Sexy fitness
27 août 2025Aline, 36 ans, plaît aux 2 gérants de la salle de sport ! Elle n’hésite pas à leur faire du rentre dedans, puis ce sont eux qui vont lui rentrer dedans !
Aline nous raconte son histoire de sexe amateur avec deux beaux hommes musclés !
Depuis quelques mois, je fréquente assidûment une salle de fitness tenue par Marc et Étienne, deux beaux mâles qui aiment pousser de la fonte. Officiellement, j’y vais pour garder la forme et profiter de la cabine de bronzage.
Officieusement, j’aime aguicher ces deux mecs qui, chacun à leur manière, font monter ma température bien plus efficacement qu’un tapis de course.
Jouer avec deux mecs
Jouer avec eux est devenu mon grand plaisir.
Tiens ! Un regard appuyé à Étienne pendant les étirements. Oups ! Une cambrure de reins sous le regard de Marc en soulevant mes petites haltères…
Je savoure leurs réactions, ces petits signes qui me prouvent que mes efforts ne sont pas vains. Je pense alors que chacun se croit l’élu de mon cul, mais j’oublie que les garçons aussi se parlent entre eux.
Un soir, après mon entraînement, je sors de la cabine UV enroulée dans ma serviette. Marc et Étienne échangent un regard complice. C’est Marc qui prend les devants : « On monte prendre un verre ? »
Le sous-entendu est évident. Dans la salle, il n’y a plus que de rares clients, concentrés sur leurs exercices. On s’éclipse, moi toujours en serviette et les deux costauds déjà bien excités.
À l’étage, l’appartement de Marc est du genre… viril. Déco minimaliste et ménage pas souvent fait. Mais je m’en fiche, je suis là pour le sport.
Fantasme du trio qui se réalise
On est plantés dans le salon et l’atmosphère est électrique entre nous trois. Je suis au centre de l’attention masculine et cette sensation m’enivre.
Je prends les devants en me glissant entre eux et en effleurant leurs torses d’un air faussement innocent. Derrière moi, Marc dénoue lentement ma serviette, pendant qu’Étienne caresse ma nuque.
Mon corps frémit, ma chatte devient humide…
Ce sont quatre mains qui m’explorent. Une grande première pour moi, qui rêvait d’un plan en trio sans oser me lancer. Marc et Étienne me découvrent, se partagent ma peau sans précipitation.
Je ferme les yeux et je sens un doigt qui entre dans ma fente… Marc ? Étienne ? Je n’en sais rien et cette incertitude décuple mon plaisir.
Je vais garder les yeux fermés tout du long, pour me concentrer uniquement sur mes sensations. C’est absolument dingue.
Je suis à genoux et je suce. La verge que j’ai dans la bouche sent la sueur et le foutre… Je suppose que mon partenaire s’est branlé avant, sans doute pour tenir plus longtemps.
Des orgasmes puissants
Je vais devoir assurer ! Puis je sens deux paires de bras musclés qui m’enlacent et m’allongent par terre et je reprends en bouche mon premier partenaire, celui à la bite au foutre, tandis que le second descend le long de mon ventre.
Hum, le cunni est lent et savoureux, j’ai du mal à me concentrer sur la pipe…
Puis le duo échange. Je suis sur le canapé et c’est une autre verge, plus dure, plus acide, que je reçois dans la bouche. Lui n’hésite pas, il donne le rythme, s’enfonce jusqu’à ma glotte…
Heureusement, je sais gérer mon souffle ! Pendant ce temps, l’autre compère me lape le con. Je sens mon clito vibrer sous sa langue, c’est bon… Je jouis entre la langue et la bite.
Puis le rythme s’accélère, et là, tout se mélange, dans ma tête comme dans mon corps ! Je suis retournée, palpée, pénétrée… Je jouis une seconde fois en levrette, en même temps que suce.
Il me faut quelques minutes pour me remettre du choc de cet orgasme… Mais mes partenaires en veulent encore, et comment résister… Ils profitent de la cyprine qui coule en moi pour me préparer par devant mais aussi par derrière.
Une double pénétration
Je m’allonge à plat ventre sur la queue du premier compère, pendant que le second s’introduit dans mon cul… Une double péné… Je suis tellement excitée et tartinée de mouille que ça rentre sans difficulté.
J’ai le cœur à 200 à l’heure, est-ce que je vais tenir ? Les deux prennent leur temps, le rythme ralenti. Ouf ! C’est lent, c’est bon, je reprends mes esprits.
Puis ça s’accélère à nouveau, les gémissements montent, je râle comme une chienne, ça monte encore, oui ! Je jouis ! Ce double orgasme me laisse totalement K.O.
Quand je me réveille, c’est déjà la nuit. Les deux compères sont partis fermer la salle, il ont eut la gentillesse de remonter mes affaires.
Je m’essuie avec une serviette qui traîne, mais pas de douche : j’ai envie de garder leur odeur de mâle sur mon corps…
Ce soir-là, j’ai dormi comme un bébé, mieux qu’après le plus intense des entraînements !