Seuls au monde
17 septembre 2019Carole, 30 ans
Je m’appelle Carole, j’ai 30 ans. Je suis folle amoureuse de mon homme depuis maintenant treize ans… Rien ne m’excite plus que de lire le désir dans ses yeux. Je prends aujourd’hui la plume pour vous raconter un moment très particulier de notre vie de couple : notre voyage de noces aux Antilles !
C’était en février sur une plage déserte de notre petit coin de paradis, en Guadeloupe. Il faisait très chaud ce jour-là, et la température n’avait pas fini de monter ! Alors que nous étions en train de profiter de l’ombre des palétuviers, j’ai entamé la lecture de notre magazine préféré. J’étais assise, les jambes légèrement écartées pour laisser deviner à mon homme le mini bikini rose qui cachait un petit minou tout épilé. Il n’a pas tardé pas à l’écarter en faisant glisser ses mains le long de mes cuisses dorées, et n’a pas été particulièrement surpris d’y trouver une humidité provocatrice.
Alors que mes yeux continuaient leur lecture, mes jambes, elles, laissaient libre accès à mon intimité. Mon chéri a fait glisser mon maillot de bain à mes chevilles et m’a joyeusement léchée. Je ne sais pas si c’était la lecture érotique, le lieu magique ou bien l’incroyable dextérité de mon homme, mais j’ai mouillé plus qu’abondamment. Ses doigts experts faisaient gonfler mon sexe à vue d’œil. Je me déhanchais, me cambrais et surtout je mouillais encore et encore ! Il me faut préciser un point : il y a quelque temps, mon mari et moi avons découvert avec joie que j’étais une « femme fontaine » : je mouille tellement abondamment que je finis par éjaculer mon plaisir ! Cette particularité a rendu nos jeux bien plus torrides…
Mon chéri a continué à me lécher et à me caresser. Il a réussi à me faire éjaculer cinq fois de suite… Ma lecture, de plus en plus hachée, était ponctuée de gémissements de plaisir et de cris de jouissance. J’ai ensuite voulu « rendre la politesse » à mon dieu de l’amour. Je me suis dirigée vers l’eau, entièrement nue et, d’un regard coquin, j’ai invité Dave à me rejoindre. Il était nu, lui aussi. C’est dans une eau turquoise que notre matinée câline allait continuer. Mon homme, assis sur le sable, de l’eau jusqu’aux cuisses, m’offrait son sexe tendu et luisant. Je me suis allongée entre ses jambes. Les vagues couraient sur mon corps et mes fesses fermes et galbées pour venir s’échouer sur ma chute de reins qui le fait tant halluciner. J’ai entamé ma pipe. Je partais de ses couilles fermes et douces, je montais le long de sa tige pour finir par mordiller son gland salé. Je l’ai pompé avec douceur et ardeur. Je le sentais gonfler entre mes lèvres, se durcir jusqu’à n’en plus pouvoir.
Les yeux fermés, mon mari vivait un fantasme : se faire sucer au bord de l’eau, les pieds dans la mer des Caraîbes ! J’ai été très heureuse de lui procurer autant de plaisir. Pour que ce moment tellement magique ne s’achève pas trop vite, nous nous sommes enlacés, bercés par les vagues, mes jambes autour de sa taille. J’ai senti son sexe entrer en moi. Le contraste entre la chaleur de son pénis et la fraîcheur de l’eau rendait cet instant exquis. Il avait placé ses mains sur mes fesses, glissait quelques doigts vers mon petit trou fripé… Nos lèvres ne se quittaient plus. Nous étions seuls au monde ! Nous avons continué nos ébats sur le sable, comme dans un film, moi allongée sur le dos, les jambes écartées, offrant mon sexe humide et la chaleur de mes cuisses à cet homme avide de mon jus. Il m’a léchée pendant de longues minutes, comme pour ôter chaque goutte d’eau de mer de mon intimité… Mes mains parcouraient mon corps, mes seins tendus par le plaisir et mon ventre chaud d’envie. Mes doigts décapuchonnaient mon petit bouton pour qu’il puisse encore mieux l’attraper entre ses lèvres. Mon corps tout entier se cambrait de plaisir. Nous étions sous le soleil des tropiques et pourtant, ce n’était pas lui qui mettait le feu à mon corps… Les doigts de Dave me fouillaient avec ardeur et minutie. Il me donnait tellement de plaisir…
Ensuite, il est venu coller son corps contre le mien, et son sexe dur m’a pénétrée jusqu’à la garde. Il m’a limée d’abord avec douceur. Je sentais la jouissance venir, chaque va-et-vient me conduisait à l’extase. Dave m’embrassait à pleine bouche, comme pour me dire qu’il m’aimait et combien lui aussi vivait un moment extraordinaire.
Nous avons décidé de rejoindre notre bungalow pour poursuivre nos ébats. Nous avions jusque-là retenu notre excitation, et nous nous sommes laissés envahir par cette fougue. Après quelques pénétrations avec un godemichet que j’avais pris soin de ranger dans ma valise avant le départ, mon homme m’a retournée et m’a enfoncé son pieu entre les fesses ! Il m’a prise comme j’aime, avec détermination et ardeur. J’ai cambré les reins et senti son membre s’installer au plus profond de moi. L’une de ses mains me tenait les cheveux et l’autre, les hanches. Elle s’est d’ailleurs souvent perdue entre mes cuisses pour combler le vide de ma chatte en feu. Je me cambrais pour mieux le rendre fou, car je sais combien la vue de ma croupe et de mes fesses le rend fébrile et chaud. Je devinais son plaisir, ses mains puissantes me tenaient fermement les hanches et me faisaient m’enfoncer brutalement sur son sexe. Quelques fessées sont venues rajouter du piment. Il m’a pilonnée avec fougue et virilité, j’étais son objet, sa femme. Nous avons pris énormément de plaisir ce jour-là. Après avoir repris nos esprits, nous avons discuté un peu. Nous avons ri car nous nous étions tellement sentis seuls au monde que nous n’avions fait attention à rien d’autre qu’à nous… Nous aurions pu avoir de la visite sur la plage, et nous ne nous en serions même pas rendu compte ! Sait-on jamais ? Ça nous aurait peut-être conduits à vivre une autre aventure… Une autre, qui pourrait faire l’objet d’un prochain récit ?
Voilà, chers lecteurs, j’espère vous avoir emmenés avec moi sur cette plage déserte, pour vivre ce moment d’exception. Et toi, mon homme, mon amour, mon mari, mon amant, sache que je suis folle amoureuse de toi depuis treize ans et, vu comme c’est parti, il nous reste encore des milliers de moments aussi fantastiques à vivre ensemble. Je t’aime plus que tout, et encore merci de me donner autant de plaisir et de bonheur au quotidien. Je vais tâcher de rendre ta vie aussi belle que cette matinée magique, sur cette plage de Saint-François.
(Image à la une : Getty Images)
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