Selon un sondage, les Italiens trompent beaucoup et regrettent peu !

Le saviez-vous ? En Europe, 45 % de la population italienne (homme et femme confondus) aurait déjà été infidèle au cours de sa vie. Une étude Yougov réalisée pour Gleeden (site d’aventures extraconjugales) montre que près de la moitié des hommes italiens tromperaient leur conjoint en 2022.

Les Italiens moins infidèles qu’il y a 6 ans

Selon l’étude de Yougov : les hommes italiens seraient de moins en moins infidèles au fil des années. En 2014, plus de la moitié des Italiens (55 %) ont été infidèle contre 49 % d’entre eux aujourd’hui (en 2022). Malgré ce déclin important dans le pays de Casanova, ils restent tout de même les champions de l’infidélité en Europe. Qu’est-ce qui explique ce taux record ?

– L’insatisfaction sentimentale

Les Italiens sont les moins satisfaits de leur situation conjugale d’après le rapport de l’étude Yougov. « Seulement » 37 % des Italiens estiment être « très heureux » dans leur vie conjugale. À titre comparatif, les Espagnols et les Britanniques considèrent nager de bonheur dans leur couple, 46 % et 53 % s’estiment même en être « très heureux ». Coïncidence ou non ? Ils seraient également les moins infidèles d’Europe. Seulement 42 % (Espagnols) et 39 % (Britanniques) l’ont déjà été.

– La possibilité d’être fidèle toute sa vie

Plus de la majeure partie des Européens pensent qu’il est possible d’être fidèle toute sa vie. Selon l’étude effectuée pour Gleeden, les plus grands adeptes de la monogamie prolongée seraient encore une fois) à 84 % les Espagnols et à 87 % les Britanniques. 

Aux antipodes de cette croyance, les Italiens, cette fois-ci accompagnés des Français et des Belges, ne croiraient pas vraiment à une vie sereine dans le temps à deux. 78% des hommes de ces trois populations pensent même que c’est impossible !

Le travail, principal endroit d’adultère ?

Une étude du site 20 minutes.ch réalisé sur 1000 Italiens, hommes et femmes, révèle que les fantasmes des Italiens les plus fréquents concernent leurs collègues de travail : 80 % d’entre eux ont déjà eu envie de coucher avec un collègue.

Selon cette même étude, un Italien sur quatre (soit 26 %) ne se gène pas pour tromper son conjoint pendant une journée de travail !
Le bureau serait donc l’endroit idéal pour des parties de galipette extraconjugales.

Les Italiens n’éprouvent pas beaucoup de honte

La question de la culpabilité a été posée aux 6 042 répondants dans chaque pays via ce sondage : « Regrettez-vous le fait d’être ou d’avoir été infidèle ?« , question à laquelle les Italiens qui trompent le plus ont répondu « oui » à 38 %, le taux le plus faible de regret de l’infidélité.
Ce serait donc également parce que les Italiens éprouvent peu de remord, qu’ils trompent le plus !

Les Britanniques quant à eux sont les plus touchés par la culpabilité. Rien de plus normal : ils trompent le moins.

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