Trois types d’orgasmes surprenants !
10 septembre 2019Notre corps peut être une source de plaisir de diverses manières, parfois insoupçonnées. Ce que nous révèlent des études scientifiques sur ces trois types d’orgasmes.
On entend souvent parler de l’orgasme clitoridien, anal, prostatique, mais qu’en est-il de ces autres orgasmes moins connus ?
L’orgasme plantaire
Une étude, publiée dans , rapporterait un cas d’étude surprenant d’une femme de 55 ans : elle se serait plainte « de sensations orgasmiques non désirées provenant de son pied gauche« , irradiant son mollet, son vagin, jusqu’à sa tête.
Le docteur M.Waldinger, auteur principal de l’étude, expliquerait que cet orgasme survenait 5 ou 6 fois par jour, durant 5 secondes environ. Le neuropsychiatre préciserait qu’une pression manuelle sur une zone de la voûte plantaire déclenchait cette réaction. Le coupable n’était autre qu’un ganglion, qui a pu être rétiré.
Et ce n’est pas tout ! Les influx nerveux provenant du pied prennent la même direction que les influx produit par une stimulation du clitoris, selon les dires du médecin. Des propos qui expliqueraient le plaisir ressenti lors d’un massage de nos petits petons. De quoi dire que l’on peut prendre son pied au sens propre, comme au sens figuré.
L’orgasme nocturne
37% des femmes rapportent avoir eu un orgasme durant la nuit, d’après une . La corrélation entre les éventuels rêves érotiques et l’orgasme nocturne fait encore débat, bien qu’aucune étude ne démontrerait ce potentiel lien.
Une étude publiée dans ajouterait d’ailleurs que certaines positions du sommeil favoriseraient son déclenchement. Les postures sur le ventre, par exemple, liées au frottements des draps, provoqueraient l’orgasme nocturne. Il « aurait pour fonction d’évacuer des tensions et frustrations, sexuelles ou autres. Bon nombre de femmes rapportent avoir de tels orgasmes en période d’abstinence forcée –après une séparation, un divorce, par exemple. » rapporte .
D’autres scientifiques apporteraient une hypothèse différente : la tumescence pénienne nocturne, un phénomène également observé chez les femmes avec l’afflux de sang vers le clitoris, en serait la cause.
L’orgasme épileptique
Les crises d’épilepsie seraient susceptibles d’être le déclencheur d’orgasmes, d’après une étude publiée dans Neurology. Douze patientes assureraient avoir ressenti une excitation sexuelle, voire un orgasme en pleine crise.
Une activité cellulaire, dite anormale, en serait responsable. La survenue d’une crise épileptique stimulerait l’hémisphère droit, ce qui provoquerait des sensations au niveau du vagin et du clitoris. Et par ailleurs l’orgasme.
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Baillou
Je vous écris car je suis en quête d’orgasme par ce qu’etant Handicapé , je suis changé.