Les poils, ce régal !

La rédaction 10 mai 2023

L’histoire de sexe de Brice, 31 ans, est particulière. Il refuse les diktats de la beauté, en particulier en ce qui concerne les poils qu’il trouve excitant.

Avant de commencer mon histoire de sexe, j’ai un petit coup de gueule à passer. À bas l’épilation, les bandes de cire chaudes, les rasoirs jetables ! Qui a eu cette idée farfelue, d’ailleurs ? L’idée de devoir couper quelque chose d’aussi important que nos ongles ou nos orteils ?

Qui veut la mort de notre érotisme ? Les poils, c’est le signe de notre animalité, de notre bestialité, de ce qu’il y a de plus sexuel en nous. La publicité devrait bien arrêter avec cette histoire de désirabilité d’un corps totalement glabre et lisse : c’est faux !

Une affaire de poil

Désolé pour ce petit coup de gueule, et ne vous inquiétez pas, chers lecteurs, je vais attaquer mon histoire. Mais laissez-moi tout d’abord me présenter. Je m’appelle Brice et je suis marié depuis quelques mois avec Clothilde, une nana géniale.

Une de celle qui vous retourne les yeux par son corps superbe, et le cerveau par son intelligence extrême. Si je ne l’avais pas épousée, j’en serais certainement mort. Mais passons. Il y avait quand même quelques zones d’ombre dans son portrait.

Quand je l’ai rencontrée, elle s’épilait tout le temps, impossible de lui faire changer d’avis. Elle trouvait que ses poils étaient d’une saleté immonde, une aberration de la nature, des herbes sauvages sur un green de golf (cette métaphore est d’elle d’ailleurs, elle adore le golf !).

Un jour, elle a perdu un pari. Je lui ai fait goûter des macarons avec des saveurs particulières, et elle devait deviner ce qu’ils contenaient. Nous avions convenu que si elle en trouvait un seul, je perdais, sinon, je gagnais. C’était très difficile car la couleur était souvent trompeuse, et il valait mieux les déguster les yeux fermés.

J’avais pris soin de demander au vendeur un fascicule pour me souvenir de tous les parfums. Armagnac-poire, gingembre, fleur d’oranger-violette. Ce n’était vraiment pas évident ! La pauvre a perdu sur toutes les saveurs (il y en avait 12 en tout), et je lui ai demandé, comme j’avais gagné mon pari haut la main, de ne pas se raser pendant deux semaines. Ni la chatte, ni le cul. Elle a essayé de négocier de pouvoir tout de même mettre un rapide petit coup sur son cul, mais j’ai évidemment refusé !

Les poils autour du cul

Et puis quoi encore ? J’ai pris en photo sa belle motte durant tous ces jours et je vous les ai jointes à ce courrier pour que vous puissiez admirer vous aussi cette merveille de la nature. Voyez comme ils sont bien durs, bien érigés. Tout frais sortis du nid. Bon, bien sûr, ce ne sont que des petits poils, mais cela reste très excitant n’est-ce pas ? Pour ne rien vous cacher, ceux qui m’excitaient le plus, c’est ceux qu’elle avait à l’arrière.

Pour la féliciter de ces jours sans épilation, je me suis pris de lui faire un anulingus du tonnerre le dernier jour. Je sentais ma langue s’emmêler dans ses poils, c’était divin ! Ils retenaient entièrement les effluves de son anus, cette odeur terriblement sexuelle

Le minou baveux

Je bandais bien fort alors que je lui léchais la rosette. Elle se caressait le sexe en même temps, pour jouir sur mes coups de langue. Elle préférait d’ailleurs se caresser sur le ventre, elle aimait sentir sa poitrine comprimée sur le lit.

Quand j’ai senti les spasmes caractéristiques de son orgasme, je me suis approché de son oreille et lui ai demandé tout bas : « Tes poils vont me manquer, ma petite femme. Oh oui. Ils vont me manquer. »

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