Pique-nique

La rédaction 6 avril 2021

Les beaux jours reviennent et Patricia, 42 ans en profite pour une session de baise en extérieur.

Pique-nique histoire érotique

Depuis quelques temps déjà, mon ami Noël m’avait émoustillée, me disant que « nous » pourrions écrire à interstron.ru nos dernières aventures. Nous, donc pourquoi pas moi ? C’est lui qui m’a fait découvrir interstron.ru, que je porte au pin(e)acle ! Il n’arrête pas de me dire que les récits des femmes sont plus « duende ». C’est son mot, pour signifier qu’elles vont droit au but, qu’elles sont moins tordues, plus franches du collier que les hommes. J’adore lire nos aventures dans interstron.ru, elles boostent notre libido ! Comme Noël, votre revue m’a conquise, parce qu’elle sait m’exciter. « Rapports amoureux » : quelle belle devise ! Toutes les femmes et les hommes, invités à jouir sans faux-fuyants : un programme alléchant ! Je profite que Noël soit sorti pour prendre la plume. Votre dossier sur les caresses me pousse à ajouter mon grain de sel, voici mon histoire de sexe.

Il y a un an, Noël vous a raconté comment je lui avais rasé les couilles, le pubis, le pourtour du cul, et comment ma moule, ma chatte, ma raie bien fournies s’étaient elles aussi retrouvées aussi nues qu’à ma naissance ! J’aime tant ébouriffer ma toison, sentir le souffle d’un sèche-cheveux ou de mon homme sur elle, ou la brosser ! Elle a si bien repoussé que je peux faire des nattes et les enrouler autour de mes doigts ! Je suis si heureuse de voir que la mode des chattes poilues revient ! J’ai l’impression qu’à se raser une ou deux fois l’an, le poil devient plus épais. Déjà, je commence à mouiller, m’imaginant me branler face au miroir, comme cela m’arrive, avec un doigt ou un gode vibrant écartant cette forêt !

Nous avons expérimenté la nudité quelques jours à la maison, aussi bien à table qu’en faisant la lessive ou le ménage, et nous avons assez rapidement compris pourquoi les sous-vêtements et les vêtements ont été inventés. Il faudrait vivre nu dehors. Mais, à la maison, en tout cas, c’est vite plan-plan, asséchant pour moi, et débandant pour lui. Quel plus grand plaisir, en effet, après s’être embrassés, caressés, que d’ouvrir une braguette, de se frôler, de s’enfoncer dans les fesses de son homme à travers son bermuda, puis de le baisser ?

L’une de mes plus grandes joies est de trouver sa queue molle, puis de flatter et soupeser ses couilles. Et, avant qu’il ne bande, je presse sa bite entre mes lèvres. Je la prends entre mes mains, je la branle. Parfois, je la décalotte délicatement, je passe le gland contre mon aine, mes cuisses ou mon aisselle. Je la pose sur mes lèvres ouvertes, puis dans ma bouche jusqu’à ce qu’elle s’y érige…

J’ai récemment discuté avec une copine de nos mecs et de nos petits vices. De fil en aiguille, nous avons parlé d’épilation et de porno, et elle m’a prêté « Le sexe qui parle », un film avec une vraie intrigue, des moments chavirants. Au final, un truc hilarant avec des chattes fournies !

Quel plaisir de voir des mecs plus ou moins bien bâtis, poilus partout, pas des bêtes à concours, avec des sexes « nature » et non « de synthèse » baiser ces filles; ces gros plans naturels sur une chatte « filmée » de l’intérieur qui voit un doigt ou une queue l’enfiler, et qui parle ! Moi qui ne suis pas très portée sur le porno rasant et rasé, j’avoue que j’ai bien rigolé ! Aussi détendue qu’excitée par ce film, je me suis branlée devant l’écran. Noël m’a trouvée en rentrant, jupe relevée, me touchant la chatte, aussi velue que celle que je regardais, au moment où l’héroïne donne un cours de langue !

J’avais mon gode couleur chair à la main. J’en avais éteint les vibrations, préférant la simplicité d’un va-et-vient nature. Noël est arrivé pile au moment où, entourée de deux mecs dans un cinéma porno, l’héroïne, n’écoutant que sa chatte, dégoupille deux queues flagada et savoure avec ses paumes leur contact. Bientôt, elle les entraîne aux toilettes et déboutonne son imperméable, sous lequel elle est nue. Assise sur un petit vase qui recueille les eaux, elle est emmanchée jusqu’à la garde. Le pire, c’est qu’en arrivant, Noël a pris un air distrait, a jeté un oeil sur l’écran, m’a claqué une bise sur la bouche et m’a dit : « Salut, tout va bien ? », comme si je faisais des mots croisés ! Il a filé à la douche. Dix minutes après, il est revenu, s’est assis à côté de moi, et m’a dit : « Oh! Excuse-moi, j’avais pas vu que tu te branlais ! » J’ai repassé la scène de la nana douillette sur son trône en faïence, aux anges, qui reçoit par-derrière une queue, sa bouche savourant l’autre. « Superbe! On dirait qu’elle sirote son apéro en rêvant », a-t-il commenté. J’ai pris l’une de ses mains, je l’ai posée sur le gode. Assurée qu’il le maniait bien, je l’ai embrassé, j’ai caressé ses lobes d’oreille si sensibles (pour ajouter ma touche au dossier d’Union), j’ai passé mes doigts sur son torse et je suis descendue jusqu’à son pubis. J’ai tâté à travers son short, puis j’ai écarté l’élastique. J’ai glissé une main et j’ai commencé à le branler. Le gode allait et venait, de plus en plus rapide. Bientôt, nous nous sommes emboîtés. Sa queue dans ma chatte, j’ai ouvert grand les cuisses et j’ai joui. Je lui ai demandé de venir à son tour, et j’ai eu le plaisir de sentir son jus lancé en avant, dans mon vagin ! Un délice !

