Témoignage érotique : « Sous les fenêtres »
13 juillet 2021Notre témoin nous partage une histoire torride, qui s’est déroulée en pleine canicule.
Un besoin de fraicheur
C’était il y a trois ans. Cet été, comme d’habitude, je travaillais au Luxembourg pour me faire un peu d’argent. Mon copain lui, faisait la même chose mais aux espaces verts de son village. On était en plein milieu du mois de juillet et il faisait très chaud. Dieu merci, ses parents avaient eu la merveilleuse idée de mettre une piscine dans leur jardin. En sortant du travail, je n’avais qu’une seule envie, c’était de foncer chez lui pour me jeter à l’eau. Après avoir péniblement subi les bouchons qui relient le Luxembourg de la France, je suis arrivée chez lui. Je salue ses parents et sa soeur, qui profitaient déjà du soleil et de la piscine. En retrouvant mon copain dans sa chambre pour changer de tenue, il m’informe que ses parents ne tarderaient pas à partir je ne sais où. J’avoue qu’à ce moment, je m’en fichais pas mal, car je ne pensais qu’à me rafraichir.
Tous les deux en maillot de bain, nous avons rejoint les autres dans le jardin. Après une petite discussion et une glace, nous nous sommes dirigés vers la piscine. Une fois dans l’eau et de manière très innocente, nous nous sommes arrosés, coulés puis calmés et installés sur des matelas gonflables. Sa soeur était montée dans sa chambre pour faire une sieste, pendant que sa mère venait nous prévenir de leur départ. Légèrement indifférents, nous nous sommes contentés de lui dire « à tout à l’heure« .
Paisiblement sur mon matelas gonflable, je profitais pleinement de ce moment. Mon copain lui était dans la même dynamique, enfin… c’est ce que je croyais. J’ai alors senti mon matelas bouger. Il était descendu du sien pour se diriger vers moi. En ouvrant péniblement les yeux (le soleil m’aveuglait), je l’ai aperçu, avec un regard rempli de désir. Je comprenais très bien ce qu’il comptait faire, mais, j’ai décidé de jouer la naïve en lui disant « qu’est-ce-que tu as ?« . Sans réellement me répondre, il m’a fait descendre de ma bouée en me tenant par la taille. Je me suis évidemment laissée faire et me suis agrippée à lui comme un koala à sa branche (pas celle à laquelle vous pensez, enfin pas tout de suite). Nos corps mouillés jusqu’au torse étaient si proches que l’on pouvait presque fusionner pour ne former qu’une seule et même personne.
Le voisinage
J’ai alors senti ses baisers dans mon cou. Ils montaient progressivement vers ma bouche. Me tenant fermement, mes jambes enlaçaient sa taille, je sentais quelque chose se dresser dans son short de bain. J’ai décidé de descendre de mon perchoir humain. En relâchant mes jambes qui ont glissé le long de son corps, j’ai fait en sorte d’effleurer la bosse prédominante qui déformait son maillot, avant de défaire ce dernier et de saisir sa queue au garde-à-vous. Sa bite entre les mains, j’étais en train de le branler et pour contenir son plaisir, je l’embrassais avec une passion folle. Il était en extase, sa tête allait légèrement en arrière et j’adorais le voir comme ça ! Je me suis alors brusquement arrêtée et tout en minaudant, je suis allée à l’autre bout de la piscine. Il a esquissé un sourire en coin en se mordant la lèvre. Sa bouche disait « tu aimes jouer toi« , pendant que son regard lui m’annonçait que j’allais perdre.
