La panne

La rédaction 4 janvier 2019

Prise de panique lors d’une panne au beau milieu de nulle part, Pénélope se voit secourir par un ouvrier plus que débrouillard ! Sauvetage assuré pour la demoiselle en détresse, option « câlinage » en attendant l’arrivée des dépanneurs. Si ce n’est pas beau le travail en zone industrielle…

J’étais bel et bien coincée. Plus de batterie dans mon portable, une voiture qui n’avait plus rien sous le capot, des talons trop hauts pour que je puisse aller plus loin toute seule, j’avais abandonné l’idée d’arriver à mon déjeuner entre amis à l’heure. Tant pis pour moi, j’aurais dû faire le contrôle technique bien avant de tomber en panne au milieu de nulle part !

Je me suis assise sur le capot, un peu dépitée, quand un black avec un casque de chantier ridicule s’est approché de moi. « Je peux vous aider ? » C’est magique ! Comme dans les films… Je lui ai expliqué ma situation, enfin j’ai baragouiné quelques mots en espagnol, j’étais ici pour une année de césure, et je parlais très mal le français.

Il a alors jeté un œil au moteur et, il a annoncé le diagnostic d’un air grave. Je lui ai fait répéter trois fois sa phrase avant de comprendre qu’elle ne pourrait pas redémarrer en un coup de baguette magique. Et voilà ! J’en était sûre, je ne pourrais même pas rejoindre mes amis pour le dessert !

Bien gentiment, mon sauveteur m’a assurée pouvoir téléphoner depuis les bureaux de son chantier, et organiser mon dépannage.

Enfin c’est ce que j’ai compris. En montant les escaliers du bureau de cette zone industrielle, je me suis aperçue que nous étions seuls !

J’ai alors imaginé mille scénarios coquins, cela faisait longtemps que je n’avais pas fait l’amour, et cette rencontre avec un total inconnu si sûr de lui m’échauffait à fond. Arrivé à bon port (dans une salle totalement vide !), le jeune ouvrier s’est rué sur son téléphone et a échangé avec une société de dépannage qu’il avait l’air de bien connaître.

Bon, je n’ai pas très bien compris leur conversation, mais les dépanneurs n’arrivaient pas avant une heure ! Une heure, c’était parfait ! Je me suis approchée de lui pour l’embrasser sur la joue afin de le remercier de s’être si bien occupé de mon problème, et il m’a prise dans ses bras, souriant. Le contact de nos deux corps l’un contre l’autre était électrisant, comme aimanté. Ses mains se sont doucement promenées sur mon corps, c’était un vrai appel au sexe ! Je l’ai embrassé. Langoureusement.

J’avais l’impression de me donner corps et âme à ce total inconnu. De m’engouffrer dans une grotte sans possibilité de retour. M’enfermant dans ses deux bras puissants, je devenais sa prisonnière, sa captive durant une heure. Top chrono !

Je me suis agenouillée à ses pieds, jambes écartées. Sa braguette déboutonnée, j’ai sorti son engin à l’air libre.

Et là, j’ai manqué de peu de tourner de l’œil. Mon beau black était membré comme un cheval. Et oui, le mythe du « Noir à grosse queue » a été inventé grâce à lui.

Je n’ai jamais été adepte des grosses queues, j’ai toujours eu peur qu’elle ne me déchire quelque chose de délicat à l’intérieur de moi. Mais mon intuition me soufflait qu’avec mon étalon, ça irait bien. Peut-être le regard qu’il posait sur moi, attendrissant, ou sa façon de me caresser l’épaule avec gentillesse.

Bref, je l’ai pris en bouche avec gourmandise, posant ma langue sur sa tige comme une limace sur une laitue, en laissant de grosse trace de salive bien blanche. Le black est venu se caresser les couilles en même temps afin de mieux apprécier mes caresses buccales.

Il restait bien silencieux et je ne savais pas s’il prenait vraiment son pied. Cette mise en bouche m’a en tout cas bien mise en appétit. J’étais littéralement et totalement trempée : prête à l’emploi !

Il y avait bien que ma voiture pour tomber en panne, ma machinerie humaine fonctionnait très bien. Je me suis retournée et j’ai relevé une jambe sur la table. L’ouvrier a très bien su comment se positionner derrière moi pour me pénétré par petits à-coups. Même si je sentais bien qu’il essayait de ménager mon corps, je n’ai pu m’empêcher d’hurler à la mort.

Je sentais que mon vagin était en train de se déchirer, un peu comme lors d’un accouchement, enfin j’imagine. Désolée, je me suis retirée en souriant : « Trop gros pour moi ».

Mon inconnu ne s’est pas laissé démonter, il est venu me lécher le minou pour mieux me préparer à son « convoi exceptionnel ! »

C’est qu’il y tenait à sa pénétration. Sa langue râpeuse me faisait fondre. Il tenait mes fesses bien fermement pour que son visage soit le plus profondément enfoncé dans ma chatte.

