Un après-midi au cinéma

La rédaction 22 mai 2020

Christine, 22 ans.

J’étais âgée de 22 ans et nous demeurions dans un appartement attenant au bar de mes parents. Bien entendu, c’était un va-et-vient de clients. Parmi eux, j’avais sympathisé avec un jeune de 28 ans, Jean. Un jour, il m’a invitée au spectacle de fin d’année de son travail. Nous étions assis côte à côte. Il avait posé son bras sur mon épaule et sa jambe contre la mienne. J’aurais dû le repousser, mais je me laissais faire.

Au retour, il m’a proposé : « Si je t’embrassais… Pour voir ! » Sur ces mots, il a arrêté la voiture et nous nous sommes jetés l’un sur l’autre, fougueusement, nous nous caressions mutuellement et nous embrassions à pleine bouche. Mais le temps était compté, mon petit mari m’attendait… Nous avons alors repris notre route, très sagement.

Les jours ont passé. Jean me rejoignait régulièrement au square où je promenais le chien. Lors d’une de ces balades, il m’a proposé d’aller au cinéma. Le lendemain, c’était férié, mais mon mari travaillait. Je lui ai dit que j’allais au cinéma avec le mec en question et il m’a dit que c’était OK… Donc j’y suis allée.

Nous sommes arrivés très en avance pour la première séance. Jean m’a dit : « Tu veux voir où j’habite ? – Oui bien sûr, si tu veux ! » Nous avons pris un café chez lui… Puis un cognac, deux cognacs, des caresses, des baisers longs et passionnés… Nous étions très excités ! Tout d’un coup, plus de collant !
Il a craqué, on l’a arraché ! Et plus de petite culotte non plus ! Le cunni est bien vite arrivé… Nous sommes allés sur le lit afin de poursuivre à notre aise. Il m’a prise en missionnaire. Il s’est déchaîné. Je me suis retournée pour qu’il me baise en levrette. Il m’a pilonnée ! J’en gémissais, j’étais hystérique, mais il accélérait sans cesse, il me chevauchait sans relâche, ses couilles pleines tapaient sur ma chatte. Soudain il a poussé un grand soupir et s’est retiré pour étaler tout son foutre sur mes fesses et le bas de mon dos.

Nous sommes tombés dans les bras l’un de l’autre, épuisés. Ma tête s’est lovée au creux de son épaule. Ça avait été rapide en fait, mais quelle intensité ! Quel amant ! Quelques minutes plus tard, il m’a dit : «  J’ai encore envie de toi… » On a remis ça et on n’est jamais allé au cinéma !

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La maman de Charles »

Je bandais comme un âne, comme jamais je ne bandais avec ma copine. Elle m’a un peu sucé mais je trouvais ça bizarre, j’avais l’impression que cette pratique était réservée aux jeunes. Moi, tout ce que je voulais, c’était entrer en elle. Je l’ai pénétrée sans difficulté, elle bien orienté son bassin pour laisser passer ma bite. » Stéphane,26ans.

Farcie par l’inconnu du car

« Il m’a pénétrée comme un sauvage, d’un grand coup profond. Je me suis remise à couiner malgré moi. Il est sorti, puis il est rentré, il a recommencé quatre ou cinq fois de la sorte. C’était étrange, mais délicieux. » Anna, 24 ans.


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