Je me contentais de l’observer, le visage à moitié sous l’eau. Il s’est avancé vers moi et m’a plaqué contre son corps en me saisissant férocement les fesses. À ce moment, j’avais l’impression que sa bite était encore plus dure qu’avant. Quant à moi, je mouillais tellement qu’il n’y avait plus aucune distinction entre l’eau de la piscine et ce qui coulait dans ma culotte. On faisait monter la température (on était si chauds que la piscine aurait pu se transformer en jacuzzi) en s’effleurant, se caressant. Tout à coup, on a été interrompu par sa voisine. Disons que ses voisins, s’ils étaient à leurs fenêtres pouvaient avoir une vue plongeante et limpide sur ce que nous étions en train de faire (ça nous excitait autant que ça pouvait nous gêner, si on se faisait surprendre). On s’est mis l’un à côté de l’autre, chacun le corps plaqué contre le bord de la piscine, les têtes tournées vers la fenêtre de sa voisine, qui nous parlait de la canicule. Pendant qu’il tentait de faire bonne figure, je m’amusais à glisser une main dans son short et lui trifouiller la verge. Il savait faire preuve d’un sang froid hors normes et je savais être fourbe, tout en sachant qu’il n’allait pas me louper par la suite. Une fois leur conversation terminée, sa voisine a fermé sa fenêtre et son volet, retrouvant ainsi sa grotte fraiche et nous laissant retourner à nos occupations.
Jeu de main, jeu de vilain
Je me suis alors éloignée de lui et il s’est retourné tel un prédateur. Il s’est avancé vers moi avec un telle détermination que son corps ne semblait même pas être ralenti par l’eau. Après avoir fourré sa langue au fond de ma bouche, il m’a murmuré à l’oreille « je vais m’occuper de toi, même si quelqu’un nous dérange« et m’a mordillé le cou, tout en glissant sa main dans ma culotte. Autant dire qu’à ce moment, j’étais sa chose et qu’il pouvait (et même devait) faire ce qu’il voulait de moi ! Il a alors inséré d’une main deux doigts dans ma chatte, tout en faisant des allers-retours et de l’autre, il pinçait avec énergie mon clitoris. J’étais tout simplement en extase et lorsque j’ai senti que j’allais jouir, il s’est arrêté. Créant en moi la même frustration que je lui avais imposé quelques minutes avant, il a ricané et m’a dit « ne t’inquiète pas, tu vas jouir « .
Comment expliqué que dans une pareille situation, je ne savais même comment je m’appelais… Il avait ce pouvoir incroyable de me déstabiliser et prendre l’ascendant sur moi en quelques gestes ou en quelques mots. Il est revenu à la charge, comme promis. Il a descendu son short, enlevé entièrement ma culotte et m’a de nouveau doigté. Accroché à lui, je ne touchais plus le fond de la piscine et j’essayais de contenir mes gémissements. Tout était tellement fluide et mon vagin tellement dilaté, que je n’ai pas ressenti la transition de ses doigts à sa queue (et pourtant il en avait une très bonne !).
Il me portait littéralement du bout de sa bite et m’envoyait des coups de reins qui pouvaient me faire décoller. Complètement désinhibée par le sexe, je me suis retrouvée dos à lui. Ses mouvements de bassin résonnaient sous l’eau et je sentais ses couilles claquer contre mon cul. Je me cramponnais au bord de la piscine, pendant qu’il me cartonnait. La peur de se faire surprendre accentuait d’autant plus l’excitation. Surtout que si quelqu’un nous voyait, c’était soit un membre de sa famille, soit un voisin… donc, des personnes que l’on voit très régulièrement.
Je sentais l’un comme l’autre, que nous n’allions pas tarder à jouir. Mais avant de déverser sa semence, il a titillé ma rondelle avec son pouce et ça… ça m’a fait perdre la tête ! Je me tortillais et contractais mon vagin sous la pression du plaisir. Après plusieurs allers-retours avec un supplément rondelle titillée, j’ai joui si fort, qu’il a décalé ma tête sous l’eau avant que je ne réveille tout le quartier. Quelques secondes après il a également joui. Je ne sais pas trop comment il s’est débrouillé pour ne pas tout déverser dans la piscine, mais il a réussi à jeter la majeure partie de son sperme par-dessus bord. Pendant ce temps, déboussolée, j’avais sorti ma tête de l’eau et je me suis avancée vers lui. J’ai saisi la main dans laquelle il restait quelques gouttes de sperme et tout en le regardant droit dans les yeux, j’y ai passé un coup de langue furtif.
Autant dire que cette expérience nous a encouragés à recommencer, dans la piscine et surtout ailleurs !
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