Sport collectif
3 mars 2023Je m’appelle Samia, j’ai 19 ans et j’aimerais partager mon histoire porno. Vous connaissez cette histoire dans les vestiaires de sport dont on entend toujours parler ? Et bien moi, ça m’est arrivé en vrai il y a un an. Je pense que je devrais avoir honte, mais je ne peux pas m’empêcher d’être excitée quand j’y pense.
Premier match
Je suis footballeuse et j’ai été repérée pour intégrer l’équipe féminine du club de ma ville l’an passé. Ça s’est passé après mon premier entraînement. Déjà, les meufs sur le terrain m’avaient fait plein de sous-entendus sur un bizutage, sans dire ce que c’était exactement. « Tu vas voir toi, dans les vestiaires. – Putain elle va kiffer la nouvelle. » Je croyais qu’elles déconnaient, donc je n’ai pas fait plus attention que ça. Il faut savoir qu’on partage le terrain avec l’équipe masculine. J’avais du mal à me concentrer sur mes tirs de corner, car le buteur n’arrêtait pas de me mater. Cristiano Ronaldo avec une barbe, tu vois le genre. Il s’appelait François.
Donc je suis dans la douche avec toutes les autres joueuses. On se met des tapes sur le cul, on se mate les seins vite fait. Rien de bien différent par rapport à mon ancienne équipe. Je profite de l’eau chaude, mon corps est brûlant. C’est là que deux claquements de mains résonnent. Et toutes les filles sortent en même temps. Je me retrouve toute seule. J’attrape ma serviette, mon gel douche pour sortir aussi. Mais là, qui je vois ? François qui me barre la route. Et il n’est pas tout seul : il est avec son copain Karim, le numéro 10. Un Rebeu plutôt trapu et costaud, pas du tout souriant. Ils sont encore en maillot, tout suants.
« Salut la nouvelle, me sort François. C’est pas poli de vouloir partir comme ça. ». Karim me dit alors que comme je suis nouvelle dans le foot pro, il va falloir qu’ils m’apprennent à prendre ma douche correctement. Ils se mettent alors en boxer tous les deux et me prennent par la main, de manière gentille.
« Tiens regarde, c’est comme ça qu’on fait. » François, du haut de son mètre quatre-vingt-cinq, me verse un énorme filet de gel douche sur le haut du buste. Sérieux, il a dû vider la moitié du flacon. « Étale bien maintenant ». Je m’exécute en silence, le regard plongé dans ses grands yeux noirs. Je me concentre sur mes seins. Karim est derrière moi. Je ne vois pas ce qu’il fait. Mais j’entends un petit bruit. Il doit se branler en matant mon cul, c’est sur. « Non, tu ne le fais pas bien. Regarde. » François passe ses deux mains sur moi, me frictionne, faisant bien mousser partout. Il empoigne mes nichons. « T’as des gros seins, c’est pas trop gênant pour courir ? »
Les joueurs
Avant que je puisse répondre, Karim sort : « T’oublies un endroit, François. » Il se colle à moi par-derrière. Je sens son souffle chaud contre ma nuque. Et un gros machin glisser le long de ma raie. Il met sa main contre ma chatte et frotte bien consciencieusement. L’eau. Le savon. L’excitation. Tout ça me lubrifie vitesse grand V, et le footeux n’a aucun mal à faire rentrer son majeur en moi. Il dirige ensuite son gland contre la porte de mon anus et s’amuse avec le rebord. Je pourrais encore partir, mais je suis envoûtée. Je choisis de me cambrer.
Devant moi, François retire son boxer et je découvre un sexe long, parfaitement entretenu, en demi-molle. Il grimpe sur le banc du vestiaire, se plaçant à auteur de ma bouche… Alors je l’engouffre entre mes lèvres pulpeuses, et son sexe se gonfle vite contre mon palais. Peu expérimentée, je commence par le branler avec deux doigts. François : « Branle-moi mieux, cochonne. ». Alors j’agrippe sa bite à pleine paume.
Karim, toujours derrière moi, s’est mis à genoux et explore mon derche de sa langue. Il me crache dedans, comme si je n’étais pas assez trempée. Puis il remonte et m’enfonce son sexe sans ménagement dans le cul. Là, je ressens un truc entre la douleur et la chaleur. Je n’arrive pas à continuer à sucer François, toujours perché sur son banc. Je suis comme paralysée. Puis je m’habitue et reprends mes esprits. François me tient par le crâne, me force à tout enfourner. Karim se retire, décharge une fournée contre mon cul musclé.
Karim s’assoit alors sur le carrelage dans le coin contre le mur, les jambes écartées. Je découvre enfin ce qu’il m’a enfilé. Jamais vu une bite aussi grosse. Épaisse et toute veineuse. Comment ai-je pu encaisser ça ? J’ai lapé sagement son gland, ses bourses, pendant que François se branlait juste au-dessus de moi. Il a relâché sa purée partout sur mon dos, un peu dans mes cheveux. Je n’ai jamais été traité aussi mal. Qu’est-ce que c’était bon.
Le week-end suivant nos deux équipes gagnaient leurs premiers matchs. François et moi avons entamé une relation. Mais de temps en temps, Karim ne rechigne pas à venir se joindre à nous
A lire aussi :