Un petit coup de pinceau

La rédaction 25 juin 2020

Céline, 37 ans.

J’aime beaucoup votre magazine et j’aimerais vous raconter une histoire de sexe qui m’est arrivée il y a quelques temps, alors que mon mari était parti en voyage d’affaires. Nous venons tous les deux d’acheter une maison pas très chère, mais avec pas mal de travaux pour la retaper. Étant actuellement en recherche d’emploi, cela me laisse le temps de m’occuper des peintures, tandis que mon homme est en mission.

Ce matin-là, j’étais partie faire les courses, non sans un petit détour par les magasins de prêt-à-porter pour profiter des soldes. Je passai ensuite à la grande surface de bricolage pour acheter la peinture de la chambre et de la salle de bain. N’étant pas une experte en la matière, je me fie généralement aux professionnels en ce qui concerne les travaux. Je regardais toutes les teintes merveilleuses exposées dans le rayon, et je finis par trouver celle qu’il me fallait.

Mais les pots étaient rangés en hauteur, et je fus obligée de grimper sur le rayon pour en attraper un. Je sentis alors la chaleur de regards braqués sur moi, ou plus exactement, sur ma jupe courte et mes cuisses qui devaient être à portée de vue… En me retournant, je vis effectivement deux hommes me dévisager. L’un deux me demanda : « besoin d’un coup de main ? » J’acquiesçai, lui expliquant que je comptais repeindre ma maison, mais que je n’étais pas une pro en la matière. « Eh bien nous, si », me dit-il. Je m’étonnais qu’ils ne soient pas au travail, mais ils me répondirent qu’ils étaient en pause déjeuner.

J’en profitais pour leur demander des conseils pour choisir la peinture de ma salle de bain. « C’est qu’il faudrait la voir avant », m’expliqua l’un d’entre eux. J’hésitais un peu, mais ils avaient l’air de bien connaître leur sujet, et je finis par leur donner mon adresse, en leur proposant de passer le lendemain. J’avais complètement oublié leur venue lorsqu’ils sonnèrent au petit matin : qui pouvait bien venir à 7 h ? Ce ne pouvait pas être mon mari, puisqu’il était à l’étranger. En regardant dans l’interphone, je reconnus mes deux lascars. J’enfilais un peignoir pour aller leur ouvrir. Ils s’excusèrent de leur venue si matinale, en m’expliquant que ça leur permettrait de revenir à midi avec les bons produits. Je leur offris un café avant de leur montrer ma chambre et la salle de bain. En toute confiance, je leur remis les clés pour qu’ils puissent revenir travailler dans la journée.

La journée commençait plutôt bien : j’étais assurée d’avoir fini les peintures au retour de mon époux. Ils attaquèrent leur travail comme prévu dans l’après-midi. Le lendemain, je me levai vers 8 h, pris mon petit-déjeuner et alla prendre ma douche en musique, comme à mon habitude. Je sortie nue de la salle de bain, et me dirigea vers ma chambre pour m’habiller. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je tombai nez à nez avec mes ouvriers.

Le plus âgé me salua poliment, tandis que le plus jeune et l’apprenti semblaient paralysés. Que devais-je faire en premier ? Enfiler mes sous-vêtements ou ranger le gode que je voyais bien en évidence sur mon lit ? Tout le monde était mal à l’aise et, pour détendre l’atmosphère, j’essayai de plaisanter en leur disant qu’ils venaient d’avoir leur pourboire. « Vous n’êtes pas bien généreuse… », me dit le vieux. « Et le gamin semble en vouloir plus aussi », continua-t-il. Prise au jeu, je demandai : « Qu’aimerait-il ? – sûrement vous caresser… » Je vins alors près du plus jeune ouvrier, plongea mon regard dans le sien et lui dis « touche-moi ». Avec des gestes maladroits, il posa ses mains sur mes seins.

Sans attendre mon avis, le vieux s’avança à son tour et commença à me caresser. Ses mains étaient habiles et je sentais mon entrejambe mouiller abondamment. Je ne pus m’empêcher de caresser le premier à travers sa cotte – sa bite semblait énorme ! Le vieux ordonna à l’apprenti d’aller chercher le gode. Je sentis l’objet s’enfoncer avec vigueur dans ma chatte excitée : j’étais entre leurs mains. Le vieux sorti sa bite et la présenta contre mon petit trou, tout en continuant à me fouiller avec le sextoy. Prise des deux côtés, une bite dans la main, j’étais aux anges et j’espérais que le chantier durerait encore longtemps. D’ailleurs, je pense déjà aux autres pièces à peindre…

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Chaude la parisienne !

« Tout à coup, elle a enlevé le haut de son maillot. J’étais tout chose. Elle m’a dit : “Allez, lâchez-vous ! J’aime me faire prendre en photo !” Je l’ai shootée sous toutes les coutures. Elle a même écarté le bas de son maillot pour qu’on voie bien sa petite chatte rasée… Chaude, la Parisienne ! »Charles, 58 ans.

Le peintre dé-cul-rateur

« elle est venue vers moi et m’a sucé, sans un mot. Elle avalait ma queue comme si sa vie en dépendait, comme une droguée qui retrouverait sa came. Je me suis laissé faire, c’était délicieux, un peu surpris par le revirement de situation. Elle s’est mise à quatre pattes sur le lit et m’a ordonné : « Prends-moi, ça fait trop longtemps ! » Ni une ni deux, je l’ai enfilée sur son lit en levrette. »Alain, 42 ans.

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