L’amour à la plage

La rédaction 14 février 2024

Priscilla, 55 ans

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J’ai 55 ans, je suis célibataire et surtout, folle de mon corps. Pas de place pour les complexes dans ma vie, j’assume mon âge et mes désirs ! Pour me maintenir, je nage dès le mois de mai dans l’océan, plus précisément, sur ma côte basque adorée.

On est en liberté sur les grandes étendues de sable, surtout hors saison.Il y a quelques années de ça, on a voulu m’empêcher de profiter de cette belle nature. « On » c’était un maître nageur qui avait décidé de venir m’importuner. Il était à peine 9h du matin, au tout début du mois de juin, et il n’y avait pas foule sur ma plage préférée. Je m’étais installée à quelques mètres de l’espace de baignade surveillée et profitais du soleil dans la tenue que Dieu m’a donnée. Monsieur a alors débarqué. La quarantaine, bien bâti malgré un peu de ventre, il m’a cueillie au sortir des vagues. « Madame, vous êtes dans une zone familiale, il va falloir vous rhabiller ». J’ai protesté que je venais ici tous les jours et jamais je n’avais eu le moindre problème. Mais le maître-nageur a continué : « Vous êtes là régulièrement ? Il va falloir me suivre. Ce que vous faites est interdit ». J’étais soufflée, tellement que j’ai obéi sans plus rien dire. Et nous voilà à remonter la plage jusqu’aux dunes toutes proches, où se tenait un vieux cabanon en planches. J’étais bonne pour une contravention, tout ça pour avoir osé me dénuder ! J’étais d’ailleurs toujours en tenue d’Eve, hormis le et le caraco que j’avais enfilés à la va-vite quand Monsieur était venu me sermonner.

Vous avez le droit de garder le silence

Quand il a ouvert le cabanon, j’étais très nerveuse. Allait-il appeler les policiers ? Il est entré et m’a présenté les lieux d’un air faussement solennel : « C’est ici que nous amenons les dames dans votre genre ». Il avait beau sourire, la formule m’a vexée. J’ai rétorqué : « Qu’est-ce que ça veut dire, “dans mon genre” ? » Le maître-nageur s’est approché et a tendu la main en direction de ma poitrine : « Du genre qui n’a pas froid aux yeux », a-t-il dit d’une voix soudain plus douce. J’ai ouvert de grands yeux quand il s’est mis à peloter mon sein droit, en cherchant à comprendre ce qu’il m’arrivait. Mon sein gauche a subi le même sort. La main était experte et mes tétons n’ont pas tardé à durcir quand Monsieur s’est mis à tirer légèrement dessus.

C’était donc ça qu’il avait en tête. J’ai regardé autour de moi et compris que j’étais dans l’antre des surveillants de la plage, une sorte de garçonnière où, à en juger par l’état des matelas au sol, je n’étais pas la première à avoir été invitée… La situation était absurde, mais aussi, je dois l’admettre, étrangement excitante. J’étais là, seule au milieu des dunes, exposée au regard d’un mâle désormais en rut… Pas de doute sur ses intentions, son maillot semblait sur le point d’exploser !

Le scénario rêvé

J’ai ri : « Vous avez l’intention de me punir pour avoir voulu bronzer ? Parce que j’ai l’impression que vous avez une autre idée en tête… » Le mâle s’est contenté de sourire et a désigné les matelas : « Il va falloir vous plier aux règles. Ici, c’est ma plage et c’est moi qui décide. » Son manège m’agaçait autant qu’il me plaisait. J’ai basculé du côté de l’excitation quand mon hôte a fouillé dans la poche de son maillot et en a sorti un drôle d’objet en caoutchouc, à la forme évocatrice. « Je pourrais vous verbaliser pour exhibition. Mais peut-être qu’il serait plus simple de m’obéir… » Je n’ai pas pu retenir un gémissement. La situation m’échappait complètement, alors pourquoi ne pas admettre que Monsieur avait gagné son pari ? Je me suis allongée sur le matelas douteux et j’ai fait ce qu’il me demandait.

C’était la première fois que j’utilisais un tel objet. Je vous laisse admirer le résultat grâce aux photos que mon hôte a prises, et qu’il m’a ensuite envoyées par mail. J’étais timide au début, mais il m’a encouragée de ses gestes et de ses mots. « Écartez les fesses, voilà. Regardez comme je me sers de la mouille pour lubrifier mes doigts, vous pouvez faire pareil. C’est bon, n’est-ce pas ? » Il avait raison, le mélange entre ses caresses et les miennes sur mon sexe, et nos jeux au niveau de mon cul, m’ont rapidement fait grimper au rideau. Le maître-nageur était prévenant et flatteur : « J’amène souvent des filles ici, mais vous êtes la seule qui soit aussi sexy quand elle se prend le cul… » Je me sentais terriblement bonne, à me donner du plaisir avec tout ce que j’avais sous la main.

Le bouquet final de tous ces préparatifs, une sodomie dans les règles. Monsieur s’est mis au-dessus de moi et m’a demandé de m’enfiler son jouet pendant qu’il se branlait. Mon manège lui a fait gonfler l’engin, au point que j’ai eu peur de ne pas pouvoir l’accueillir. Mais le désir fait des miracles, et avec un peu de patience, il est parvenu à me la mettre dans le cul. Je n’étais pas habituée et il m’a fallu respirer à chaque poussée pour ne pas me contracter et l’expulser… Frustré de ne pas pouvoir la rentrer à fond, mon hôte a fini par me demander de me mettre à quatre pattes. « Vous allez adorer, je vous le promets… »

J’ai obtempéré, pour mon plus grand plaisir ! Telle une pouliche dominée par son étalon, j’ai pris sa queue, en entier dans le derrière, et je me suis laissée siphonner jusqu’à ce que Monsieur décharge dans mon petit cul. Je n’ai malheureusement pas joui cette fois-ci, mais bien à son invitation suivante dans le cabanon.

(Image à la une : Getty Images)

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