-je lancé, avec un côté allumeuse qui s’était direct allumé. Il a répondu qu’il était chez ses parents et qu’il était mal à l’aise pour se soulager sous leur toit. Mon mec m’a regardée en n’en pensant pas moins. Nous lui avons proposé de faire un bout de chemin avec nous. Le pauvre était tout rouge mais il ne perdait pas le nord : il n’arrêtait pas de loucher sur moi, le coquin ! Ça avait tendance à me mettre le feu au cul, tiens !

Imperceptiblement, nous nous sommes rapprochés de notre appartement et, une fois en bas, nous avons invité l’inconnu, qui s’appelait Ludo, à grimper dans notre chez-nous. Il nous a suivi, un peu timide mais fort intrigué. Il n’arrêtait pas de mater le cul en montant les escaliers. “Sois patient…” a murmuré Félix. Arrivés chez nous, nous n’avons pas traîné pour faire honneur à l’invité. Nous avions vraiment besoin de nous envoyer en l’air avec un peu de piment pour rompre l’ennui de cette quarantaine imposée.

Surtout que Félix adore me voir prise par un autre, c’est vraiment son truc ! Et ce n’est pas pour me déplaire car à chaque fois que je me tape un nouveau mec, j’ai l’impression que ça me rapproche de lui. J’ai un corps vraiment canon et il adore me prendre en photo en pleine action. C’est ce qui s’est passé ce jour-là. J’ai entraîné le jeune et beau Ludo dans la chambre et, sous ses yeux ébahis, je me suis désapée en mode chaudasse. Le gars a vite capté que c’était son heure de chance ! Il n’allait pas la laisser passer comme ça. Il s’est empressé de se désaper à son tour.

Comme il s’était déjà branlé auparavant et qu’il m’avait zieutée tout le long de notre balade, le bougre était dur comme un parpaing. Je l’ai allongé sur le lit pour gober sa belle épée dressée en l’air. Miam, elle glissait parfaitement dans ma bouche comme dans un fourreau. Félix nous prenait en photo, ce gros voyeur cochon ! Je me donnais encore plus sous l’objectif de son appareil photo. L’inconnu est venu sur moi pour me léchouiller les tétons, ce qui a le don de me faire décoller direct.

Je lui ai dit de me prendre en levrette illico, car j’étais trop assoiffée de cul. Il est venu s’encastrer derrière moi et qu’est-ce que j’ai pris ! Son sexe me labourait le minou et en même temps, c’était comme une caresse que ce frottement interne de nos chairs sous le regard ravi de mon chéri. Rien n’est meilleur qu’un homme qui vous ramone avec un beau membre qui ne faiblit pas, ni en fermeté ni en rythme.

Félix sait que j’aime ça et il regardait mon visage émettre des sons de plaisir de plus en plus aigus. On a continué debout sur le pieu, moi contre le mur, jambes écartées, lui en train de faire entrer à nouveau son glaive dans ma chatte transformée en avaleuse de son grand sabre ! J’offrais le spectacle de ma paillardise à mon mec en même temps, lui qui était tout excité de me voir malmenée de la sorte par un simple passant que nous ne reverrions plus jamais (c’était notre règle). J’ai fini accroupie sur sa bite en Amazone inversée, à jouer au tape-cul sur son chibre. Le gars n’avait rien à faire, je prenais tout en charge et me servais de lui comme d’un jouet érotique entièrement dédié à ma satisfaction !

Mais lui était bien content aussi, vous pensez ! J’ai achevé de rebondir sur son érection dressée en épuisant ma chatte dessus. J’ai senti un puissant orgasme m’envahir et me transformer en créature bestiale, mon mec photographiant cet instant de grâce, et notre passant en profitant pour lâcher son foutre tout en fixant mon cul comme il l’avait fait dans les escaliers.

Je peux vous dire que le mec était refait après ça, et que cette histoire lui donnera matière à branlette pour toute la durée du confinement !

A LIRE AUSSI : 

Déjeuner voyeuriste

Premier trio 

Un jeu de rôle à quatre