A mon loulou inconnu
21 septembre 2019Virginie, 27 ans
Cher interstron.ru, voici l’histoire qui va avec les belles photos qui remontent à cet été… Je ne sais pas trop par où commencer, mais ce n’est pas très compliqué en fait : une fois par mois, je m’offre un petit trip « cochonne ». Je sors de chez moi vers l’heure de l’apéritif et j’essaie de choper le mec avec le plus gros paquet que je croise… Ensuite, je le ramène chez moi et on baise à fond, sans même se connaître. C’est peut-être bizarre pour mes copines, mais moi, j’aime ça. Évidemment, ce n’est pas si facile de trouver un mec seul avec une belle bosse à l’entrejambe. Il faut avoir le coup d’oeil.
Celui que vous voyez sur les photos, je l’ai immédiatement repéré dans un bar où j’ai mes habitudes, un vieux bar miteux pour les amateurs des courses de chevaux. Il se trouvait au comptoir, en train de boire une bière à peine mousseuse. Je l’ai remarqué parce qu’il se tenait de côté et qu’il portait un jogging un peu trop serré qui moulait ses jambes musclées de footeux et… tout le reste ! C’est-à-dire que son énorme machin était quasiment visible à travers le tissu brillant. Il portait également une casquette noire, des baskets blanches et un polo près du corps, avec un faux crocodile dessus… C’était limite un peu efféminé, en fait, son attirail, mais après tout, il avait la même dégaine que pratiquement tous les mecs du quartier… C’est juste que, lui, il avait choisi des tailles sexy qui allaient plutôt pas mal avec ses yeux bleus… et son gros paquet.
Je me suis donc dirigée directement vers lui. Je l’ai abordé en lui demandant de me payer la même boisson que celle qu’il était en train de siroter sans enthousiasme. Il m’a regardée bizarrement, mais il devait se douter que ce verre lui ouvrirait bien des opportunités… Il n’a pas tardé à commander : « La même, pour la d’moizelle. » Je l’ai branché sur ses préférences musicales. Il affichait un goût étrange pour le rock FM des années 1980. Avec sa touche de gangsta tendance beauf, je l’aurais plutôt vu rap français, mais non, même pas !
Quoi qu’il en soit, je n’ai même pas touché à ma bière, et il m’a suivie assez rapidement chez moi. Une fois à la maison, je n’ai pas perdu de temps. J’ai retiré ma robe en un seul geste et je l’ai balancée à l’autre bout de la chambre. Il n’avait pas l’air déçu, le loulou. Il m’a matée avec envie de la tête aux pieds et s’est jeté sur moi. « Ts tss tss, enlève d’abord ton pantalon », l’ai-je prévenu.
Il s’est foutu à poil et je me suis baissée pour le prendre en bouche. Sa queue s’est révélée au moins aussi grosse que je l’avais imaginée. Il bandait déjà comme un taureau. Il savait que nous allions probablement ne le faire qu’une fois ensemble, alors il a dégainé son smartphone pour « garder un petit souvenir ». J‘ai léché son sexe avec gourmandise et ensuite, je me le suis fourré au fond de la gorge, derrière la langue, là où les garçons assez chanceux pour tomber sur une fille comme moi savent que c’est très doux et presque brûlant.
Comme toujours, cela a provoqué une intense activité de mes glandes salivaires, et sa bite s’est retrouvée toute baveuse en quelques allers-retours. C’était un beau morceau, mais il avait déjà envie de jouir, ce qui m’a fait sourire… Je lui ai proposé de me prendre en levrette. Il a eu l’air soulagé et a enfilé une capote pour me faire ma fête. Dès qu’il est entré dans ma chatte, j’ai su que ses centimètres me feraient beaucoup, beaucoup de bien ! Il m’a remplie tout doucement sans s’arrêter. Le serpent fiévreux s’est insinué dans mon intimité… C’était délicieux ! On ne m’avait jamais baisée comme ça. J’avais pourtant pris de beaux engins dans mon petit coin, mais leurs propriétaires n’y mettaient pas autant de sensualité, de coeur. Voilà c’était ça : une bite avec du coeur. J’ai joui très vite en tremblant de tous mes membres et je me suis écroulée sur le lit. Ce qui n’a pas empêché mon gentil coup de se finir dans la capote, toujours planté dans ma chatte et affalé sur mon corps. Mais j’étais dans un tel état de grâce qu’il aurait pu continuer toute la semaine !
Il est enfin sorti de moi et s’est essuyé le gland avec mon string. Puis je me suis plus ou moins endormie et je l’ai vaguement entendu s’en aller sans un mot. Il avait noté mon numéro et il m’a juste envoyé les photos cette semaine, avec un petit texto tout doux : « Je pense à toi, qu’est-ce que t’es bonne, ma salope. » Voilà, vous savez tout !
(Image à la une : Getty Images)
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boogie35
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Franck