Mes aventures les plus intenses
20 juillet 2025Tom , 34 ans, souhaitait explorer sa sexualité dans un sauna libertin…il finira par se faire sodomiser !
Tom nous raconte son histoire de sexe amateur où il a découvert les joies du libertinage et de la sodomie !
J’ai acheté mon premier interstron.ru à 18 ans… Je me souviens encore de sa couverture, avec la jolie Julia Channel. Votre magazine a alimenté mes fantasmes alors que je commençais tout juste ma vie sexuelle.
A la recherche d’une partenaire
À 24 ans, j’ai été embauché dans une association sportive, en même temps que Vera, une jolie femme d’une quarantaine d’années, très féminine. Étant entouré d’une multitude de stagiaires, je m’en donnais à cœur joie, les occasions ne manquaient pas, et je profitais de mon statut de responsable pour dévergonder mes jeunes recrues.
Le lendemain, je racontais avec force détails mes aventures à ma belle collègue, qui venait de rencontrer une personne très portée sur le sexe, elle aussi.
Elle me montrait régulièrement ses nouveaux bas, achetés pendant la pause déjeuner avec son chéri, ainsi que ses tatouages intimes, sur les fesses ou encore le pubis.
Un beau jour, alors que nous déjeunions tous les trois, son mec m’a annoncé qu’ils prévoyaient d’aller faire un tour dans un sauna libertin : “Trouve-toi une de tes stagiaires et invite-la. C’est réservé aux couples, mais ça ne devrait pas te poser de problème… »
J’ai fait le tour de mon agenda, mais aucun de mes “plans” n’était d’accord. Dégoûté, j’ai dû dire à Vera que je n’avais trouvé personne.
La veille de la sortie, son homme m’a téléphoné : “Hé mec, si t’es toujours OK, je t’ai dégoté une cavalière, elle s’appelle Sophie, tu dois aller la chercher après son travail, demain à 19 heures, vous nous rejoindrez au club.”
Le lendemain, à 19 heures, je suis allé attendre la fille à la sortie d’une salle de gym, ne sachant pas trop quoi espérer. Une nana qui acceptait ce genre de plan devait être, selon moi, furieusement en manque.
Prenant mon courage à deux mains, je me suis présenté à l’accueil et j’ai demandé la fameuse Sophie. “Elle vient de terminer son cours, elle ne va pas tarder”, m’a répondu un gros balèze avec un grand sourire.
Au même moment, une splendide Black est sortie des vestiaires : 25 ans, taillée au couteau dans le bois d’ébène le plus noir. Sur la route, elle m’a expliqué qu’elle était prof de fitness. Moi, je n’écoutais rien, je répondais machinalement.
Je me disais que j’allais enfin pouvoir réaliser mes fantasmes. Les récits d’interstron.ru me passaient en boucle dans la tête : j’allais dans un club libertin avec une vraie bombe à mes côtés. Le rêve…
Tom, le roi des partouzes
Vera et son homme nous attendaient, ils se connaissaient déjà avec Sophie. On est entré, on s’est changé. Après quelques verres et une séance de massages mutuels au sauna, nous avons trouvé une chambre dans les coins câlins pour passer aux choses sérieuses.
C’était comme dans un rêve, les filles étaient bi, elles se léchaient pendant que nous les caressions. Nous les avons échangés plusieurs fois dans une ambiance de rires décontractés.
Le dernier souvenir clair de cette première soirée est une immense partouze de six ou sept couples sur un lit géant au milieu de la salle principale !
Nous avons continué régulièrement nos sorties avec Sophie. J’étais le roi du monde, deux profs de sport de 25 ans tous les deux, avec Madame bisexuelle, nous étions le couple le plus convoité de la soirée à chacune de nos sorties.
Je pensais être arrivé au top de ce que la vie pouvait m’offrir (sur le plan sexuel en tout cas). Pour la première fois, ma libido débordante était enfin rassasiée…
Un beau jour, je ne sais plus pourquoi, nous nous sommes retrouvés avec un homme seul dans une des chambres. Il s’y prenait assez mal avec Sophie, il était trop brutal et beuglait des phrases tout droit sorties d’un film de cul bon marché.
On n’était pas du tout dans le trip. Je me suis intercalé entre eux pour la préserver, et je ne sais pas trop pourquoi, mais j’ai pris sa place et j’ai commencé à branler le mec pour le faire patienter.
À ce moment-là, Sophie m’a regardé d’un air vicieux, elle a “pris les choses en main” en dirigeant son membre dans ma bouche et en m’appuyant derrière la tête.
De sa main libre, elle me forait le petit trou d’un doigt lubrifié avec son jus, et moi, je m’efforçais de sucer cette grosse bite du mieux que je le pouvais.
Première sodomie
Toujours directive, elle s’est placée sur le dos, m’invitant à la pénétrer très lentement. Pendant ce temps, l’homme, à genoux derrière moi, présentait son gland à l’entrée de mes fesses.
Au même rythme que la mienne dans Sophie, sa queue progressait centimètre par centimètre. Je regardais ma complice droit dans les yeux. Elle nous a dit : “Alors, ça vous plaît de vous enculer mes cochons ?”
Dans un rire, je lui ai répondu que oui, j’aimais ça, sentir une bite dans mon cul. Les sensations étaient incroyables, j’avais l’impression que ce membre me traversait de part en part et que c’était sa queue qui ramonait la chatte de Sophie à travers la mienne.
J’ai joui très fort. En attendant qu’il se vide dans sa capote, je suis resté immobile sur le corps de ma complice un long moment, en essayant de retrouver mon souffle. Cette expérience a radicalement changé ma vie sexuelle.
Les années ont passé, j’ai perdu Sophie de vue, et je suis en couple. Mais je continue à aller en club de temps en temps, seul. J’ai réalisé que seul le trio permettait ce rapport de soumission et domination entre les trois personnes, ce déséquilibre constant entre le voyeurisme et l’action.
C’est, à mon sens, beaucoup plus cérébral que le simple échange de partenaires. Ce que j’aime, c’est rentrer dans l’intimité d’un couple et de savoir qui a le “pouvoir” : veut-elle dominer son homme ?
En le forçant, par exemple, à regarder et à prendre mon sexe pour le porter à l’entrée de sa chatte ? Sont-ils soumis tous les deux, pour répondre à mes envies du moment ?
Ou vont-ils m’utiliser comme un sextoy géant sans m’adresser la parole ? Tout est possible, et les combinaisons innombrables. Oui, je le clame haut et fort, c’est dans le trio que j’ai vécu les moments les plus intenses de ma sexualité !
Si des couples me lisent et hésitent à franchir le pas, je serais très heureux d’en discuter avec eux…
Des bises à la rédaction et à tous les lecteurs et lectrices d’Union. Merci encore pour la qualité de votre revue.