La leçon de piano
6 août 2020Charlene, 60 ans, remarque son voisin d’une trentaine d’années. La leçon de piano va vite tourner en une leçon de baise…
J’ai 60 ans, je suis une femme indépendante et débarrassée de toute obligation familiale depuis peu. Je porte souvent des jupes fendues et des chemisiers affriolants. J’aime être coquette, mettre mes formes et ma poitrine en valeur. Je porte de beaux bijoux argentés, des colliers lourds qui descendent entre mes seins.
Si je vous raconte cela, c’est parce que mes charmes m’ont récemment valu une belle histoire de sexe. Il y a dans mon immeuble un jeune voisin que je croise souvent dans l’ascenseur. C’est un célibataire d’une trentaine d’années, mélomane, qui est passionné de piano. Il s’appelle Michael et il est beau à tomber, du genre brun ténébreux pianiste névrosé. Tout pour me plaire ! Mais bien sûr, je ne m’autorisais pas vraiment à lui faire la cour. Je ne pensais pas qu’un jeune homme comme lui pourrait vouloir de moi ! Jusqu’à ce que je lui explique que je possédais un beau modèle ancien de piano chez moi, ce qui est vrai car c’est celui de mon ex-mari qu’il n’a pas encore récupéré. Michael m’a confié qu’il s’escrimait sur un clavier électronique pour s’entraîner chez lui entre ses cours car le pauvre est sans le sou. C’est alors que j’ai eu la brillante idée de lui proposer de venir jouer chez moi !
Le jour est arrivé où il a osé venir et je voyais qu’il me regardait autrement que comme “la dame chez qui il allait jouer du piano”. Il m’a dévisagée en arrivant et ses yeux se sont attardés sur ma robe noire que je portais pour l’occasion. Il s’est installé au clavier, un peu gêné, et a fait jouer ses doigts sur les touches avec légèreté, appréciant la beauté de l’instrument qui était toujours bien accordé. Je l’ai observé depuis le canapé et je l’ai écouté jouer des nocturnes de Chopin pendant une heure au moins. Sa simple présence était érotique et sa musique me portait…
BOUTIQUE SEXY – LES SOLDES SONT LÀ !
Je fermais les yeux, appuyée contre mon dossier quand il m’a tirée de mes rêveries pour me demander de venir m’asseoir près de lui, sur le siège. Je suis venue et j’ai senti son odeur, un parfum de santal, l’odeur âcre de ses cheveux, qui me donnait férocement envie de lui. Ses hanches touchaient les miennes. Il m’a demandé de faire quelques accords pour accompagner sa main gauche qui jouait un air très doux. Je me suis exécutée avec la main droite, jusqu’à ce qu’il pose sa main sur la mienne pour me corriger, pensai-je. J’avais du mal à croire que je lui plaisais vraiment. Pourtant, il a pris ma main pour la porter à sa bouche et me faire un baise-main en me regardant. « C’est un plaisir de jouer avec vous », a-t-il murmuré. Alors il a déposé un baiser léger comme un papillon sur mes lèvres. En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, nous étions en train de nous peloter sur le siège du piano !
Portée par mon désir, je me suis très vite retrouvée à califourchon sur lui, sentant sa verge qui bandait sévère à travers son pantalon. Il pétrissait mes seins, les embrassait, les faisait sortir de mon décolleté. Je me sentais plus femme que ces trente dernières années ! La flamme s’était allumée entre mes cuisses et il passait ses mains dans ma culotte pour pétrir mon cul et caresser ma fente. Je me frottais furieusement à son entrejambe. J’avais l’impression d’être une prof de piano qui se tapait son élève docile et fougueux !
Le désir me montait à la tête et mon sexe appelait à être pénétré le plus urgemment possible… Si bien que je me suis retrouvée à genoux sur le banc de piano, les mains enfoncées sur les touches, cul en arrière, reins dardés vers son sexe, robe remontée sur ma chair frémissante. Michael m’a prise en levrette sans ménagement et chacune de ses secousses en moi me faisait revivre, ravivant la femelle en rut que j’étais il y a encore quelques années. Je voyais mes doigts vernis de rouge sur le blanc des touches du piano qui tressautaient pendant que je me faisais sauter et c’était bon, presque irréel. Mes cris couvraient les bruits accidentels que faisaient mes mains sur l’instrument pendant que les siennes voletaient sur mes hanches et caressaient ma croupe. Ah, la vigueur de la jeunesse ! Mon plaisir était contagieux et nous grognions tous deux comme deux bêtes privées de sexe pendant trop longtemps.
Nous avons fini sur le tapis qui repose sous le piano, moi à plat ventre par terre et lui me besognant par derrière, sa bite pleine d’un élan et d’une efficacité auxquels mon mari ne m’avait pas habituée, coulissant délicieusement dans ma chatte.
Puis Michael s’est lové contre mon dos, que j’avais en sueur dans ma robe échancrée, pour embrasser ma colonne vertébrale et couvrir mon corps de frissons. Dorénavant, ses doigts de pianiste reviendraient souvent me rendre visite.