Un sauveteur très efficace
23 juin 2024Camille, 35 ans, se blesse en mer mais un sauveteur lui vient en aide. Camille apprécie le geste, couche ensemble et finissent par se marier quelques années après.
L’an dernier, j’ai passé mes vacances d’été dans une station balnéaire du nord de la France, où des amis possèdent une maison. J’occupais mes journées à bronzer sur la plage en matant les mecs. Je dois préciser que j’ai 35 ans, que je suis blonde et mince et que, sans me vanter, vu la taille de ma poitrine, je suis plutôt du genre à taper dans l’œil de ces messieurs. Voici mon histoire de sexe.
Un sauveteur bandant
Un matin, je me suis râpé la cuisse contre un rocher. Sur le coup, je n’ai rien senti mais en sortant de l’eau, j’ai constaté que ma blessure nécessitait quelques soins. Je me suis donc vite dirigée vers la baraque tenue par les maîtres-nageurs sauveteurs CRS. Je suis tombée sur un grand brun moustachu, bien musclé, qui m’a mise à l’aise. Il n’était pas en service, mais il portait quand même la tenue réglementaire, T-shirt et slip de bain de rigueur ! Il a proposé de me soigner. J’ai pu constater qu’il avait un morceau de choix sous son slip, et des idées m’ont traversé l’esprit : les uniformes, même tout riquiquis, ça me fait de l’effet !
Je me suis assise sur une chaise, il s’est installé sur le côté et m’a auscultée en passant ses doigts sur ma cuisse. J’ai eu la chair de poule. Il a mis un peu de pommade aseptisante sur du coton. Tout en frottant, il maintenait ma cuisse de l’autre main, tout près de mon sexe. Je n’ai pu m’empêcher de lui dire qu’il savait y faire. Le coton est remonté jusqu’au début de ma fesse. J’ai vu que la bosse sous son slip avait triplé de volume. J’ai respiré fort, envahie par une vague de désir, les yeux fixés sur son bas-ventre…
Direction la petite cabine
Au bout d’un moment, sa main s’est posée, paume ouverte, contre ma chatte. C’était comme si on s’était compris sans un mot : le pied total ! Il a défait le fil de mon slip noué sur le côté, puis il s’est mis à genoux et m’a léché le clito. C’était la première fois que je tombais sur un homme qui faisait ça direct. Mes cuisses se sont écartées à 180 degrés ! Il m’a sucé le bouton à fond et longtemps. Je mouillais énormément. J’ai avancé un bras pour sortir sa bite de son slip et, me voyant faire, il s’est aussitôt relevé et m’a entraînée dans une petite pièce à l’abri des regards.
Il a retiré son cache-sexe et j’ai pu voir une belle queue d’au moins 20 cm de long. Je n’en avais jamais eu une pareille dans la chatte ! Il m’a soulevée de toute sa puissance et m’a plaquée contre le mur. J’étais tellement mouillée qu’il est entré direct dans mon intimité. D’un bras, je me retenais à ses larges épaules dégoulinantes de sueur pendant qu’il me foutait des coups de gourdin dans le vagin. Je lui ai caressé les fesses en titillant son œillet. J’ai senti qu’il tendait son cul vers l’arrière. Alors je lui ai enfoncé un doigt, et il a gémi de plaisir pendant que je le bougeais à l’intérieur. La position n’était pas facile à tenir, mais on était chauds comme des bêtes et j’ai joui très vite.
Une puissante baise
Les coups qu’il m’assénait sont devenus si forts que j’ai dû sortir de son cul pour pouvoir m’accrocher à lui. Il m’a pilonnée comme une brute épaisse. Moi, je faisais tout mon possible pour ne pas gémir trop fort, au cas où un de ses collègues rentrerait. Il allait et venait de toute sa longueur et, en jouissant pour la seconde fois, j’ai eu l’impression d’avoir une perche de maître-nageur dans le ventre : du grand art ! Il a sorti sa grosse verge de ma chatte, m’a reposée sur le sol, et je me suis penchée pour lui bouffer la queue. Il a explosé en gueulant comme un âne et je me suis tout pris au fond de la gorge, comme ces salopes qu’on voit dans les films porno.
J’ai beaucoup apprécié sa gentillesse quand nous sommes revenus ensuite dans la pièce principale pour qu’il finisse de me soigner. J’ai appris ce jour-là qu’il se prénommait Alban et venait de Brest. On s’est revus souvent cet été-là. Le plus dingue, c’est que l’année prochaine, nous allons nous marier !
(Image à la une : Getty Images)
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« Une minutes après, elle me pompait le dard comme une goulue : plus de problème de souffle, mais une belle aspiration bien régulière, ponctuée par des gémissements de chienne. » Sam
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« Lui, il me doigtait en même temps (très bien, d’ailleurs), alors ça m’a donné du courage pour ce que je faisais ! J’ai continué mes mouvements, et même si j’avais l’impression de faire n’importe quoi, il m’a dit » Lola