J’escorte mon homme

La rédaction 22 avril 2020

Alicia, 32 ans.

Hello à tous ! Vous ne nous connaissez certainement pas, cher lecteur, et c’est tant mieux… Mais je peux vous dire qu’avec Paul, mon chéri, nous passons rarement inaperçus. Nous sommes tous les deux très beaux, et je le dis de façon tout à fait objective. Je travaille derrière le comptoir d’un bar, et Paul est groom dans un hôtel de luxe : les clients qui nous complimentent sur notre physique, c’est tous les jours !

Un jour, Paul m’a dit qu’il avait vu une très jeune femme au bras d’un vieux monsieur un peu décrépit réserver une suite de luxe, et que cela avait déclenché un fantasme duquel il ne pouvait plus se défaire : il voulait que je sois son escorte le temps d’une soirée, la femme qui serait à son service sexuel, celle qui accepterait tout. J’ai trouvé l’idée un peu bizarre, et, bien que je sois pour le droit des femmes, l’idée de me soumettre entièrement à ses désirs sexuels m’excitait à fond !

On avait prévu de caler ça le vendredi soir, Paul m’avait prévenu qu’il avait acheté quelques accessoires pour l’occasion, et j’ai passé les jours qui nous séparaient de notre jeu coquin à essayer de savoir ce qu’il manigançait !

Enfin, le jour J était arrivé. Paul m’avait demandé de ne pas directement rentrer à la maison après le travail et de l’attendre sur le trottoir. J’avais enfilé la jupe la plus courte et les talons les plus hauts de ma garde-robe et je l’ai attendu dans la chaleur de cette fin d’été ! Il est passé en voiture devant moi, a baissé la vitre, m’a toisé de haut en bas, comme on juge un tableau, et m’a dit : « Je prends la totale ! Vous m’emmenez dans votre piaule ? » J’ai joué le jeu, lui ai ouvert la portière, et l’ai accompagné dans notre joli petit appartement. « C’est un peu petit, un peu sale, mais cela fera l’affaire… » m’a-t-il dit d’un ton dédaigneux. J’ai failli exploser de rire en lui disant qu’il n’avait qu’à faire la vaisselle et ranger ses fringues la prochaine fois qu’il voulait jouer avec moi, mais je me suis retenue, en acquiesçant juste poliment de la tête. Après tout, c’était lui le client, non ?

Il s’est assis sur le lit, tel un pacha, et m’a demandé de me trémousser devant lui. Bien sûr, je me suis exécutée dans la seconde, exhibant ma belle lingerie soigneusement choisie pour l’occasion. « Masturbe-toi ! » m’a-t-il ordonné. J’ai ouvert les lèvres de ma vulve de mes deux doigts et ai commencé à tripoter mon petit bouton. Je mouillais déjà à grandes eaux et je suis allée récupérer ma cyprine à l’intérieur de mon vagin pour bien lubrifier le tout ! Ça faisait des bulles, c’était assez drôle. Paul a sorti sa grosse tige hors de son pantalon. « Viens me la sucer ! » m’a-t-il sommée.

J’ai avalé l’engin dans la minute. Je pompais bien fort, mécaniquement, comme si je n’étais qu’un objet, un aspirateur ou un autre ustensile de pompage. Il a appuyé sur ma tête pour me faire aller plus loin, ça m’a fait un peu tousser mais j’aimais me sentir dominée de cette façon.

Dès qu’il a senti que je faiblissais, il a sorti un énorme gode-ceinture du tiroir : « Maintenant, viens m’enculer ! » Je suis restée interdite pendant de longues minutes, je ne l’avais jamais enculé auparavant, je ne savais pas quoi faire… Je ne savais même pas si ça m’excitait vraiment. « Arrête de réfléchir Alicia et viens m’enculer », m’a-t-il dit mi-implorant, mi-autoritaire. J’ai mis un peu de lubrifiant sur la longue saucisse rose en plastique et l’ai posée devant son anus. Ça avait du mal à entrer, et je ne voulais vraiment pas lui faire mal. Après plusieurs tentatives infructueuses, j’ai fini par exploser de rire : il fallait bien avouer que nous étions tous les deux bien ridicules. Paul m’a serré fort dans ses bras en me glissant à l’oreille : « Bon, il te faut encore un peu d’entraînement avant d’être une vraie escort de luxe, mais tu t’en sors très bien !»

Nous avons passé un super week-end et la semaine d’après, Paul avait une nouvelle lubie : il voulait que je lui marche sur le torse avec des talons hauts.

Je ne sais pas ce qu’il se passe dans son hôtel, mais il doit en voir de toutes les couleurs !

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Goûts de luxe

« Il caresse ma peau douce et ferme et me maintient par les hanches. Il réintroduit son sexe dans ma chatte. La respiration saccadée, il accélère le rythme. Je me cambre au maximum. Je devine que la vue de ma croupe sous ses assauts l’excite au plus haut point. Je me cramponne aux draps, et je sens la jouissance déferler en moi. » Pauline, 41 ans.

Dame zizi

« Il me dévorait, j’ai ouvert mes bonnes fesses, saisi le manche et ses baisers se sont arrêtés un instant, le temps qu’il comprenne qu’il allait m’enculer. Dès qu’il a commencé à entrer, il m’a lapé comme un chiot qui découvre la vie. Je l’ai chevauché proprement. » Liliane, 57 ans.


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