Lettre à Yoko
6 février 2025![](http://interstron.ru/javfull/wp-content/uploads/2025/02/histoire-de-sexe-lettre-a-yoko.jpg)
Voici mon histoire de sexe amateur. Ma Yoko, Il y a quelques jours encore, je n’aurais jamais imaginé t’écrire ces mots en espérant que tu les lirais dans interstron.ru. Mais il faut croire que certaines rencontres chamboulent plus que d’autres. Ce salon dédié à la culture japonaise, auquel je suis allé sans grande attente, m’a offert bien plus qu’une simple plongée dans l’univers des mangas. Il m’a offert, toi.
Rencontre masquée et fellation
Je me souviens encore de l’instant où nos regards se sont croisés pour la première fois. Toi, si délicate dans ce costume moulant, impeccablement ajusté, ton visage maquillé avec une précision déconcertante. Sous ton apparente timidité, je devinais une intensité qui attirait irrémédiablement mes yeux vers toi. L’étiquette collée sur ton débardeur si révélateur de ta somptueuse poitrine indiquait le pseudonyme « Yoko », comme un masque. Mais ce personnage était surtout une invitation, un mystère que je brûlais de percer. Le salon battait son plein, et pourtant, autour de nous, tout semblait s’effacer. Il n’y avait plus que nous et ce jeu silencieux qui s’installait. Je guettais chacune de tes réactions, chaque sourire en coin, chaque lueur dans ton regard.
Et toi, de ton côté, tu me jetais des œillades discrètes mais intenses, jouant d’une distance qui ne faisait que renforcer ce lien invisible entre nous. Puis, tout s’accéléra. Tu t’es approchée sans un mot et tu m’as fait signe de te suivre. Cette soudaine assurance m’a étonné, mais je me suis laissé comme aspirer et je t’ai rejoint. Nous avons traversé les allées du salon main dans la main, tes doigts vibrants entre les miens, évitant la foule, jusqu’à atteindre cette salle que tu m’as dite réservée au personnel. Le risque d’être découverts était grand, la porte ne fermait pas à clé, mais cette folie a rajouté à notre excitation déjà hors de contrôle. À peine la porte refermée derrière nous, le masque est tombé. La Yoko timide a laissé place à une femme sûre d’elle, déterminée et je ne pouvais plus résister à cette tension sexuelle incroyable entre nous.
Ce fut un moment suspendu, hors du temps. Je te revois en train de baisser mon jean d’un geste sûr, contrastant avec ton doux regard de biche, et tes yeux écarquillés quand tu as découvert mon sexe qui déjà prenait le chemin de ta bouche. Oh, comme tu as gémi au moment où mon gland humide a touché ta langue, guidé par ta main tremblante de désir mais bien arrimée à la base… J’ai dû me concentrer pour ne pas éjaculer aussitôt. L’idée de dévaster ton maquillage était aussi inappropriée qu’excitante et il m’a fallu toute mon énergie pour tenir.
Du foutre et de la mouille
Ma Yoko, tu ne m’as pas facilité la tâche avec tes grands coups de langue, à me laper le bout puis à engloutir ma tige, tes yeux ronds toujours plantés dans les miens. Puis tu as voulu que je m’allonge et tes gémissements ont envahi mes oreilles, devenant mon monde, plus rien autour n’existait, que ta langue et tes cris étouffés par les va-et-vient de mon sexe entre tes lèvres. J’ai dû te supplier d’arrêter de jouer la pompe, je voulais à présent te prendre comme tu m’avais pris. Jamais je n’avais vu un tel con, rebondi, moelleux, un véritable abricot juteux que je me suis empressé de fendre tandis que tu ne quittais pas la scène des yeux. Autant ton regard n’avait pas quitté le mien pendant que tu m’aspirais de toute ton âme, autant je n’ai eu droit qu’à quelques coups d’œil tandis que je te pénétrais.
Ne crois pas que j’en ai été vexé, rien de plus beau que de voir ta fascination pour ma tige qui s’empalait sur ton con soyeux, encore et encore, jusqu’au moment divin où j’ai juté en toi, emplissant ton antre de foutre épais. Il t’a fallu un paquet entier de mouchoirs pour absorber la délicieuse souillure. Puis nous avons dû nous rhabiller, vérifier que ton maquillage ne trahissait pas trop nos ébats, mais nos sourires béats suffisaient à tout raconter. Je suis sorti le premier, tu as suivi peu après et je te vois encore triturant ta robe, tentant d’ajuster maladroitement ta culotte. Dedans, mon plaisir coulait encore. Je ne sais pas si nos chemins se recroiseront, mais sache que tu resteras gravée en moi, ma Yoko, comme une de ces héroïnes de manga que l’on n’oublie pas.
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