La chatte baveuse
27 septembre 2023Hakim, 27 ans, rencontre une Belge en chaleur qui lui a offert une pipe dans les toilettes avant de rejoindre la chambre pour se faire limer la chatte.
Depuis quelques années, le football est aussi une histoire de femmes. J’ai pu le vérifier le sept octobre deux-mille-vingt-et-un à Turin lors de la demi-finale de la ligue des Nations qui opposait la France et la Belgique. Après le match, je suis allé dans un bar, il y avait là des Français comme moi et de nombreux Belges, tous en train de trinquer gaiement, les supporters des diables rouges pour oublier, sans doute, ceux des bleus pour fêter l’accession à la finale. Mais une silhouette se détachait nettement de cette masse de mâles, celle de Béatrice. Croc-top carmin hyper court dissimulant difficilement une paire de seins magnifique, petit short jaune et hauts talons noirs, aux couleurs du plat pays, elle se déhanchait en rythme sur « I will survive » ! Voici mon histoire de sexe !
Une pipe bien taillée
Dix minutes plus tard, nous étions dans les toilettes du café, mes mains caressant ce corps de fou, elle me débraguettant à la hâte pour me sucer avec une voracité qui n’avait d’égal que le talent de la belle à m’avaler tout entier au fond de sa gorge. Elle ressortait alors ma queue pour mieux cracher dessus et me pomper à mort de nouveau, frottant l’intérieur de sa joue sur mon gland déjà prêt à exploser.
Je ne pouvais pas me résoudre à baiser ce canon dans les chiottes d’un bar turinois. Je l’ai arrêtée en pleine action, j’ai bien cru qu’elle allait me gifler tant elle était frustrée. Je l’ai invitée dans ma chambre, la sienne était plus
proche, nous nous y sommes rendus en courant. Elle a ôté ses chaussures et tout ce qu’elle portait en bas, cul et chatte à l’air, elle s’est remise à danser, j’avais mon téléphone à la main, je me suis accroupi et, en adoptant l’accent italien, j’ai commencé à la prendre en photo en lui disant « Vas-y, regarde l’objectif, fais l’amour à la caméra,
donne-moi tout ! »
Elle a ri de bon cœur et ses ondulations se sont faites plus lascives, elle a commencé à jouer avec son sexe, écartant ses lèvres pour m’offrir un panorama imprenable sur son intimité, tournant sur elle-même pour me montrer son cul sublime. Je me suis déshabillé, je bandais non-stop depuis les toilettes, malgré notre course folle à travers les ruelles. Béatrice m’a directement ressaisi en bouche et sa pipe a redoublé d’intensité. Du bout des doigts elle me branlait la base de la bite et je voyais ses joues se creuser tant elle m’aspirait comme si elle voulait me vider de toute ma substance.
Sa salive abondante formait une mousse dans laquelle mon gland baignait avec béatitude, elle m’a fait jouir sans que je puisse maîtriser quoi que ce soit pour me retenir. Pas une goutte de mon foutre ne lui a échappé, elle a tout avalé et m’a souri tout en continuant à me masturber.
Une chatte assoiffée
Aucune baisse dans mon érection ! Béatrice avait une façon de me caresser la hampe par en dessous tout en me griffant les couilles, je suis resté au garde-à-vous tout en sentant le sang pulser douloureusement dans mon sexe.
Elle s’est basculée en arrière, les jambes relevées et le cul posé pile dans l’angle du matelas épais. Sa chatte était épilée sauf un minuscule toupet taillé à ras, sa peau avait presque la chair de poule et était brillante de mouille.
Je me suis penché pour la fignoler, elle m’a repoussé avec le bout de ses orteils. « C’est ta queue que je veux en moi, tu as toute la nuit pour me lécher mon petit cœur ! » J’adore donner d’interminables cunnis et ma bite était à peine remise de ma première éjaculation, mais je me suis empressé d’obéir. Sa chatte était comme un fourreau chaud et très serré, mais la maline, m’ayant bien vidé quelques minutes auparavant, savait que j’étais apte à tenir longtemps.
Et heureusement ! Je n’ai jamais vu femme aussi lente à jouir !
Elle en voulait toujours plus, surtout que ma cadence de coups de reins soit la plus rapide possible ! Deux heures de match, debout dans les tribunes, m’avaient déjà donné mal aux jambes, cet assaut m’a achevé ! Il m’a fallu plus de trente minutes d’un limage forcené pour parvenir à voir ses yeux se révulser et lui arracher un furieux cri de satisfaction suivi, cela n’a pas été sans m’étonner, d’un fou rire inextinguible.
Elle a ouvert deux bières, toujours en riant, nous avons trinqué et elle a enfin retiré son soutien-gorge, libérant deux joyaux que je n’ai même pas pensé à photographier ! Elle s’est lovée sur le lit, son mètre quatre-vingt était encore plus impressionnant ainsi à l’horizontale, ses longs compas se sont écartés, l’heure de la minette avait sonné. Toute la nuit, cette Wallonne m’a épuisé d’amour et de sexe bestial, je suis reparti au petit matin, la France a perdu la finale, mais bizarrement, je n’en avais rien à faire !
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