Oh Marie, si tu savais…
27 février 2020Jean-Pierre, 25 ans
Je m’appelle Jean-Pierre, j’ai 25 ans, j’adore votre revue, c’est pour cela que je veux également faire partager une de mes expériences aux autres lecteurs. Il y a quelques années, j’étais étudiant et célibataire, j’habitais encore chez mes parents. Nous vivions dans un petit immeuble de six appartements en Seine-Maritime, et tous les locataires se connaissaient. Ma mère était la nounou d’un des deux enfants de la voisine du dessous. Elle s’appelait Marie, petite femme de 35 ans mesurant 1m60 environ, cheveux châtain courts, et un beau corps qu’elle savait mettre en valeur par moments !
Un samedi soir de juillet, mes parents et moi étions allés à un buffet dansant avec nos voisins. Marie et son époux nous avaient invités, car ma mère leur rendait service. Lui faisait partie du comité qui organisait l’événement, qui devait se terminer vers six heures du matin (cette information est importance pour la suite de l’histoire).
Pendant la soirée, Marie m’avait invité à danser un slow (son mari était occupé dans ses obligations de co-organisateur). Elle était habillée d’une robe d’été plutôt légère avec des chaussures à talons hauts. Vers une heure du matin, j’avais décidé de rentrer à la maison, je m’ennuyais, la musique n’était pas du tout de mon âge. Je suis reparti à pied, nous habitions à environ cinq kilomètres. Je n’en avais pas parcouru la moitié qu’une voiture s’est arrêtée à ma hauteur. C’était Marie, qui me demandait si je voulais qu’elle me ramène. Elle aussi rentrait, elle ne supportait plus la musique qui était trop forte, ça lui avait donné des maux de tête ! En plus, son mari était obligé de la laisser pour s’occuper du buffet et du bar, ça n’arrangeait rien !
Quand nous sommes arrivés à la maison, je lui ai donné un coup de main pour rentrer sa voiture au garage, elle m’a confié les clés pour que je lui ouvre les portes. Quand je me suis dirigé vers la sortie, une idée tordue m’est venue à l’esprit. J’ai fait semblant de ne pas réussir à la déverrouiller. Elle est descendue de la voiture et m’a lancé en rigolant : « Tu as deux mains gauches ? » Mais moi, je savais qu’elle retournerait ensuite à la bagnole, et que les phares me laisseraient entrevoir sa silhouette (quand je vous disais que j’avais une idée tordue)… Je me suis rincé l’oeil, c’était agréable. En remontant les escaliers vers l’appartement, elle m’a demandé si j’avais quelque chose pour soigner les maux de tête. Je lui ai proposé de lui ramener une infusion chinoise de ma mère. Elle m’a invité chez elle pour y prendre une tasse ensemble, ce que j’ai accepté sans arrière-pensée.
Nous nous sommes installés dans son salon et, pendant que l’eau chauffait, nous avons parlé des points positifs ou négatifs de la soirée. À un moment, la conversation s’est orientée vers un sujet intéressant. Elle a murmuré : « C’est dommage… » Je lui ai demandé quoi. Elle a poursuivi : « …que je n’ai pas quinze ans de moins ! Tu aurais terminé dans mon lit ce soir ! » J’ai été agréablement surpris de savoir que je lui plaisais, et j’ai répliqué : « Moi, ça ne me dérange que tu aies quinze ans en plus, ni que tu sois mariée, je ne suis pas jaloux ! Je ferais bien l’amour avec toi, surtout que se retrouver seuls ensemble pendant plus de quatre heures, ça ne se représentera sûrement jamais ! » Je lui ai fait remarquer que la semaine d’avant, elle était montée voir ma mère, habillée d’une minijupe écossaise, de bottes couleur crème, et que je n’étais pas resté insensible à sa tenue hypersexy.
Elle s’est levée sous prétexte d’aller voir si l’eau était chaude. Pendant ce temps, je repensais à la conversation que nous venions d’avoir. J’envisageais d’ailleurs de m’excuser pour mes propos. Quand elle est revenue, au bout de dix minutes, à ma grande surprise, elle s’était habillée comme la semaine d’avant. Là, il n’y avait plus aucun doute, c’était une invitation à la baise. Je me suis dirigé vers elle et je l’ai plaquée contre le mur. Je l’ai embrassée à pleine bouche, j’ai passé une main sous sa jupe. De l’autre, je lui pelotais les seins. De son côté, elle procédait à l’exploration de mon pantalon qui laissait apparaître une grosse bosse. Je l’ai couchée à plat ventre sur la table de la salle à manger afin de la prendre par-derrière (au préalable, j’avais enfilé le préservatif que j’ai toujours sur moi) et je l’ai pénétrée. Quel bonheur !
Après, nous nous sommes assis sur divan où nous avons continué à nous tripoter. À un moment, elle adirigé son visage vers ma bite. Je lui ai fait remarquer que je n’avais plus de préservatif, mais apparemment, ce n’était pas un obstacle à ce qu’elle envisageait. Elle a englouti ma bite dans sa bouche en me malaxant les couilles. Elle me surprenait de plus en plus, moi qui la prenais pour une mère de famille casée et prude. Nous nous sommes retrouvés en 69, je lui ai bouffé l’abricot, et je l’ai sodomisée avec deux doigts préalablement trempés dans sa chatte. Puis, je lui ai dit de faire attention, que j’allais éjaculer.
Mais, à ma grande surprise, elle a accéléré de plus belle les va-et-vient sur ma bite. Moi, je m’activais de mon côté, alors je n’ai plus pu me retenir, et j’ai envoyé la purée dans sa bouche. Elle n’a rien laissé. Nous sommes restés ensemble jusqu’à cinq heures du matin. Elle m’a avoué qu’elle n’avait jamais fait ça avec son mari, et qu’elle avait pris son pied. Pendant plusieurs mois, on se voyait, quand son homme était au travail et les enfants à l’école.
Elle prétextait auprès de ma mère d’avoir besoin de mes services pour une fuite d’eau, un problème électrique, etc. Malheureusement, son époux a été muté. Je l’ai revue il y a quelques mois, elle mariait son aînée et nous avait invités, mes parents, ma femme et moi. Malgré la présence d’autres personnes à proximité, elle m’a fait un clin d’oeil avec un petit sourire au coin des lèvres…
(Image à la une : Getty Images)
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« Catherine est venue engloutir ma bite dans sa bouche pendant que JM nous titillait le petit trou. Alors je me suis lâché et j’ai branlé la queue de Jean-Marc. »Sydney
» D’un doigt, elle a commencé à jouer avec son clitoris pendant que de son autre main, elle se tripotait les nichons. « Viens, m’a-t-elle encouragée, aide-moi à jouir ! » J’ai pris mon courage à deux mains et ai enfoncé deux doigts en elle, bien profondément. Je l’ai fait gémir tellement fort que j’avais peur qu’elle alerte les voisins. » Adrien
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Sam Ouattara
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