Objectif …lune
20 décembre 2015Caro s’était juré de ne jamais tomber dans les bras de Ludo, un accro de la caméra qui a l’étrange habitude d’immortaliser ses ébats à l’insu de ses partenaires. Et pourtant…
Ludo, toutes les nanas connaissent sa réputation ! Il est trop mignon, très intelligent, avec un humour à froid qui, de prime abord, peut déstabiliser… Une pure gueule d’ange dans un esprit pervers ! Je dis cela car il faut savoir que le grand kif de ce mec, c’est de filmer ses ébats, avec ou sans l’accord de ses “proies”, comme il les surnomme auprès de ses copains ! Personnellement, je m’étais juré de ne jamais tomber entre les griffes de ce prédateur très bobo qui organisait des soirées entre potes pour des séances de cinéma d’un genre un peu spécial…
Ce jour-là pourtant, lorsque je me suis retrouvée devant sa porte, j’ai eu très envie de lui, de son corps, de son coup de reins dont tant de filles (notamment ma meilleure amie) m’avaient dit le plus grand bien… Comme de coutume, il était en train de jouer avec sa caméra HD, son “bébé” comme il l’appelait, son troisième œil avec mémoire intégrée ! Entre le désir et la prudence, mon cœur balançait. Mais lorsque le félin a fait mine d’éteindre devant moi son joujou numérique, moi, comme une truffe, je l’ai cru et j’ai pensé que, pour une fois, il allait respecter ses engagements et le choix de sa partenaire. Malheureusement, chassez le naturel… Lorsque ses mains se sont posées sur mon corps, mes idées étaient déjà largement brouillées. La caméra n’était plus qu’un vague souvenir que le désir ne faisait qu’estomper…
Le beau gosse avait troqué sa panoplie de félin pour celle de reptile capable d’hypnotiser sa proie. Son regard s’est plongé dans le mien. Je me laissais désormais guider par ses gestes, ses envies…
Nous nous sommes retrouvés totalement nus sur son sofa et là, les jambes écartées, je me suis offerte sans plus aucune résistance. Ludo savait utiliser ses doigts comme personne ! Il fouillait mon intimité tout en malaxant mon clito. Je n’étais plus qu’une prise facile venue se perdre dans la tanière de cet accro de l’image. En effet, sans que je ne m’en rende compte, mon séducteur avait placé sa caméra à un endroit stratégique, lui permettant de capter les moindres détails de nos ébats. Cette pensée ne m’a pas traversé l’esprit, et je me suis jetée sur sa tige tendue pour la déguster et la déguster encore.
Ludo devait déborder de scènes de pipe dans sa collection personnelle car il a vite voulu passer à l’étape suivante.
Il m’a placée en levrette sur le sofa et est entré en moi, m’arrachant un cri de plaisir.
Dans un coin de ma tête, je savais bien que cette partie de baise avec ce mec me réserverait une surprise désagréable mais, dans le feu de l’action, je ne me souciais pas des conséquences de mes actes.
Les mains appuyées sur l’accoudoir, je poussais en arrière afin de faire disparaître sa queue entre mes cuisses. En jetant un coup d’œil derrière moi, j’ai bien noté que mon amant du moment se tenait dans une position bizarre, un peu comme un acteur de porno qui fait en sorte que l’on distingue bien son membre en action dans le sexe de sa partenaire.
Mais Ludo m’a regardée tendrement et je n’ai pas pu l’interroger sur la fameuse caméra ! Je me suis quand même retournée afin de m’empaler sur le pieu et, au passage, jeter un regard dans la pièce afin de savoir si un œil numérique ne scrutait pas notre corps à corps. Mon tombeur a redoublé de vigueur dans ses coups de reins. Fermement agrippé à mes hanches, il tapait si fort et si profondément en moi qu’un orgasme a traversé toutes les parcelles de ma peau avec une force inouïe. J’ai joui et j’ai crié ma volupté sans retenue.
Visiblement excité par mes cris de plaisir, mon assaillant y est allé de sa petite phrase : “Alors, tu aimes ça finalement, petite garce ! Ça te plaît de te faire baiser ainsi !” Oui, ça me plaisait, je prenais mon pied, je me sentais libre et totalement à la merci de cet homme à la réputation amplement méritée.
Et puis, tout à coup, je l’ai repérée… Elle était tellement visible que mon regard s’était posé partout sauf sur cette table ! À peine dissimulé, l’œil numérique était dans la pièce et regardait non pas Caïn mais moi, moi en train de me faire prendre comme une petite chienne, bien loin de l’image de fille sage que tout le monde voulait bien me prêter ! Pourtant, au lieu de fuir, de me saisir de la caméra pour effacer ce qu’elle contenait, je me suis laissé faire. Je crois qu’au fond de moi, l’idée d’être ainsi épiée m’excitait. Je voulais moi aussi avoir un souvenir de cet ébat, de ce moment de plaisir intense dont Ludo me gratifiait.
Alors, quitte à être provocante, autant l’être jusqu’au bout ! En levrette sur le canapé, je me suis écarté la chatte, bien dans l’angle, comme une vraie pro !
Je gémissais, je criais, je hurlais… Visiblement, mes râles rendaient encore plus intense son excitation. Il me donnait de légères tapes sur les fesses, pas assez marquées à mon goût. “Allez, punis-moi, claque mon cul de garce…” Si le bel homme a paru d’abord surpris, il ne s’est pas pour autant fait prier pour répondre à mes attentes. Sa main gauche est venue s’abattre avec force sur mon cul rebondi. L’espace d’un instant, la douleur s’est mêlée au plaisir et je dois reconnaître que la sensation était tout simplement divine.
Ludo a ressorti sa queue de mon intimité et il a déposé un long filet de bave sur mes fesses. Humm, ce dernier a coulé sur ma raie, sur mon œillet avant de rejoindre ma chatte ouverte. J’ai cru que l’étalon allait vouloir s’octroyer ma petite porte, mais hélas non ! Sa résistance commençait visiblement à être mise à rude épreuve, et c’est entre mes lèvres enduites de mouille et de bave qu’il a repris ses assauts. À sa respiration de plus en plus marquée et rapide, j’ai senti qu’il n’allait pas tarder à me régaler de son jus.
Jouir en moi, un peu classique pour un film non !
Alors, avant qu’il ne gicle, je me suis retournée comme une furie pour saisir sa queue rougie par le désir et la gober au fond de ma bouche. Mon amant a paru surpris par mon entrain.
Mais, lorsque je l’ai regardé droit dans les yeux en lui balançant : “Je veux que tu te vides sur mon visage”, j’ai bien cru qu’il allait s’étrangler.
Quelques va-et-vient au fond de ma bouche ont eu raison de lui. Alors, lorsque j’ai senti son corps se raidir, j’ai sorti sa queue d’entre mes lèvres pour recevoir ma récompense en liquide. Le visage couvert de sperme, je l’ai fixé et je lui ai demandé d’une voix ferme : “N’oublie pas de me faire une copie !”
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