Satan l’habite

Ma devise : on ne mélange pas sexe et boulot. J’ai été forcé de faire une exception pour Aurélie, une diablesse qui m’a envoûtée malgré toute ma bonne volonté.

On travaille ensemble dans un hôtel en région parisienne. Moi en cuisine, elle au ménage. On s’était tournés autour quand je suis arrivé dans la boîte mais j’ai calmé le jeu rapidement pour éviter les ragots. En plus, je crois au sacrement du mariage et j’étais à un stade de ma vie où je voulais me consacrer uniquement à ma femme.

Elle, elle n’a pas lâché l’affaire. Je ne sais pas comment, elle a récupéré mon numéro. Elle s’est mise à m’écrire tous les jours, des poèmes, des blagues, des petits mots coquins. Je n’ai pas réussi à résister, j’ai fini par répondre. Mais je voulais que ça reste au stade des SMS et je lui ai dit. Elle a passé le cran supérieur malgré mon interdiction. Des photos. Elle m’en envoyait le soir tard, quand j’étais couché. Des selfies en culotte, des gros plans de ses seins, des photos de ses fesses… J’ai dû vraiment prendre sur moi pour ne pas me caresser en regardant les clichés envoyés.

Un jour, après mon service, j’étais en train de me changer quand j’ai reçu une photo. C’était son cul plein de mousse. J’ai reconnu les douches qu’on a à l’hôtel. Juste après, elle a envoyé un numéro, « 366  ». Elle m’attendait dans cette chambre. J’ai respiré à fond et j’ai décidé de monter lui dire que c’était fini. Le démon ne s’y serait pas pris autrement pour me tenter…

La chambre n’était pas fermée à clé. J’ai poussé la porte et je l’ai trouvée en lingerie sur le lit. Comment dire non ? J’ai vraiment essayé, mais mon cerveau n’était plus irrigué à ce stade. Tout était parti là où vous savez… J’ai fermé les yeux et Aurélie m’a pris par la main et m’a emmené sur le lit. Je l’ai sentie me déshabiller pendant que j’essayais de prier dans ma tête. Dès que j’ouvrais les yeux, je voyais son visage de tentatrice et son corps, mon Dieu…

J’ai cédé comme un faible, elle a fait de moi ce qu’elle voulait. C’était surtout ma queue qui l’intéressait… Elle l’a dorlotée à travers mon slip, puis elle l’a prise en bouche comme si c’était une glace à l’eau et qu’elle était morte de soif. Je n’arrivais même plus à penser, c’était trop ! Elle m’a demandé de la prendre en photo et j’ai obéi. C’était encore meilleur, ou pire, je ne sais pas. On aurait dit que j’étais en train de faire l’amour avec une actrice porno !

Cela faisait des mois qu’elle me chauffait, alors nous étions tous les deux comme des cocottes minutes. Il a bien fallu que je lui fasse ce qu’elle demandait (que dis-je, ce qu’elle me suppliait que je lui fasse !) Regardez le résultat… Comment un homme aurait-il pu résister à ce cul, à une telle chatte ? Dedans, elle était comme du velours, avec des lèvres de soie, à onduler et à contracter sa vulve à la façon d’un boa constrictor. Une dernière fois, j’ai mis toutes mes forces mentales dans la bataille contre le désir, en me disant que si je n’éjaculais pas, je n’aurais pas tout perdu… Mais Aurélie m’a eu à l’usure, avec ses contractions vaginales de l’enfer. Je suis venu en elle tandis qu’elle me griffait le dos et s’agitait de plaisir.

Depuis, j’ai réussi à l’éviter mais elle continue à me harceler de photos et de messages tous plus excitants les uns que les autres. Soi-disant, on ne lui avait jamais aussi bien fait l’amour, pendant aussi longtemps. En essayant de me retenir, je suis devenu le meilleur coup de sa vie… Je vous le dis, cette femme est diabolique !

(Image à la une : Getty Images)

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Le DRH

» Il m’a fait aussi un baiser en me saisissant par la taille et en effleurant mes seins à travers mon décolleté. « Je peux ? », ai-je demandé en posant ma main sur sa cuisse. Il a fait signe que oui. J’ai déboutonné son pantalon de costume et j’ai sorti sa bite. Cette vision m’a encore plus donnée envie de lui. » Hélène

En prendre plein les vieux

« Charles avait sorti sa bite, courte mais d’une belle épaisseur, et se masturbait en me fixant intensément. Je me suis ensuite mise à quatre pattes sur le lit et lui ai offert ma croupe. » Carole

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