Afrique Lubrique

La rédaction 2 octobre 2024

Cindy, 43 ans de Paris offre a son mari un safari. L’occasion de découvrir les merveilles de l’Afrique. Le guide attire l’attention de la récente libertine.

En août deux mille vingt-trois, pour les quarante ans de mon chéri, j’ai cassé ma tirelire et lui ai offert LE voyage de ses rêves, un safari photo au Kenya. Nous en avons pris plein les yeux et, moi, j’en ai pris plein la chatte et le cul ! L’occasion pour moi de vous raconter une de mes plus fabuleuse histoire de sexe amateur.

Un guide charmant, des idées libertines et un cunni

Je n’avais pas hésité à la dépense, nous avions, à chaque étape, un lodge privé et Samba, notre guide, nous a accompagnés pendant les quinze jours de notre aventure animalière. Imposant et baraqué, il ne me laissait pas indifférente et Jean-Charles, mon époux, l’a vite repéré. Après quelques épisodes de crapahutage, il m’a avoué que cela l’exciterait également de me voir entre les bras de ce grand noir sculptural. Nous n’avions encore jamais été sur le terrain du libertinage, mais mon homme voulait absolument que ces vacances soient aussi spéciales pour moi qu’elles l’étaient pour lui. J’ai donc amorcé de me balader à poil dans nos différents abris, j’entrais, par inadvertance, dans la salle d’eau pendant que Samba se lavait, je laissais la porte de ma chambre ouverte lorsque je me changeais… jusqu’au jour où je l’ai surpris la queue à la main, il se branlait en sniffant une de mes culottes sales !

Je l’ai saisi par le poignet et l’ai traîné dans le salon où Jean-Charles s’adonnait à la même activité ! Notre guide était affolé, ses yeux écarquillés montraient son angoisse, angoisse qui a disparu instantanément lorsqu’il a vu mon mari sourire. Après s’être assis, il s’est laissé faire, j’ai empoigné son énorme bite couleur ébène et commencé de l’astiquer tout en écartant les cuisses pour profiter du cunnilingus administré par mon homme. J’ai abandonné son gros bâton quelques secondes afin de lui donner mon portable et j’ai réclamé qu’il prenne quelques selfies pour immortaliser la scène. J’ai joui très vite sous les coups de langue experts tout en secouant de plus en plus fort la queue qui avait désormais atteint sa taille maximum. Samba a alors demandé si, lui aussi, il pouvait me goûter, j’étais ravi de recevoir une seconde minette et j’avoue qu’il s’y est si bien entendu que j’ai eu un second orgasme, ses grands doigts chocolat plantés au creux de ma chatte baveuse.

Sodomie et voyeurisme

Nous pouvions passer à la suite du programme. Une fois dans la chambre, j’ai continué à m’occuper de mon nouveau jouet, caressant l’épais et long pénis de mon amant avec mes pieds, il a été étonné de ma dextérité, je l’ai senti de nouveau dur comme du bois. Il est allé chercher une boîte de préservatifs dans sa table de nuit et m’en a tendu un que j’ai déroulé sur le baobab vibrant. Jean-Charles a attrapé son appareil photo et s’est mis en retrait pour profiter de la suite tout en shootant nos corps imbriqués. Le mélange de ma peau laiteuse et de la carnation ambre foncé de Samba était saisissant, il a craché sur son gland et l’a présenté à l’entrée de mon vagin. J’ai écarté les cuisses en les relevant légèrement et il s’est enfoncé en moi avec douceur.

Quelle sensation que de se sentir à ce point remplie par un membre viril et chaud ! Je me masturbe souvent avec des godes imposants, cela me change du sexe modeste de mon époux, mais un vrai phallus palpitant, c’est tout à fait autre chose. Les couilles de Samba se plaquaient contre mon anus, il me tenait par les genoux pour accentuer la puissance de ses coups de reins. J’ai regardé Jean-Charles et j’ai eu un énorme orgasme. La savane a dû retentir longtemps de mon cri de plaisir ! Quand Samba a commencé à jouer avec un, puis plusieurs doigts dans mon petit trou, j’ai vite compris où il voulait en venir. Je sais que les hommes d’Afrique aiment par-dessus tout enculer les femmes. Lorsqu’ils sont très fortement membrés, c’est, du reste, le seul orifice dans lequel ils peuvent enfiler la totalité de leur hampe. Une rasade de gel lubrifiant plus tard et mon joli popotin offert en levrette, la sodomie s’annonçait dantesque. Elle le fut !

J’ai d’abord été fouillée et dilatée par une armée de phalanges, un pouce dans la chatte, le reste dans le cul. Ointe intérieur, extérieur, je n’en pouvais plus, je voulais ce chibre sombre au fond de mes tripes. Samba m’a pénétré l’anneau avec la même lenteur que précédemment, me laissant des pauses pour respirer profondément, et il s’est retrouvé entièrement en moi. Il m’a sodomisée à quatre pattes jusqu’à ce que je prenne mon pied sans même devoir me caresser le clito, puis il est sorti de mon trou béant, a arraché sa capote et a giclé de longues rasades de sperme onctueux sur mes reins. Nous avons baisé ainsi à trois tout le reste du safari et cette année, c’est nous qui l’accueillons trois semaines à Paris. Les Jeux olympiques du sexe interracial nous attendent.

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