Un problème de voisinage

La rédaction 5 septembre 2024

Lukas, 43 ans de Lorient dont la femme vocalise raconte comment il a résolu son problème de voisinage en invitant son voisin à participer à leurs ébats.

Je vais vous conter une histoire de sexe amateur qui a mis fin à mon problème de voisinage. Anaïs, ma compagne, fait partie de ces femmes qui vocalisent énormément au lit ! Elle crie, gémit très fort. Pour moi, c’est un véritable bonheur, pour les voisins … moins !

Nous étions en pleine baise un soir lorsque, après avoir entendu tambouriner à travers le mur, la sonnette a retenti. C’était le locataire de l’appartement mitoyen qui venait se plaindre de notre ramdam vespéral.

Une fellation pour le voisin

J’étais souriant, la queue dressée et Anaïs, au second plan, allongée dans le canapé, se caressait avec nonchalance, exposant son sexe ouvert et mouillé. La première intention du belliqueux s’est échappée, en lieu et place de son ire primitive, le désir ayant pris toute la place. J’ai regardé ma femme qui a tout de suite compris et a acquiescé, et j’ai invité le grand brun à entrer. Il n’a pas su quoi me répondre, mais a passé le pas de la porte et Anaïs nous a rejoints. Elle s’est présentée et a proposé ses lèvres pour un baiser d’apaisement. François a réagi positivement. Un rapide déshabillage et ma douce a entamé une fellation dont elle a le secret, la queue entièrement dans la bouche. Elle n’a pas tardé à obtenir une érection des plus flatteuses. La bite était un peu plus menue que la mienne, mais je voyais bien que ma femme s’en régalait, l’avalant, lui crachant dessus, pompant le gland pour arracher des miaulements de plaisir à son propriétaire. Avec mon portable j’ai pris en photo leurs ébats qui n’ont pas tardé à s’emballer !

D’abord timide, François a fini par saisir la chevelure d’Anaïs, guidant ses mouvements de succion et n’hésitant plus, ayant constaté ses talents, à lui enfoncer son gourdin loin dans la gorge. Il lui caressait les seins en même temps qu’elle le pompait, pinçant les tétons et déclenchant par la même les premières vocalises. Il m’a regardé, je lui ai lancé un clin d’œil, ce qui l’a encouragé à continuer et même à accentuer la pression de ses doigts, provoquant une abondante production de mouille que moi seul pouvais voir de là où j’étais placé.

Le voisin prend ma femme

Il a demandé s’il pouvait lui lécher la chatte. Anaïs ne fait pas exception à la règle et comme de nombreuses femmes, apprécie qu’on s’occupe de sa minette avec la langue. Le lyrisme de mon épouse s’est de nouveau exprimé. Son amant était doué, car elle a joui une première fois, les cuisses serrées autour de la tête de François qui buvait sa cyprine sucrée.

Il s’est alors redressé et a basculé le corps féminin dos aux coussins ; Il la désirait telle qu’il l’avait aperçue en entrant, jambes relevées très haut et con le plus ouvert possible. Il a agité son gland sur le bourgeon toujours sensible et, lentement, l’a descendu jusque devant la fente brûlante. Anaïs lui a demandé de la prendre fort, j’ai bandé encore plus dur lorsque j’ai vu le chibre s’enfoncer dans le vagin affamé. Les couilles sont arrivées en butée contre l’anus épilé, François a pris appui avec ses mains, il s’est penché le plus qu’il pouvait et a donné les premiers coups de boutoir. Ses reins se soulevaient à un rythme effréné, encouragés par les jappements de plaisir qui s’échappaient de la bouche de ma femme. Son second orgasme n’a d’ailleurs pas tardé, plus intense que le précédent. Elle aime vraiment jouir en ayant une bonne queue au fond du vagin et un amant endurant qui la domine de toute sa stature. François était en nage, il cherchait sa respiration tant il avait donné, c’est donc Anaïs qui a osé prendre l’initiative. Après l’avoir un peu pompé, elle s’est juchée sur le canapé et s’est mise à califourchon, juste au-dessus de la colonne bien raide. Elle a pris tout son temps pour descendre et s’empaler sur ce monolithe encore brûlant. Ses deux obus à la bonne hauteur pour être malaxés et sucés. Elle s’est démenée en sautant comme si elle chevauchait un étalon, gémissant de concert avec François qui appréciait très clairement ce traitement et qui ne se privait pas de mettre ses mains partout, jusqu’à enfiler deux doigts dans le cul de ma bombe sensuelle. Les cris et les hurlements de cette dernière ne le dérangeaient plus du tout, bien au contraire. Il s’est raidi de tout son corps, des décharges électriques semblaient parcourir ses muscles et il a obéi à l’injonction d’Anaïs qui lui a demandé d’expurger son plaisir tout en libérant son foutre au fond de sa chatte. Son hurlement a résonné longtemps dans le salon et, depuis ce jour, quand il tambourine au mur de notre chambre, ce n’est plus pour se plaindre, mais pour rejoindre, si on l’y autorise, notre couche. Ce qui arrive assez souvent, ma foi !

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