Le sens du partage

La rédaction 6 septembre 2024

Farid, 27 ans de Haute-Savoie raconte sa première expérience de libertinage avec sa femme. Elle se fait prendre par un dominateur devant ses yeux.

Je suis en couple avec ma copine Hafsia depuis trois ans et aujourd’hui je vais vous partager une de nos histoires de sexe. Récemment, j’ai enfin osé lui partager ce qui m’excite vraiment, à savoir le fait de l’imaginer prendre son pied avec d’autres que moi. Je rêve de l’observer dans les bras d’un autre homme et de voir son corps et son visage changer du fait de la sensualité de leur échange. Quand je lui en ai parlé, elle a eu l’air surprise sans pour autant y sembler réfractaire. Elle m’a dit que ça tombait bien, car elle avait elle aussi des “envies d’ailleurs” sur le plan sexuel, mais pas le souhait de me tromper dans mon dos. Suite à cet échange constructif, nous avons élaboré un petit scénario que nous avons écrit ensemble. L’idée serait d’abord de commencer à se chauffer à deux. Je prendrais Hafsia en photo en train de se caresser et de me sucer, avant l’arrivée d’un homme qui viendrait la satisfaire encore davantage que moi, sous mon regard attentif. Restait désormais à trouver le partenaire en question…

Recherche libertine

Nous avons posté une petite annonce sur un site libertin et nous avons reçu un mail d’Arthur, trentenaire aventurier, qui nous a touchés par ses mots et sa plume toute en délicatesse. Il nous a joint une photo de lui et Hafsia l’a trouvé très beau. Il précisait qu’il avait un penchant de dominateur, ce que je n’avais pas du tout, et ça a tout de suite excité ma compagne, qui fantasme souvent sur du sexe plus brutal. Nous lui avons répondu en lui joignant la trame de notre scénario. Nous ne voulions même pas prendre un verre avec lui, mais entrer directement dans le vif du sujet et qu’il soit d’accord pour faire partie intégrante de notre petit jeu. C’était tout à fait dans ses cordes, il a accepté et le jour-J est arrivé.

J’ai senti Hafsia très alerte et excitée avant même de commencer. Elle était belle, elle s’était fait des yeux charbonneux avec du khôl et avait lustré sa belle chevelure noire, assortie à un body très échancré. Nous nous sommes chauffés gentiment en faisant quelques photos. Elle s’est agenouillée pour me prendre en bouche et me caresser avec ses mains. La pression de ses paumes et celle, chaude et humide, de sa bouche sur mon membre suffisaient à y faire pulser le sang. Je devais me contrôler pour retenir la jouissance et faire durer le plaisir. Elle s’est installée sur un coussin pour se caresser en attendant Arthur. J’ai pris des photos d’elle alanguie, en train de se doigter en fermant les yeux, attentif à la montée de son plaisir. J’aime tant la voir ainsi se faire du bien sans que je la touche. La tentation de m’approcher est très grande, mais je la repousse pour que ma propre excitation gonfle petit à petit, en même temps que mon sexe.

Ma femme se fait prendre devant mes yeux

Arthur a fait son apparition dans la pièce. Nous avions laissé la porte de l’appartement ouverte pour qu’il puisse entrer sans que nous ayons à nous lever. Il était aussi sexy que sur sa photo et nous lui avons fait bon accueil… c’est-à-dire que ma compagne s’est approchée pour le déshabiller. Elle s’est mise à genoux à ses pieds pour le sucer. L’effet procuré par cette image ne s’est pas fait attendre. J’ai tout de suite senti une bouffée de désir m’étreindre le corps et le cœur. Je les ai photographiés sous toutes les coutures en les regardant découvrir leurs corps respectifs. Arthur a pris Hafsia par sa queue de cheval pour tirer délicatement dessus entre deux caresses buccales. Elle s’est abandonnée à ses gestes fermes et contenants, fermant les yeux à nouveau, déjà happée comme moi par l’alchimie de l’instant et de notre désir commun.

Arthur a saisi ma copine par les cheveux un peu plus fermement pour la faire se retourner à quatre pattes sur le sol. Elle avait toujours les yeux fermés, avec une expression d’abnégation et d’abandon total. De mon côté, je n’en perdais pas une miette et je bandais toujours comme un dingue. Il est entré en elle et l’a baisée sur le tapis en n’y allant pas de main morte. Elle a pris ses coups de queue comme autant de montées d’extase, car elle a donné de la voix comme rarement je l’avais entendue. Loin de me sentir humilié, j’en ai ressenti une excitation profonde, cérébrale. Je me suis calé sur son rythme, je connaissais les signes de sa jouissance, et j’ai joui en même temps que ma douce, en me branlant, avec l’image dans mon appareil photo de leurs deux corps en train de copuler comme des lapins. La force d’Arthur en train de prendre ma femme contrastait avec sa vulnérabilité à elle. J’ai gémi presque aussi fort que ma douce. Arthur a pris son plaisir et il est reparti de nos vies aussi vite qu’il y était entré.

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