Récit d’un lit trop petit
15 juin 2025Clémence, 31 ans, n’est pas triste après son divorce…bien au contraire ! Elle va pouvoir réaliser son ultime fantasme : le plan à 3 !
Clémence nous raconte son histoire de sexe amateur avec deux hommes pour enfin se sentir libérée !
Pour certains, le jour le plus heureux de leur vie, c’est le mariage. Moi, c’est le divorce. J’ai pleuré de joie en signant les papiers. Fin de cinq ans d’enfermement avec un homme gris, terne, aussi mou du ventre que de la queue.
Enfin vivre ses fantasmes
Les premiers mois, il y a bien eu quelques tentatives laborieuses : deux doigts mal coordonnés, une langue molle et hésitante entre mes cuisses, puis l’ultime humiliation – son micropénis à la main, crachant péniblement quelques gouttes translucides sur mes seins.
Et puis, plus rien. Pendant des années. Pas une caresse, pas un regard.
J’étais devenue un meuble. Pire : un tabouret Ikea qu’on ne sait plus où caser. Alors imaginez ma renaissance à la libération. Avant de me jeter dans des scénarios débridés, j’ai d’abord réveillé mon corps engourdi avec quelques amants bien choisis.
Ils m’ont prise par tous les orifices et mon corps, affamé, en redemandait. C’était comme revivre en accéléré, avec des sensations que je croyais mortes.
C’est sur que j’ai rencontré Laurent. Pas vraiment mon style physiquement – un peu dégarni – mais il avait l’air gentil. Et justement, il l’était : attentionné, doux, complice.
Il est vite devenu mon compagnon d’aventure. Avec lui, de nouveaux horizons s’ouvraient… dont un fantasme longtemps refoulé : le plan à trois.
Un plan à 3 sans chichi
Je l’imaginais souvent, seule, dans le lit conjugal, pendant que monsieur ronflait.Deux bites, rien que pour moi. Quatre mains curieuses, dévorant mon corps comme un territoire vierge.
Et quand je me suis confiée à Laurent, il a pris ça très au sérieux. Il m’a proposé Romain, un de ses amis libertins, délicat et enthousiaste. Nous avons aussitôt fixé une date, pour un week-end dans la maison de campagne de Romain.
À trois, sans chichi. Dès les premières heures, nous étions nus. J’ai commencé par sucer Laurent. Sa queue dans ma bouche m’a ancrée dans le présent, rassurée. Romain, lui, a laissé ses mains glisser sur moi.
Il a titillé mes tétons, puis descendu lentement, jusqu’à mon entrejambe. Un doigt, puis deux, explorant ma chatte détrempée comme un terrain de jeu. Ce que j’adorais déjà, c’était leur attention.
Leur envie sincère de me faire jouir, de comprendre ce qui m’animait, de lire les frissons sur ma peau comme on décrypte une langue ancienne.
Soudain, un bruit de porte.
— « Mais oui ! Suzanne ! » s’est écrié Laurent. « Elle rentre aujourd’hui de son séminaire… Ne bougez pas, je vais lui demander de prendre des photos. »
Suzanne. Sa femme. Était-ce prémédité ? Probablement. Quand elle est entrée dans la chambre, elle n’a pas eu l’air surprise. Elle a même ouvert un tiroir, pris un appareil photo avec l’aisance d’une habituée.
Un shooting hot
Le shooting a commencé. Je me suis allongée, jambes écartées, en me masturbant pendant que Laurent s’asseyait sur mon visage, l’anus pile sur ma bouche. Il n’avait jamais osé ça.
Mais la présence de l’appareil photo, peut-être, lui donnait des ailes. J’ai léché son petit pourtour. Ce n’était pas aussi sale que je l’imaginais. À vrai dire, c’était même délicieux.
Pendant ce temps, Romain s’occupait avec ferveur de ma chatte, y glissant ses doigts comme on explore un coffre aux trésors. Je me suis retournée. Laurent entre mes lèvres. Romain entre mes jambes. Mon corps offert aux deux.
Puis, je l’ai senti : la pénétration lente, chaude, assurée. Romain. Le petit cochon avait sans doute rêvé d’être le premier à me baiser ce week-end. Et il l’était.
Il me prenait avec des coups profonds, presque solennels, pendant que je gémissais sur la bite de Laurent. Suzanne, elle, photographiait tout, les yeux brillants.
Elle s’était placée au ras du matelas pour capturer l’instant exact où la queue de son mari était entrée en moi. Pervers, oui. Mais foutrement excitant.
Renaissance d’une joyeuse salope
J’ai senti que quelque chose en moi basculait. Une nouvelle femme naissait. Une salope joyeuse, libre, délestée du poids du jugement. On a continué longtemps. Très longtemps.
À un moment, j’étais sur le dos, chevauchéepar Laurent, tandis que Romain me léchait les pieds avec une minutie religieuse. J’alternais entre rire et jouissance, entre abandon et puissance.
J’étais à la fois l’actrice principale et la spectatrice ébahie de ce que je devenais. À la fin, les deux hommes ont éjaculé sur mes seins. Je me suis tartinée avec, en riant, comme si c’était une crème précieuse.
Et pourtant, ce n’était pas fini. Suzanne, visiblement excitée par le spectacle, a posé l’appareil photo sur la commode et s’est rapprochée. Elle portait encore sa chemise blanche de séminaire, légèrement entrouverte, et ses joues étaient rouges de désir.
Elle m’a tendu la main.
— “Je peux ?” a-t-elle murmuré.
J’ai souri et ouvert les jambes.
Elle s’est glissée entre elles, à genoux sur le matelas, et a commencé à m’embrasser comme une exploratrice passionnée. Sa langue, plus précise, plus tendre que celles des hommes, m’a fait vibrer comme une corde tendue trop longtemps.
Laurent la regardait, bouche ouverte. Romain s’était assis au pied du lit, visiblement fasciné. Cette fois, c’était moi qui les dominais tous, dans cette offrande renversée. Une femme, trois regards, et un orgasme qui m’a traversée de la nuque jusqu’aux orteils. C’était ça, le vrai bonheur.