Il bavait, crachait, écartait mon sexe en grand avec ses doigts. Petit à petit, son bricolage fonctionnait et je sentais que je me dilatais à l’intérieur de mon corps. « Inspire ! Expire ! » me suis-je dit en moi-même pour m’encourager. C’est peut-être comme chez le gynéco ? Une grande inspiration et on ne sent plus rien lors du passage du spéculum…

Sentant que j’étais prête, il m’a allongée fermement sur la table avec un air de dire « Ne t’avise pas de m’échapper, tu es à moi… » Message reçu 5 sur 5, j’écartais les jambes et j’attendais patiemment l’assaut de ma tête de bélier. À mon grand étonnement, sa bite s’est enfoncée en moi comme « dans du beurre ». Comme quoi, après un petit « graissage » les choses passent beaucoup mieux.

Comprenant ma douleur, mon homme bien monté a pris soin d’effectuer des touts petits mouvements de bassin très lents. Je me massais bien le clito en même temps pour ne ressentir que du plaisir. Pas de douleur. Que du plaisir. Il a basculé une de mes jambes au-dessus de ses larges épaules afin de mieux me maintenir contre lui. Ses mouvements devenaient beaucoup plus forts, beaucoup plus précis aussi. « Inspire ! Expire ! Inspire ! Expire ! » Je devais certainement ressembler à un animal qui apprenait à nager avec mes petits hoquettements de respiration, mais tant pis ! J’étais passée en mode survie.

Ça y est, mon inconnu a fini par chopper la deuxième jambe. Il me maintenait complètement dans son étreinte et me bourrinait à grand coup de gourdin. J’ai fini par bloquer ma respiration pour de bon, ne sachant plus quoi en faire ! Mon ouvrier s’est arrêté dans sa course folle, tout en me contemplant deux minutes, et voyant certainement que mon visage revêtait la couleur d’une tomate bien mûre, s’est décidé à se retirer, tout doucement. J’ai soupiré de soulagement, même si je dois bien avouer que j’y prenais un grand plaisir. J’en ai profité pour mater sa queue luisante de ma mouille. Ses veines épaisses brillantes et ses couilles juteuses étaient
terriblement excitantes.

On aurait dit une pâtisserie tout en chocolat, il me donnait faim, faim de lui. Tendrement, il est venu se positionner derrière moi en cuillère. « Ça va ? » m’a-t-il murmuré à l’oreille. J’ai acquiescé d’un mouvement de tête pour le rassurer. Oui, bien sûr que j’allais bien, même si j’appréhendais un peu la suite des événements.

Il a encore une fois levé ma jambe bien haut et s’est à nouveau engouffré en moi. Cette fois-ci, tout allait bien. Merveilleusement bien, même ! Je profitais enfin de ce sexe si gros dans le mien, ma chatte me remerciait à sa façon en m’envoyant des salves de plaisir. Ses couilles tapaient doucement sur mon cul et les « Fap ! Fap ! » rythmaient agréablement nos ébats. La table grinçait par vague de ses allers-retours, ponctués par mes petits cris aigus, le tout résonnait dans la pièce en une symphonie délicieusement cochonne !

Ensuite, il posa la main sur mon petit sein qui pointait bien (en même temps, par ce froid, difficile de faire autrement). Il tirait sur mon délicat téton, c’était une torture particulièrement agréable.

Comme je commençais à avoir un peu mal au dos, j’ai pris l’initiative de monter à son échelle. Une marche devait être suffisante pour qu’il puisse avoir la bonne hauteur pour me pénétrer. J’ai toujours eu un compas dans l’œil pour ce genre de choses. L’échelle était un peu branlante, cela rajoutait à l’excitation de notre petite affaire.

À n’importe quel moment je pouvais basculer, il fallait donc – plus que jamais – qu’il me serre fort contre lui. Je n’irais pas jusqu’à dire que c’était romantique (nous étions quand même dans des bureaux qui sentaient la peinture et la poussière), mais l’instant avait quelque chose d’irrationnel. Un peu comme si vous étiez dans un rêve un peu fou où tout était possible. Je repensais à mes amis qui devaient être en train de prendre l’apéro. J’avais clairement gagné au change, nos ébats musclés me mettaient plus en appétit que n’importe quel bon vin. Mon étalon me pilonnait de plus en plus fort et je sentais la connerie arriver.

J’ai décidé d’en finir, histoire d’avoir le temps de se nettoyer et de se rhabiller avant que les dépanneurs n’arrivent. Je l’ai allongé sur la table sur le dos – façon opération chirurgicale – et j’ai pompé bien fort son gros membre.

J’avais une maîtrise parfaite des éjaculations rapides, et cette fois-ci n’a pas dérogé à la règle.

En moins de deux minutes mon ouvrier m’avait envoyé toute sa sauce à la figure, dans un râle de bête morte !

Je n’étais peut-être pas douée pour réparer les mécaniques de voiture, mais je peux vous assurer que quand il s’agit de la tuyauterie des hommes – avec moi – pas besoin d’appeler un dépanneur !

À retrouver sur notre plateforme VOD

Angélique, Cindy, Chéryle et Alice ont toutes les quatre répondu à notre annonce de casting. Angélique et Cindy désirent tenter une nouvelle expérience. Chéryle brune plantureuse aimerait se lancer dans le X. Et Alice veut prouver à ses amis qu’elle n’est pas si coincée que ça. Un nouveau casting très prometteur….


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

  • bibou

    salut belle histoire tu ma bien fait bander je suis peut etre moins montee que le black mais je suis sur que je te ferai bien jouir aussi bises

interstron.ru