Annie aime les fellations

Annie aime les sucettes … et pas que !

Comment ne pas se souvenir de cette folle nuit et de cette merveilleuse histoire de sexe ? J’avais invité Annie et Paul, un couple d’amis, la soirée était agréable et un parfum coquin avait flotté pendant tout le repas. Annie arborait un pantalon blanc moulant et un top très décolleté. L’ensemble mettait son cul et ses seins en valeur et, bien que son compagnon soit un de mes plus vieux camarades, j’avoue que j’avais du mal à ne pas la mater.

Une fellation de la femme de mon ami

Nous étions en train de siroter un verre dans le salon lorsque j’ai été cueilli par une question de la piquante brunette.

« Alors comme ça, il paraît que tu as une queue incroyable ? »

Je suis resté coi. Paul est venu à ma rescousse en avouant que c’est lui qui en avait parlé et qu’il ne voyait pas d’inconvénient à ce que nous baisions devant lui ! Que dire de toute façon lorsqu’une femme qui vous attire se love à vos pieds pour vous baisser le pantalon et extirper votre sexe déjà bandant de votre slip !?

J’avais honte, mon gland était poisseux de pré-sperme, j’avais été excité toute la soirée, mais cela n’a en rien rebuté Annie qui a tiré sur mon prépuce afin de me décalotter et d’enfourner ma longue tige dans sa bouche. Paul a ouvert l’application « photo » sur son téléphone pour immortaliser la scène surréaliste.

Après tout, personne ne trompait personne. Je me suis mis à bander comme un beau diable sous les succions expertes. La tête avançait et reculait tandis que mon membre se retrouvait tantôt au fond de sa gorge ou bien dehors. Annie me fixait en même temps qu’elle me turlutait, c’était intense et la voir prendre autant de plaisir à m’administrer cette fellation m’a excité encore davantage. Néanmoins, j’étais persuadé que cela allait s’arrêter là. Son vœu était de goûter à ma longue queue, c’était fait. Mais les plans de mes deux hôtes avaient visiblement été établis bien en amont et, lorsqu’elle s’est mise toute nue, j’ai compris que j’allais avoir droit à la totale. Effectivement, une fois entièrement à poil, Annie s’est lovée sur mon canapé afin de se caresser et de s’exhiber sans aucune gêne devant moi. Profitant du spectacle pour reprendre mes esprits, je leur ai proposé de gagner ma chambre afin d’être plus à l’aise.

Je prend la femme de mon ami sous ses yeux

Paul prenait des photos de tout, visiblement enchanté de cette position de voyeur ! Sur le lit, à quatre pattes, j’ai donc pris les choses en main puisque, manifestement, c’est ce qu’on attendait de moi. Les paumes sur la nuque de mon amante, je lui ai baisé la bouche et la gorge le plus loin possible, Annie éructait et bavait tant la pratique était extrême, mais à aucun moment elle n’a entrepris de mouvement de recul.

Après cela elle s’est retournée, toujours en levrette, cette fois-ci pour me présenter son cul. Elle s’est écarté les fesses et j’ai pu bien regarder son minou et son trou du cul. Épilés avec soin, les deux orifices baignaient dans un jus odorant qui recouvrait sa moule d’un mucus épais. Je me suis penché pour y mettre quelques coups de langue, les puits ont réagi en se contractant. J’ai glissé un doigt dans la fente basse, ça coulissait comme dans un tunnel de velours et des gouttes de cyprine venaient perler au niveau du clitoris. Encouragé par les gémissements d’Annie, j’ai réitéré mon geste, cette fois-ci dans le petit trou. Comme de normal l’endroit, plus étroit, fut un peu plus rétif à la pénétration, mais mon majeur finit tout de même par se ficher entièrement dans l’anus apprivoisé.

J’ai balancé une claque sur ce cul bien rebondi et demandé à Annie si elle voulait que je la baise, elle m’a répondu qu’elle désirait ma queue partout. J’ai jeté un œil à Paul qui m’a fait signe d’y aller franchement. Il sortait sa bite pour se caresser quand j’ai planté mon dard dans la chatte grande ouverte de sa femme. Les mains fermement accrochées à ses hanches, je l’ai démontée aussi bien par devant que par derrière. Annie a joui un nombre incalculable de fois avant d’inviter le membre de son compagnon à se vider dans sa bouche tandis que je recevais l’autorisation de lui juter où je le désirais, mais « en dedans d’elle », selon ses propres mots. Ayant peu d’occasions de pratiquer la sodomie avec mes copines, j’ai fiché de nouveau ma grande tige dans le fion d’Annie pendant qu’elle avalait le sperme de son homme.

Elle a dû percevoir que je serais sans doute long à jouir, elle a alors commencé à me dire qu’elle était ma petite pute, que j’allais pouvoir la baiser et l’enculer à chacune de nos rencontres et qu’elle aimait comme je la ramonais avec mon élégante pine, qu’elle la sentait bien tout au fond de son cul. Elle n’a eu alors qu’à me caresser les couilles pour que je parte dans l’un des meilleurs orgasmes de ma vie.

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