C’est dans les vieux albums… que l’on a les meilleurs photos de cul

Bonjour, je me prénomme Yves, j’ai 60 ans. Depuis peu j’ai ressorti de mes vieux albums photos cachés des souvenirs oubliés de parties fines mémorables. Je me suis dit que je voulais vous en envoyer quelques-unes, pour la postérité… Et en profiter pour vous raconter les histoires de sexe de ces photos et me replonger dans mes souvenirs d’il y a trente ans.

Une admiration charnelle

Je venais de rencontrer David et Pénélope, un couple de jeunes gens de 25 ans avec qui je me suis tout de suite bien entendu. Nous nous sommes rencontrés dans le milieu du cinéma que nous côtoyons tous les trois et nous avons fait les quatre cents coups ensemble, à sortir tout le temps et à être de toutes les soirées. Nous nous racontions nos exploits sexuels et nos fantasmes. Nous étions si proches qu’un soir, David m’a proposé de faire l’amour à Pénélope car c’était une de ses envies sexuelles les plus brûlantes. Je plaisais à sa compagne et il voulait que ce soit moi qui la baise sous ses yeux. Il voulait aussi nous prendre en photo, car il vouait une admiration sans borne à sa femme et il ne cessait de la photographier en petite tenue. Cela faisait partie de leur érotisme à tous les deux, et elle aimait ce regard plein de désir posé sur elle.

Nous avons dîné tous les trois et quand le moment fut venu de passer aux choses sérieuses, je me suis retrouvé assis sur le sofa à côté de Pénélope, tous deux face à David, qui a sorti son appareil photo. “Touche-la, elle est à toi.” J’ai demandé à mon amie si elle était d’accord et elle m’a dit que oui avec un grand sourire. Elle portait une robe avec des boutons qu’elle a déboutonnée tout le long de son corps, dévoilant sa nudité parfaite en dessous. Sa peau soyeuse et caramel, ses larges mamelons, sa belle toison pubienne, un corps comme on en fait plus aujourd’hui ! Même trente ans après, ce souvenir est encore très net et très émouvant pour moi.

J’ai enlevé mon pantalon pour libérer ma queue dressée comme une tour. J’ai penché mon visage vers le paradis de son corps, et ma bouche s’est mise à téter ses seins pendant qu’elle caressait son sexe. Je me suis mis tout nu et j’ai escaladé son corps pour me retrouver en 69 au-dessus d’elle et goûter son sexe salé pendant qu’elle me faisait une pipe, confortablement allongée sur le canapé. Je me suis enfoncé dans sa bouche divine. Puis je me suis agenouillé sur un accoudoir pour qu’elle me suce tout en laissant David faire de magnifiques portraits d’elle, fière, belle, jambes ouvertes dans ses porte-jarretelles, sa bouche ouverte elle aussi sur ma grosseur au milieu de son joli visage digne d’une actrice de cinéma. Je me suis assis sur le sofa et elle s’est assise sur moi pour que je la prenne par-derrière. J’avais une vue plongeante sur la chute de ses reins et elle s’est mise à se balancer et à ondoyer sur ma queue plantée au coeur de son intimité, son buste sublime tourné vers son compagnon qui n’en perdait pas une miette et regardait, fasciné, ma queue disparaître dans le con de sa femme.

Plaisir profond…

Pénélope m’a laissé la prendre par le cul, car elle aimait ce genre de plaisir profond. J’y suis allé très doucement et très tranquillement, en fonction de ses indications. David n’en revenait pas qu’elle me fasse la sodomiser face à lui et son œil était braqué sur son objectif.

J’ai pu la prendre contre le canapé, à genoux derrière elle et même à moitié accroupi, dans une position un peu plus acrobatique. Le temps était suspendu, entre les gémissements de Pénélope, le bruit de l’obturateur de l’appareil photo, le regard de David sur nous, et mon sexe dans l’étroitesse de son intimité la plus profonde. La jouissance était proche.

Mais David voulait faire jouir sa femme lui-même. Il m’a dit de le remplacer derrière l’objectif. Je me suis retrouvé dans le rôle de photographe et je l’ai vu prendre Pénélope par la bouche, puis par-derrière quand elle s’est rallongée à plat ventre contre le matelas. J’ai capté leurs gestes de complicité, leur sensualité ensemble et ce regard de voyeur était d’une volupté inégalée. Les photos en noir et blanc reflètent, je pense, la beauté et la langueur de Pénélope, et nos désirs à tous les deux pour elle, ce moment qui nous a liés à jamais dans nos mémoires libertines. Ce courrier leur est dédié, en espérant qu’il ravira vos sens.

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