Sexy party
28 janvier 2021En boîte à Ibiza, Davina, 26 ans, allume un barman torse nu. L’ambiance de la soirée bas son plein quand la belle l’entraine dans les toilettes du club pour une partie de sexe intense.
Alors voilà, je n’en peux plus : je veux retourner m’éclater en boîte ! J’ai 26 ans et je suis une grosse fêtarde, et depuis pandémie, la fiesta me manque grave ! A défaut de kiffer sur le dancefloor, je vais me lâcher dans mon mag’ préféré et vous raconter mon histoire de sexe.
L’été dernier, on est allées à Ibiza avec des copines. Bronzette la journée et party all night la nuit. Un soir, j’ai particulièrement kiffé les mojitos du dîner et une fois dans le club, j’étais méga-chaude pour danser. J’ai donc laissé mes potes pour prendre possession de la piste. Mes longs cheveux blonds étaient lâchés et encore salés de la plage, et je portais juste un bikini + un micro-short. Eh oui, à Ibiza, tout est permis !
Je me suis faufilée parmi les danseurs, les lights clignotaient dans tous les sens et les basses traversaient mon corps. J’ai senti des mains qui se baladaient mais je me suis concentrée sur la musique. Le son était dingue, on n’entendait les gens hurler de plaisir. A un moment, j’ai remarqué un des barmen torses nus (la règle dans ce club) qui me matait. Un beau gosse très brun, sculpté… J’ai continué à bouger en lui lâchant des p’tits smiles. A un moment, je me suis retournée et une seconde après, il avait disparu. J’étais grave deg’. Mais une minute plus tard, j’ai senti des mains sur mes hanche et quelqu’un m’a parlé en espagnol dans l’oreille : « C’est moi que tu cherches ? » OUI ! Je me suis retournée vers le beau gosse et on s’est embrassés.
Tandis que mes mains glissaient sur son torse musclé, il s’est mis à peloter mes fesses. J’ai vite senti ma chatte chauffer. Malheureusement, le BG était juste en pause donc si on voulait aller plus loin, c’était now. Entre deux « boum ! boum ! » des basses, il m’a dit que l’endroit le plus tranquille serait les chiottes des mecs. Ça m’allait vu que je n’avais qu’une envie : prendre ma petite pétée !
Une fois dans la cabine des chiottes, ça a été intense. Le serveur m’a plaquée contre la porte et a descendu mon haut de maillot d’un coup sec. Puis il a aspiré mes seins, tandis que sa main s’introduisait à l’intérieur de mon short. J’ai senti ses doigts me pénétrer. J’étais surex’ : la mouille coulait sur mes cuisses (je suis très productive à ce niveau-là) et il me fallait plus d’action. Cambrée, les mains plaquées contre la porte, j’ai offert ma chatte au beau brun. Il m’a prise debout, en tenant ma crinière et en alternant les sessions hyper rapides et les ondulations plus lentes, en me parlant en espagnol…
Le gros kiff. Sauf qu’après quelques minutes d’action, j’ai senti quelqu’un cogner contre la porte sur laquelle j’étais appuyée. Mon étalon n’a pas entendu, à cause de la musique qui résonnait jusqu’ici. Moi, ça m’a excitée encore plus qu’il y ait du monde derrière la porte… On a continué de baiser et les coups ont fini par s’arrêter. Mais soudain, j’ai vu la serrure bouger et le chiotte s’est ouvert en grand ! Face à nous se trouvait un grand métis super costaud avec un pass dans une main et un talkie-walkie dans l’autre. Un vigile. Il s’est bien rincé l’œil, ainsi que les mecs qui étaient en train de pisser dans les urinoirs…
On était grillés et mon étalon, qui s’était retiré, risquait sa place… Alors que je cherchais une façon de régler l’embrouille, le vigile a dit dans son talkie-walkie : « C’est bon, juste un problème de verrou. Je vais condamner le WC ». Puis il est entré et a claqué la porte. J’ai voulu parler pour défendre le beau serveur mais le vigile a éclaté de rire et lui a fait son meilleur check. Ils étaient potes !
Les deux ont baragouiné pendant quelques secondes puis le métis s’est mis à me mater et à me complimenter. Il a avancé la main et j’ai fermé les yeux. Hum, lui aussi était doué pour titiller mes petits seins… Dans mon dos, j’ai senti le beau gosse qui claquait l’abatant des chiottes et qui s’asseyait dessus. Les mains sur mes anches, il m’a attirée sur lui et a guidé sa queue en moi. Puis le rythme rapide à repris, pour mon plus grand plaisir. Face à mon visage, la braguette du vigile. Il m’a souri et a sorti un beau gourdin charnu. C’était tellement chaud !
J’ai posé les mains sur son torse bombé et j’ai penché la tête en avant. Toujours en me faisant sauter sur ses genoux, le serveur a alors attrapé ma nuque et a appuyé dessus. Gloups ! Je me suis retrouvée avec le gourdin du métis si loin dans la gorge que mes yeux se sont écarquillés à fond ! Soumise à deux bites en même temps, avec une foule de mecs derrière la porte, j’ai senti le plaisir monter, monter… et j’ai explosé !
Main sur ma nuque, le serveur a continué de contrôler le rythme auquel je suçais son ami (super intense, même pour une pro de la pipe comme moi !). Je me suis laissé faire, vaincue par le plaisir… Au bout d’une ou deux minutes, il m’a ceinturé le ventre de son bras libre, m’a serrée contre lui et m’a fait rebondir si fort que mes lèvres trempées ont claqué sur ses couilles. J’ai entendu un râle quand son foutre a rempli mon con et j’ai fermé les yeux. C’est alors ma bouche qui a été inondée de purée brûlante…
Toute collante et suante, je me suis rhabillée et j’ai fait une sortie triomphale des toilettes, devant tous les mecs qui me mataient comme des chiens en rut. Vivement que les clubs rouvrent !
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