Trio 974
12 janvier 2020Frédéric, 55 ans
Mon prénom est Frédéric et je travaille à La Réinterstron.ru depuis dix ans. Je suis ce qu’on appelle localement un « Zoreil », un métropolitain vivant outre-mer. J’ai 55 ans, je suis marié mais insatisfait. Je recherche des plaisirs nouveaux et différents depuis plus de quinze ans. Comme je suis bi, mes expériences sexuelles se font aussi bien avec des femmes qu’entre hommes, et surtout avec des couples pour des jeux plus variés. Je suis sans tabou, plutôt soumis, ouvert à tous les plaisirs sexuels dont la sodomie, à la fois comme donneur et receveur. Je trouve mes partenaires à travers les sites d’annonces et de rencontres assez nombreux à La Réunion.
Ainsi, il y a quelques mois, suite à une annonce passée sur le Net, j’ai été contacté par un homme intéressé. Sa compagne souhaitait un nouveau partenaire dans leur couple, prêt à tout, passif et soumis. Après un échange de SMS, je leur ai adressé une photo de moi, nu, le sexe en érection. C’est plus parlant que du blabla, et ça leur a plu. Je précise qu’ils sont créoles. Moi, j’adore les relations sexuelles avec hommes et femmes blacks, c’est souvent très chaud.
Nous sommes convenus d’une rencontre entre lui (Bernard) et moi : rendez-vous sur un parking… Puis il m’a emmené chez eux. Sa compagne, Béatrice, était absente. Étonné, je lui ai expliqué ce que moi, j’attendais : j’étais prêt à satisfaire tous leurs désirs sexuels, mais en particulier ceux de Madame qui aurait voulu sodomiser un homme. J’apporte toujours avec moi un gode-ceinture adapté à ma rondelle. Je lui ai donc montré l’appareil. Il est noir avec deux embouts, l’un court et gros à caler dans la chatte, l’autre long et fin à enfiler dans le cul.
Nous nous sommes mis d’accord que tout se déroulerait dans le respect de chacun, sans aucune contrainte. Cependant, avant que je ne parte, il a voulu faire des photos complémentaires pour son amie. Comme j’aime m’exhiber nu, c’est avec plaisir que j’ai accepté l’exercice. Il a photographié ma queue et mes fesses. Il m’a dit qu’il m’appellerait pour la suite.
Je pensais avoir des nouvelles rapidement, mais silence. Au bout d’une dizaine de jours, j’ai conclu que ma proposition ne les intéressait pas. En outre, je devais prendre l’avion pour la métropole, j’avais un colloque professionnel. Le jour de mon départ, vers midi, Bernard m’a appelé. Je m’apprêtais à faire ma valise. Lui et son amie étaient finalement disponibles pour me recevoir à l’instant. J’ai saisi l’opportunité et je suis allé rapidement revêtir un string et des bas, puis j’ai filé à ma voiture. Je me suis assuré de n’avoir pas oublié le gode-ceinture. J’espérais, si tout se passait bien, que Béatrice l’utiliserait.
Comme je connaissais déjà le chemin, j’ai sonné à leur porte une vingtaine de minutes plus tard. Bernard est venu m’ouvrir et m’a fait entrer. Il m’a présenté Béatrice qui était assise sur le canapé. C’était une jeune femme plantureuse aux gros seins. Si Bernard était sobrement vêtu — jean, polo —, la tenue de Béa était autrement plus sexy : haut blanc sans manche bien échancré et minijupe noire qui remontait très haut sur les cuisses. Quand je me suis penché pour lui faire la bise, j’ai également pu constater qu’elle n’avait pas de soutien-gorge. Elle m’a annoncé d’emblée qu’elle avait apprécié les photos et qu’elle voulait voir l’original.
