Marocaine brûlante
8 février 2019Alain, 30 ans, Région Centre
Il y a quelques temps, je suis sorti avec une jeune Marocaine et j’avais envie de vous en parler. J’avais rencontré Safia lors d’un séjour à Marrakech. Elle travaillait dans l’hôtel où j’étais descendu et nous avons eu une idylle torride pendant une semaine. Elle n’était pas mariée et voulait conserver sa virginité, en même temps elle respirait le sexe et semblait avoir déjà eu pas mal d’expérience. Nous nous roulions des pelles passionnées dans des ruelles sombres et ses longs cheveux bruns caressaient mon visage, tandis que ses mains étreignaient mon torse avec sensualité. Quand je l’ai invitée à monter en cachette dans ma chambre, elle était un peu embarrassée. Elle avait très envie de moi, me disait-elle, mais elle devait garder son hymen intact. Tiraillée entre le poids de sa culture et son désir de ne pas se soumettre aux normes patriarcales de son pays, elle avait entamé une sexualité assez épanouissante et faisait déjà beaucoup l’amour, mais pratiquait uniquement le sexe oral ou anal. Je lui ai dit que c’était un peu idiot, mais elle m’a rétorqué que c’était ainsi et que je ne pouvais pas parler à la place des concernées, que c’était comme cela qu’elle avait choisi de vivre sa vie sexuelle tout en attendant de trouver un mari. Nous étions donc dans la chambre d’hôtel où, brûlante de désir, elle a commencé à lécher mes doigts un par un et à les mettre dans sa bouche pour les sucer. Elle m’a aussi laissé frotter son clitoris avec mes doigts et j’ai doucement appuyé sur ce bouton dur avec des gestes circulaires, tantôt lents, tantôt rapides. Ma langue se mêlait à la sienne et mon autre main plongeait dans sa chevelure parfumée. J’avais très envie d’elle et la promesse de son cul offert me laissait pantelant de désir.
Safia a déboutonné mon jean pour se mettre à caresser mon membre. Dans ses mains délicates qui montaient et descendaient sur elle, ma queue s’épanouissait de plus en plus, comme une fleur au soleil. Elle a craché dessus pour la mettre dans sa bouche et me sucer très délicatement. Je brûlais de désir et enfouissais mon visage dans son cou hâlé pour respirer son odeur et mordre sa peau. Puis elle s’est dévêtue et s’est trouvée nue devant moi. Elle m’a laissé promener mes mains partout sur son corps pendant que je gardais une forme de supériorité de par mon habillement. J’ai commencé à me diriger vers son postérieur charnu, à la peau tendre, un peu flasque et douce en même temps.
J’ai malaxé ses fesses pour bien les détendre tout en la prenant dans mes bras. Puis elle s’est allongée sur le ventre pour se laisser aller à mes caresses. Sa cascade de cheveux bruns tombait sur son dos mat, et son cul large et appétissant m’offrait un espace de jeu extraordinaire. J’ai humidifié mes doigts pour titiller son anus. Elle relevait un peu le bassin pour que je puisse continuer à caresser son clito par en dessous pendant que, de l’autre côté, j’enfonçais un premier doigt dans son trou serré.
Elle a tressailli et a bougé un peu les fesses pour mieux me recevoir. Je la sentais s’ouvrir sous la pression, pendant que la caresse de son clitoris répandait des ondulations sur son bas-ventre. Elle bougeait d’avant en arrière comme une furie pour recevoir les deux pressions. J’ai glissé un deuxième puis un troisième doigt dans son cul, humidifiant son anus régulièrement en donnant des coups de langue dessus pour bien le lubrifier. Je me suis dévêtu à mon tour. Quand son souffle est devenu vraiment haletant et qu’elle m’a supplié de la prendre, j’ai encore joué l’attente en posant mon gland à l’entrée de son trou et en jouant avec, frottant son bout contre cet endroit de chair si intime. Safia tremblait d’excitation et bougeait les fesses pour que je la prenne enfin. J’ai commencé à tremper le bout de ma verge tout doucement dans son cul et j’ai senti que toute sa tension était relâchée. Son boule se dévoilait comme une antre magique et étroite dans laquelle j’allais me faufiler.
Elle a poussé un râle profond sans cesser de bouger ses fesses, entrées en transe. Ma tringle frappait dans son petit trou, frottait les parois, chauffait de plaisir à son contact de velours. Safia m’a relayé sur son clito et s’est branlée tout en me demandant d’accélérer. Je sautais son cul magnifique qui bougeait comme un être à part entière, habité, enivré par ma pénétration. Cette vue vertigineuse et la sensation étroite de la sodomie m’ont fait décharger en elle, la remplissant de mon sperme, tandis qu’elle achevait de se branler tout en profitant des dernières pressions de ma bite dans son cul, jusqu’à jouir à son tour.
Je n’oublierais jamais son visage de profil pendant que je la sodomisais, crispée dans son délire, le cheveu fou et la peau qui envahissait tout mon champ visuel. À ce moment, j’aurais presque pu la demander en mariage.
(Image à la une : Getty Images)
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