Le bateau ivre

La rédaction 9 août 2015

Une jolie étudiante esseulée en vacances, un séduisant quadra, un bar en soirée : la recette de la rencontre classique. La balade en bateau du lendemain offre bien des perspectives, et elles ne se trouvent pas toutes au large !

Les vacances de Pâques s’annonçaient plutôt pas mal… Étudiante en maîtrise de Droit à la fac de Nantes, j’avais vraiment besoin de décompresser avant le rush de fin d’année. La veille au soir, j’étais sortie dans un bar de la ville et un beau gosse, genre quadra élégant, m’avait branchée. Il m’avait laissé sa carte en me glissant: “Appelez-moi demain, je vous emmènerai faire un tour sur mon bateau…” Le vieux plan drague du mec pété de thunes ! N’empêche, ça me faisait bien envie.

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Alors, le lendemain, on s’est retrouvés après le déjeuner et en avant pour la balade nautique! Olivier est arrivé très décontract’, chemise froissée remontée sur ses avant-bras hâlés juste ce qu’il fallait, lunettes noires, dents blanches et sourire ravageur.

Le bateau a démarré. Je riais intérieurement alors qu’il m’expliquait d’une voix suave ce que l’on voyait au loin. Il n’était pas dégueu du tout, mon quadra, mais il était en short ! Cette image me faisait glousser comme une pintade. Il a dû prendre mes rires pour une invite car en deux temps trois mouvements, il m’a ôté mon top et mon short en jean. Il faut dire que je n’étais pas contre. J’avais un peu le feu aux fesses depuis ma rupture avec mon ex-copain.

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Les doigts d’Olivier ont fouillé sous mon string alors qu’il embrassait ma peau douce. Sans dire un mot, je me suis étirée sur le bateau, lui tendant mon cul avide de se faire cajoler. Deux ou trois bisous sur mes fesses. Miam ! Mais ce n’était pas assez. J’ai agité mon derrière sous son nez en râlant: “Bouffe- moi!” Il a écarté mon string pour libérer ma fente, et sa langue s’est insinuée à l’entrée de mon palais des délices. Je devinais mon clitoris tout dur sous sa pointe chaude. Je mouillais de plus en plus et je me sentais vide. L’idée que ce type que je connaissais à peine avait sa bouche sur ma raie m’a complètement fait disjoncter.

J’ai crié: “Fourre-moi partout, bouffe-moi tout!” D’habitude, je suis plutôt réservée comme nana la première fois, mais là, peu importait, on ne se reverrait jamais, il ne connaissait que mon prénom. Et j’avais trop envie de sexe. Quand j’ai senti des doigts se glisser dans mon fourreau suintant, j’ai hoqueté de bien-être. J’ai attendu un instant que ses phalanges s’arrêtent et j’ai entamé un mouvement d’arrière en avant. Je me branlais sur les doigts d’un inconnu! Le plaisir s’installait. Et là, la pointe dure et humide de sa langue a chatouillé mon petit œillet. Je le sentais s’ouvrir malgré moi… J’adorais! Je me suis cambrée encore plus, donnant sans vergogne à cet homme ma plus parfaite intimité. Le bateau remuait un peu. Malgré cela, Olivier a continué à me doigter et à me bouffer le cul et, quand son pouce a repris mon clito en charge, j’ai senti la houle monter. Attaquée par trois points de plaisir, je n’avais aucune chance de résister. Et je ne suis pas bien certaine que j’en avais envie… Les yeux fermés, en levrette sur le “pont” de ce petit bateau, j’ai gémi mon premier orgasme en laissant couler mes sucs odorants.

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Je me suis étendue à plat ventre sur le pont, juste le temps de me remettre de ce plaisir royal… Puis je me suis retournée en me tortillant comme un asticot. Olivier me regardait à travers ses lunettes noires, le visage bienveillant et doux. Mais il ne savait pas quelle petite vicieuse je pouvais être. J’ai rampé à quatre pattes jusqu’à lui et j’ai tiré sur son short.