Je ne me suis fait prier pour me déshabiller et, quand je me suis retrouvé en string rose et bas, j’ai vu que cela leur plaisait… D’autant que je bandais déjà super fort. Béatrice, les cuisses écartées, m’a dévoilé le triangle blanc de son slip. Elle m’a prié de baisser mon string et d’approcher. Elle a saisi ma queue et pressé mes couilles. Puis, me demandant de me retourner et de me pencher, elle a écarté mes fesses pour palper mon anus et me pénétrer du bout des doigts. Je me suis retrouvé à genoux entre ses cuisses. Elle a voulu que je lui ôte son slip, ce que j’ai fait prestement. Cuisses largement écartées, elle m’a dévoilé une chatte couverte d’une épaisse toison noire frisée. M’agrippant les cheveux, elle m’a tiré la tête vers sa fente. Ma bouche s’est collée à la chatte humide et odorante, et ma langue s’est mise en action. Elle m’a demandé de lui triturer les seins d’une main et de caresser Bernard de l’autre. Mes doigts titillaient d’un côté les tétons qui se durcissaient, et de l’autre, palpaient la grosseur qui gonflait le pantalon de son mari.
Béa a rapidement dégrafé le pantalon de son homme, dévoilant un sexe tendu sous un caleçon moulant. Elle en a extrait une belle queue dure et raide, une bonne vingtaine de centimètres au moins, un gros diamètre et un gland noir et luisant. Béa m’a ordonné de prendre ce si bel engin en bouche et de lui doigter la chatte. Ma bouche a englouti le dard, ma langue léchant le gland et la hampe, tandis que mes doigts fouillaient la chatte trempée de Béa. Je bandais comme pas possible. Je les entendais gémir des mots obscènes. Je croyais qu’il allait se vider dans ma bouche quand, tout à coup, Béa (qui menait la danse) a dit qu’elle voulait être baisée par son mec. Rapidement, elle s’est placée en levrette. Son ami, la queue bien raide luisante de salive, s’est positionné derrière elle, moi devant elle, en train de me branler.
D’un coup sec, il a enfoncé sa grosse queue dans la chatte poilue. Elle a poussé un petit cri et, saisissant ma bite dans sa main, elle l’a enfournée dans sa bouche. Bernard lui claquait les fesses et moi, je lui pressais les seins. Quand j’ai dit que j’allais jouir, elle m’a sorti de sa bouche et m’a pressé les couilles pendant que je me branlais. Mon foutre a jailli et aspergé son visage. Elle a poussé des cris de jouissance, et Bernard a déchargé.
Nous sommes restés sans bouger, le temps de reprendre notre souffle. Béa a annoncé qu’elle avait envie de tester le gode-ceinture. Après tout, j’étais venu essentiellement pour ça… Je ne me suis pas fait prier. Ce n’était pas très compliqué, mais je l’ai aidée à enfiler le gode. J’ai poussé le côté court et gros dans sa chatte, dont coulait le sperme de Bernard. Elle m’a d’ailleurs demandé de nettoyer tout ça avec ma langue. Je l’ai fait avec plaisir. Le gode bien fixé et serré, je me suis mis à quatre pattes.
Avec l’aide de Bernard qui m’écartait les fesses, elle m’a lubrifié l’anus, extérieurement et intérieurement. J’étais excité. Elle me palpait les couilles et la queue. J’ai senti le bout du gode effleurer ma rondelle qui, instinctivement, s’est resserrée. Je lui ai demandé de m’enculer sans tarder tellement j’en avais envie. Et d’une brusque poussée, elle m’a pénétrée. Les 18 cm se sont enfoncés dans mon cul. J’ai crié de plaisir et je l’ai suppliée de me ramoner. Cela devait plaire à Bernard car il bandait de nouveau. J’ai proposé de le sucer, il a fourré sa bite dans ma bouche. Béa me pistonnait le cul à grands coups de reins.
Je sentais la queue durcir et gonfler dans ma bouche, et le gland cognait sur mon palais. D’une main, j’ai palpé les couilles. J’ai senti monter sa jouissance et son foutre a jailli en jets dans ma bouche. C’était délicieux, épais, onctueux. Il s’est retiré et j’ai avalé tout son jus, nettoyant le gland des restes de sperme qui en sortaient encore. Béa, le souffle rauque, s’est retirée de mon cul, me donnant encore quelques claques bien senties. Il régnait une odeur de sperme et de transpiration dans le salon. Nous sommes restés immobiles. Quand je leur ai demandé s’ils étaient satisfaits, leurs regards éloquents m’ont répondu.
Comme toutes les bonnes choses ont une fin, nous en sommes restés là cette fois. J’ai laissé mon matériel à Béa qui voulait l’utiliser avec Bernard. Je partais en métropole, je n’en avais pas besoin. J’ai promis de les rappeler à mon retour. La suite ? À venir…
(Image à la une : Getty Images)
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