Le prof de guitare

La rédaction 8 janvier 2021

Alicia, 23 ans, rencontre un prof de guitare très à son goût et décide alors de prendre des cours très particuliers avec lui…

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Depuis toute petite je rêvais de prendre des cours de piano et de laisser courir mes doigts sur les touches blanches et noires avec maîtrise et souplesse, reproduisant les mélodies des compositeurs que j’aimais tant.

Un jour, mes parents ont enfin accepté de mettre la main à la poche et de m’offrir pour mes 23 ans un piano électrique. Ravie, je me suis rendue dans le magasin d’instruments le plus proche de chez moi pour faire du repérage.

C’est là que j’ai rencontré Xavier, un bel homme qui devait avoir une dizaine d’années de plus que moi, et qui, s’adressant au vendeur, lui a lâché qu’il était aussi prof de guitare. Ses mains longues et fines et sa touffe de cheveux rousse m’ont immédiatement fait chavirer. Plus que d’un piano, c’est le fantasme d’être la compagne d’un artiste qui accaparait le plus mes pensées.

Dans un moment d’extrême témérité, je me suis approchée de lui et lui ai demandé ses tarifs. « Je débute, mais jouer de la guitare a toujours été mon plus grand rêve » lui ai-je même menti pour appuyer ma motivation. Il m’a regardée en souriant et m’a laissé sa carte.

Je l’ai recontacté le soir même et quelques jours plus tard il était dans ma chambre, prêt à me donner ma première leçon. Je vous passe toutes les négociations que j’ai dû engager avec mes parents (j’habite encore chez eux) pour leur faire comprendre que je laissais tomber le piano pour la guitare et que je préférais qu’ils m’offrent les cours.

Ils se sont contentés de lever les yeux en ciel en accusant mes changements hormonaux dus à l’adolescence. Pas facile de faire comprendre à ses parents que l’on est plus une petite fille et que cela fait plus de dix ans que mes premières règles sont passées.

Bref, Xavier était chez moi, une guitare toute neuve était posée sur mon lit, et mes mains tremblaient de peur et d’excitation. « Tu connais quoi comme morceau ? » m’a demandé Xavier comme préambule. Je ne savais pas quoi répondre, je pensais que nous allions tout de suite commencer les cours, pas passer un entretien de connaissances. « Je ne sais pas », ai-je dit en regardant le sol, comme prise en faute.

« Tu as voulu prendre des cours de guitare… Parce que j’étais le prof ? » m’a-t-il demandé de façon très directe, comme s’il lisait dans mes pensées. J’ai acquiescé de la tête, rouge de honte. C’est là que l’impensable s’est produit ! Il s’est posé à côté de moi sur le lit et a caressé mes cheveux, sans rien dire. Sans me juger. Il a relevé mon menton et m’a embrassée tendrement, comme dans les films.

J’étais complètement abasourdie par le retournement de situation, mais en même temps, j’en voulais plus ! Je voulais son corps, je voulais sa peau, connaître son odeur intime. J’ai pris sa main et l’ai posée sur mon sein droit. Il a alors resserré ses doigts autour de mes petits melons, dans un geste d’expert. Je bouillonnais !

Je l’ai alors débraguetté et ai sorti son sexe hors du pantalon. J’ai eu peur qu’il se désintéresse de moi voyant que je prenais autant d’initiatives (en plus, ce n’est vraiment pas mon genre), mais il a eu l’air de trouver ça plutôt naturel.

Ma tête s’est alors rapprochée de son sexe et je l’ai sucé avec beaucoup d’application. Je n’avais pas fait de fellations à beaucoup de garçons avant lui, mais j’imagine que ma technique a été plutôt bonne puisqu’il poussait des petits soupirs étouffés, la main devant sa bouche pour ne pas déranger mes parents.

D’ailleurs, je ne sais pas comment ils auraient réagi s’ils avaient su ce que leur fille faisait dans sa chambre. Je pense qu’ils auraient peut-être porté plainte contre Xavier, il risquait vraiment gros.

Pas plus inquiet que ça, mon jeune artiste s’est même permis une petite levrette avant de partir de chez moi. Bien que d’habitude je préfère le missionnaire pour les premières fois, cela ne m’a pas dérangée qu’il me pénètre à quatre pattes. Je savais que quelque part il me respectait… Et ma chatte était tellement humide que la position importait peu !

Il a juré qu’il me rappellerait mais qu’il ne pouvait plus me donner des cours de guitare. « Trop gênant pour lui. » Il a même refusé l’argent que mes parents se faisaient un impératif de lui donner, alors qu’il passait le pas de ma porte. Ils se sont alors retournés vers moi et m’ont demandé pourquoi ce prof se comportait si bizarrement. « Oh, vous savez… Les hormones ! » leur ai-je alors répondu, en haussant innocemment les épaules.

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