Amélie… mélo

La rédaction 4 octobre 2024

Amélie, 29 ans en vacances pour se remettre d’une déception amoureuse rencontre 4 amis charmants. Ne sachant pas lequel choisir elle décide de prendre les 4

Il y a deux ans, je suis partie en Croatie toute seule, j’étais bien décidée à prendre du bon temps suite à une déception amoureuse. Et rien de tel que pour aller mieux qu’une bonne histoire de sexe amateur !

Bain de minuit devant mes quatre amants

Après quelques jours à me faire dévorer par les rayons ardents du soleil, j’ai remarqué une bande de potes qui fréquentait la même plage que moi. Dans mes âges, ils étaient quatre, mignons et n’arrêtaient pas de me reluquer du coin de l’œil, il faut dire que j’étais une des rares à faire du topless. Je me suis laissé aller à me changer devant eux, faisant mine de rien en ôtant mon bas de maillot, affichant bien ma petite minette toute lisse. L’un d’entre eux a fini par m’adresser la parole et m’inviter à boire un verre. Je m’amusais de leur mâle rivalité, c’était à celui qui serait le plus gentil et le plus serviable avec moi, trop chou.

Leur tête quand je leur ai expliqué que je prenais le package ou rien ! Après tout, les quatre me plaisaient et je suis pourvue de trois orifices gourmands et de deux mains agiles ! Nous sommes d’abord retournés sur la plage, il devait être une heure du matin, je leur ai offert un strip-tease puis j’ai joué les naïades dans l’eau. Ils ont tous sorti et leur bite et leur téléphone, certains se branlaient, d’autres me photographiaient. J’ai roulé mon corps dans les vagues puis je me suis agenouillé et j’ai sucé les quatre queues jusqu’à ce je sois recouverte de foutre, la fin du bain de minuit leur a permis de me laver et de me tripoter absolument partout.

Dès le lendemain, j’ai abandonné ma location pour m’installer avec eux et un rituel s’est instauré. On me servait mon petit déjeuner au lit, ensuite nous nous douchions et les garçons me savonnaient à tour de rôle pour que je jouisse sous leurs mains. Je m’occupais de leur quéquette afin qu’elles soient bien propres pour le restant de la journée. Après nous allions à la plage puis au restaurant avant de rentrer pour une petite sieste, jusqu’à ce que la libido de l’un d’entre nous se réveille. J’avais alors quatre beaux membres dressés rien que pour moi. Je les suçais en alternance, branlant ceux que je n’avais pas en bouche, des mains se baladaient sur ma peau, éveillaient mes mamelons, en pinçaient les tétons, évaluaient le taux d’humidité de ma chatte ou bien encore la faculté de mon anus à recevoir un ou plusieurs doigts en son sein.

Quatre amants pour me satisfaire

Les garçons ont très vite compris que j’étais une chaudasse et qu’ils n’étaient pas trop de quatre pour me satisfaire. Pénis capotés, c’était alors la ronde des pénétrations, ils tournaient autour de moi, j’en masturbais deux, un dans chaque paume, j’en pompais un troisième tandis que le dernier larron me la foutait bien profond dans le vagin. Les différentes tailles étaient une découverte pour moi, lorsqu’on se fait ainsi attraper à la chaîne, on peut en évaluer facilement les qualités et les défauts. Tous, heureusement, étaient endurants et même lorsque l’un d’entre eux se laissait aller à éjaculer un peu trop précocement, je n’avais qu’à le prendre en bouche et il redevenait dur comme du béton ! Une fois cette ronde terminée, les positions changeaient alors au gré de leur désir et inventivité.

Ils m’ont démontée dans toutes les postures, ces petits salauds, en levrette, le corps retourné complet, ma nuque en appui sur la moquette, mes orifices ouverts au ciel, deux d’entre eux, et cela m’a fortement excitée du reste, étaient légèrement bi sur les bords et n’hésitaient pas à se toucher et à se sucer mutuellement la bite. J’en ai eu des orgasmes, une queue plantée dans la chatte, une autre dans le fion, tout en mâtant ces deux-là se donner des fellations profondes, parfois même jusqu’à ce qu’ils éjaculent sans moi. Après nous être rassasiés, nous sortions dîner et nous amusions des regards courroucés des couples autour de nous. Je leur roulais des pelles à chacun, me laissais caresser partout, je ne portais jamais ni culotte, ni soutien-gorge. Plusieurs hommes m’ont lancé des clins d’œil, rêvant, visiblement, de rejoindre notre petite troupe.

À plusieurs reprises, nous votions pour un père de famille qui me plaisait et j’allais discrètement le sucer dans les toilettes, avalant son lait qu’il me crachait dans la bouche en quelques secondes à peine. Ensuite nous allions nous promener sur la plage où nous baisions de nouveau. Ces types étaient inépuisables et me prenaient debout, en double, quel que soit l’endroit. Mon cul n’a jamais vu autant de chibres que cet été-là. J’ai eu un nombre d’orgasmes inouï et les garçons m’ont couverte de sperme plus souvent qu’à mon tour. Je suis rentrée noire comme jamais. Après tout, le foutre est peut-être bon pour le bronzage !

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