La monteuse démontée

La rédaction 6 décembre 2025

Je travaillais comme monteuse sur un documentaire dans un très beau lieu de Paris, constitué de plusieurs petits immeubles disposés autour d’une ravissante cour intérieure. Il y avait tous les vendredis matin un petit déjeuner dans cette cour et nous nous retrouvions avec d’autres monteurs et réalisateurs qui travaillaient sur d’autres films. C’est là que j’ai fait la connaissance de Marc et Julien, qui fabriquaient ensemble un documentaire historique dont j’ai oublié le sujet. Nous avons bien accroché, ils m’ont tous les deux beaucoup plu, l’un brun, mince et évanescent, l’autre blond et monté comme un taureau (je parle ici de carrure…). Voici mon histoire de sexe amateur.

Une soirée pleine de promesse

J’avais très envie de passer une soirée avec eux. L’occasion s’est présentée quand la propriétaire des lieux, une riche Parisienne multi-propriétaire, nous a conviés à une grande fête chez elle. C’était un immense appartement sur les toits de Paris, avec une grande baie vitrée, une piscine et de nombreuses chambres. La fête battait son plein. J’étais arrivée à la soirée seule. L’appartement semblait flotter au-dessus de la ville. Les lumières de Paris scintillaient sous la baie vitrée comme des étoiles. Il y avait du champagne, des plateaux de petits fours, des conversations éméchées. Et puis, il y avait la raison pour laquelle j’étais venue… Marc et Julien étaient déjà là, accoudés à une console en bois, un verre à la main. L’un portait une chemise ouverte, l’autre un col roulé noir. Tous deux superbes, chacun à sa manière. J’ai senti leur regard se poser sur moi comme une main douce.

Je les ai rejoints naturellement. Je portais une robe dos nu, fluide, mes seins fermes dressés sans besoin de soutif, la cambrure de mes reins accentuée par mes hauts talons noirs. « Tu es sublime », a soufflé Marc. « Tu es dangereuse », a ajouté Julien. Ils m’ont fait rire. J’aime la sincérité chez les hommes. Je n’ai répondu qu’avec un sourire. Je voulais jouer. On a bu, ri, dansé. À un moment, je me suis glissée entre eux, sur un canapé bas, et leurs genoux ont effleuré les miens. Julien parlait cinéma. Marc me regardait. J’ai laissé ma main reposer sur la cuisse de Julien, juste un instant. Puis celle de Marc. « Vous avez déjà visité l’étage ? » ai-je demandé, innocemment. « Non », a dit Marc. « Il paraît qu’il y a des chambres immenses », a ajouté Julien. J’ai souri, me suis levée. « Venez, je vous montre. »

Soirée triolisme

Je les ai guidés dans un couloir silencieux. J’ai ouvert une porte au hasard. C’était une chambre vaste, plongée dans le noir mais éclairée par la lumière de la lune, avec un grand lit aux draps blancs, et un miroir ancien au mur. Nous avons refermé la porte derrière nous. Je me suis dévêtue et allongée sur le lit, nue, avec uniquement mes talons aux pieds. Ils étaient littéralement pendus à chacun de mes mouvements, estomaqués par ma plastique. Je me suis caressée en ne les lâchant pas du regard. Je les provoquais. Julien s’est approché, devant moi. Je me suis mise à quatre pattes et je l’ai sucé. Marc est venu s’installer derrière moi pour me lécher puis, quand j’ai été au bord de jouir, me prendre en levrette. Il a pris mes hanches, a caressé mon cul, et m’a besognée de la plus délicieuse des façons, pendant que la queue de son comparse s’enfonçait dans ma gorge. 

Julien a trouvé le moyen de prendre des photos, sa queue bien au chaud dans ma bouche. Puis il s’est éloigné pour faire un plan plus large. J’ai tourné la tête pour le regarder et lui sourire pendant que je me faisais enfiler comme une perle. Marc m’a ensuite prise en missionnaire sur le lit, j’ai relevé mes jambes pour le sentir au plus profond de mon entrecuisse. Je n’avais pas encore profité du membre de Julien au plus profond de moi, je leur ai donc demandé d’échanger les rôles. Le photographe est venu sur le lit pour me prendre en cuillère, à la place de celui qui me baisait quelques instants plus tôt. Ce dernier s’est chargé des photos. J’ai chevauché julien, face à lui puis dos à lui, pour montrer tout mon corps à celui qui tenait l’appareil photo. Ce regard sur moi en même temps que j’avais une queue entre mes cuisses, c’était la meilleure des sensations. Nos ébats se sont éternisés jusqu’à la fin de la soirée et nous étions les derniers convives à partir. 

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