Waouh, il était à poil dessous. Décidément, il me plaisait de plus en plus ce mec! Sa bite était raide comme la justice et ses couilles, dodues et bien épilées. Tout ce que j’aime. Je me suis emparée de sa gourmandise et j’ai promené la pointe de ma langue sur le frein de son gland. Il s’est raidi et m’a caressé les cheveux “Doucement ma jolie, je ne voudrais pas arriver trop vite!” Ok ok… Quoique. J’ai recommencé ma léchouille et, ensuite, j’ai saisi ce frein entre mes dents pour le mordiller en douceur. “Salope!”, a-t-il murmuré.

Enfin! Il comprenait à qui il avait affaire. On allait pouvoir jouer dans la cour des grands. J’ai craché sur son gland et je l’ai gobé dans ma bouche, dans laquelle j’avais gardé de la salive. Je lui ai roulé une pelle au nœud, il a tressauté. Il pouvait compter sur moi pour lui offrir une des meilleures pipes de sa vie! Il s’est assis, prêt à se laisser vaincre par mon audace. J’ai commencé par ôter mon string. Il fallait qu’il sèche (eh oui, c’est tout moi ça, même en plein plan cul, je garde le sens pratique).

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Puis j’ai repris sa tige entre mes doigts et son gland entre mes lèvres. J’absorbais tout ce que je pouvais de sa queue qui avait encore gonflé. Il n’avait plus peur de démarrer trop tôt; il savait se contrôler, ça se sentait. Alors, j’ai papillonné du bout des doigts sur sa hampe. Je faisais coulisser mes lèvres le long de son engin en serrant sa queue. Puis je remontais pour ne plus garder que le gland au chaud, et je redescendais mes doigts pour enserrer la base de sa bite. Ma langue s’agitait sur son nœud, et je sentais le goût de son “liquide apéritif” se répandre sur mes papilles. J’adorais ça. Encore quelques minutes de ce traitement et je lui faisais tout lâcher!

Il l’a compris et m’a saisi le bras pour me demander d’arrêter. Il avait envie de me baiser. Ça tombait bien, moi aussi, j’avais envie qu’il me baise. Je ne suis pas compliquée en matière de sexe. Il est passé derrière moi, la bite au garde-à-vous, luisante de ma salive. J’ai senti son gland caresser ma fente, chatouiller ma porte avant, puis ma porte arrière. Par où allait-il me visiter? Je dois reconnaître que j’aurais accepté et apprécié les deux options… Finalement, son gland s’est légèrement introduit à l’orée de mon vagin gourmand. Il l’a sorti, rentré, ressorti, re-rentré J’ai tourné la tête vers lui, son petit jeu me mettait l’eau à la bouche. J’aurais adoré avoir assez de puissance pour aspirer sa queue dans ma fente, mais ce n’était pas jouable.

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Alors, j’ai fait très simple: j’ai demandé: “Enfile-moi, alleeez!!! J’ai grave enviiiiiiie!” Quand sa verge gonflée à fond s’est introduite entre mes parois humides, j’ai poussé un soupir de délivrance. Je me suis cambrée un maximum quand il s’est entièrement enfoncé. Je souhaitais que chaque centimètre carré de mes muqueuses intimes profite de cet invité très désirable… Au-dessus de moi, le pied posé au sol façon acteur de porno, Olivier m’a chevauchée comme un étalon sa pouliche. Cette image m’a fait sourire. Je me sentais animale, ça tombait bien !

Là, sans crier gare, il a commencé à me pilonner avec une force incroyable et à une vitesse folle. Ses belles couilles claquaient sur ma fente et agitaient mon clitoris à chaque butée. Il était passé en un instant de l’amant suave au marteau-piqueur. Ce n’était pas pour me déplaire. Les cris qu’il me faisait pousser m’auraient trahie si j’avais dit le contraire. En tout cas, il était vachement endurant!