Quand il a été remis, je lui ai rappelé notre unique expérience de baise en extérieur. J’ai vu sa queue grossir à nouveau dans ma main ouverte. En la serrant, je lui ai demandé s’il n’aimerait pas refaire une sortie écolo ! Quelques jours plus tard, nous préparions notre panier de pique-nique. Noël a ouvert la commode et en a extrait un double gode-ceinture bleu, encore « innocent ». Il a caressé mes seins avec, ce qui m’a donné l’idée de prendre dans le tiroir de la table de nuit mes clips, de petits entonnoirs qui, fixés sur mes tétons, s’insinuent dans son cul. Je les ai fourrés dans le panier-repas, sous des bananes et des branches de céleri taillées et épluchées par mes soins! Sans être militants au grand coeur, il nous a semblé judicieux de choisir une clairière à peine cachée par des fougères, en retrait de quelques dizaines de mètres d’un noeud de chemins forestiers assez fréquentés.

La couverture étalée, nous n’avons pas attendu une seconde! Noël a glissé ses mains dans mes cheveux, m’a susurré à l’oreille qu’il n’était pas juste que ma toison et ma vulve ne profitent pas du soleil. Il a plongé ses doigts dans ma culotte sous ma jupe, a fait glisser celle-ci. Il a caressé mes cuisses que j’ai écartées, les rayons du soleil sur ma chatte m’ont fait oublier toute retenue. J’ai plongé ma bouche dans la sienne, et nous nous sommes déshabillés sans hâte, comme si nous étions au pied de notre lit. J’ai voulu explorer son fondement la première.

« Je pourrais faire des allers et retours dans ta chatte et ton cul!, m’a-t-il proposé. — « Ce genre de galanterie me touche », ai-je répondu, mais j’ai ajouté que s’il cherchait à gagner du temps, c’était en vain, que j’allais lui foutre, quoi qu’il arrive, le gode azur dans le cul. Je lui ai demandé de branler ma chatte, puis de m’attacher le jouet. Il a placé la partie bien épaisse dans ma chatte, a fixé la ceinture, a embrassé mes fesses, a salivé sur mon petit trou. Puis il m’a présenté son cul, je l’ai léché, et j’ai posé le gode sur sa rondelle. Alors que, peu à peu, le phallus de latex progressait dans son boyau, l’autre partie bourrait sans la tyranniser ma foufoune bien humide. Là, nous avons entendu un bruit de voix à proximité. Excités par cette présence, nous nous sommes immergés dans le plaisir. Me saisissant de la queue de Noël, je lui ai défoncé son petit trou et, lorsqu’il a lancé sa crème, nous n’avons pas pris la peine d’étouffer nos « haaa » et nos « hoo » ! Nous nous sommes reposés un moment puis, enlacés en 69 sur la couverture, Noël a sucé mon gode bleu, et j’ai pris sa queue entre mes lèvres. Ranimé, il a baisé mon cul et y a fourré sa langue. Il a détaché le double gode, m’a donné à sucer la partie qui avait pénétré ma chatte. Bientôt mouillée, j’ai caressé mon dito. J’étais en levrette, les cheveux en bataille, et Noël passait de mon cul à ma chatte. Nous avons joui une nouvelle fois. Des promeneurs pouvaient nous voir.

Tout ceci nous avait mis en appétit. Quand j’ai tendu une branche de céleri à Noël, il me l’a fourrée dans le cul. Puis, nous l’avons croquée à tour de rôle. Le céleri nous a mis en forme. En souvenir de la première fois, j’ai proposé à Noël de mieux faire, avec trois bananes. Nous les avons pelées. J’en ai glissé une dans ma chatte, je l’ai fait aller et venir, et j’ai mis l’autre dans mon anus. La troisième, c’était pour le trou de balle de Noël. « On va se régaler ! — Serre un peu les fesses comme moi, nous ferons la toilette », lui ai-je dit. Les bananes se sont écrasées dans nos intimités, et nous nous sommes nettoyés à grands coups de langue !

Quel délice de se lécher le cul mutuellement! Puis, Noël a voulu s’occuper de mes seins. Il les a sucés, pressés, puis a orné mes tétons des petits clips en caoutchouc que nous avions apportés. Il s’est tourné, a levé les fesses, j’ai introduit un doigt dans son anus, puis je lui ai enfoncé mes petits clips. J’ai alterné l’aréole gauche avec la droite. Comme dans certains courriers de femmes d’interstron.ru qui enfoncent leurs seins dans une vulve, branlent leurs tétons dans une chatte,  cette plongée dans son trou du cul, alors que je faisais sortir mon clito, était exaltante! J’en ai profité pour prendre à pleines mains la bite de Noël et je l’ai branlé. Son cul était au zénith, j’ai enfoncé comme un entonnoir mes bouts de seins en caoutchouc sur plusieurs centimètres. Bientôt, j’ai ôté les clips et j’ai plongé mes tétons dans sa rondelle humide. Quelle sensation de bien-être ! Puis, Noël s’est tourné, a embrassé mes seins, les a malaxés. J’ai ouvert mes cuisses en grand et nous avons baisé. Ma chatte était sensible sur chaque millimètre, jusqu’au fond du vagin… Nous savourions le plaisir d’être nus dans la nature, nos mains posées sur nos poitrines, sans aucune gêne d’être vus.

Je vous promets de vous raconter d’autres expériences. Pour l’instant, je suis satisfaite de faire parvenir aux lecteurs et lectrices d’interstron.ru mon premier courrier et nos pas encore tâtonnants de baiseurs comblés dans la nature.

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