À la vitesse à laquelle il me baisait, plus d’un aurait déjà tout lâché! Mais lui, non, il ne s’arrêtait pas, fouillant de son bel engin mes entrailles dans leurs moindres recoins. Ses doigts puissants s’enfonçaient dans la chair de mes fesses. Ce traitement de choc allait avoir raison de moi. Agrippée à la coque du bateau, j’ai laissé monter le champignon atomique de mon plaisir. J’ai toujours imaginé l’orgasme ainsi : une colonne qui s’élève, puis qui s’étale et prend toute la place. Et là, vu la jouissance qu’il venait de me donner, mon beau quadra, c’était vraiment de la bombe ! Je me suis étendue sur le côté, reprenant à grand-peine mon souffle. Je ne m’étais même pas rendu compte qu’il était encore en moi tellement il m’avait emmenée loin… Je me suis tournée vers lui, je souriais bêtement.

Il m’a lancé d’un ton sans réplique: “Laisse-toi faire…” Pas de souci! J’étais prête à accepter tout ce qu’il me demandait pourvu qu’il continue à me baiser de la sorte. Quelle chienne je suis! Il m’a poussée doucement jusqu’à ce que je me retrouve complètement à plat ventre. Son gland était toujours dans ma chatte coulante de mouille. Il s’est assis sur mes cuisses et s’est amusé à coulisser dans mon sexe, chatouillant les zones les plus sensibles de mes intérieurs. Il me “fouillait” de son gland, cherchant la cache au trésor… Moi, chaude comme j’étais, je m’écartais du bout des doigts, agrippant mes fesses. Peut-être allait-il me coller une fessée ? J’aurais bien aimé. Mais je n’ai pas osé demander. Il m’en donnait déjà tant ! Mon aventurier à grosse bite a fouillé ma grotte sans relâche, me menant à deux ou trois reprises au bord du précipice, mais s’arrêtant avant que je n’y tombe. Il avait une sacrée maîtrise, le gars!

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Soudain, me maintenant par les fesses, il nous a fait basculer. Il s’est retrouvé sur le dos et moi sur lui. Il voulait que je reprenne la main. Mais je m’étais habituée à ce qu’il mène la barque. Alors, je lui ai soufflé: “Guide- moi…” Il m’a saisie par la taille et a m’a fait coulisser sur sa queue. Il choisissait le tempo, je me sentais légère, juste un concentré de plaisir… Mes mains agrippées à ses bras qui me portaient, je l’ai laissé me baiser à bout de bite. L’orgasme qui m’a emportée à ce moment-là m’a fait crier si fort que j’ai bien cru que j’allais tomber dans les pommes. Je me suis écroulée sur lui, son sexe toujours en moi. Mais comment y arrivait-il? Moi qui, au début, me la jouais petite vicieuse maîtrisant son sujet, je crois bien que j’avais trouvé mon maître!

Il est sorti de moi et m’a déposée sur le pont. Je me sentais légère comme un fétu de paille. Mais mon nouvel amant n’avait pas joui. Je ne me serais plus respectée si je n’avais pas fait quelque chose. Sa bite dure accepterait peut-être encore les hommages de ma langue ? J’ai commencé à lécher son gland, qui dégageait une forte odeur de femme (enfin, de moi !). J’y ai mis tout mon cœur, tout mon savoir-faire. Mais je ne suis pas dupe. Il a giclé assez rapidement, mais seulement parce qu’il l’a bien voulu, même si son regard me disait qu’il aimait mes succions, ma langue sur son gland, mes lèvres autour de sa hampe. Je n’avais pas fait qu’un tour en bateau ni eu un nombre conséquent d’orgasmes avec lui. J’avais aussi pris une sacrée leçon d’humilité. Et j’étais très partante pour de nouvelles leçons en sa compagnie..


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