Sauvé de la naïade

La rédaction 27 août 2020

Fred, 41 ans, fantasme sur la nouvelle employée de son bureau. Un jour alors qu’elle prend une douche dans les locaux, Fred va la rejoindre…

Salut, c’est Fred (vous l’avez ?) En plus d’aimer les contrepèteries, je suis fan de gros nichons. Alors quand ma nouvelle collègue, la jeune et jolie Julie, a débarqué il y a 6 mois dans ma boîte, je n’ai pas menti quand je lui ai dit que j’étais enchanté de faire sa connaissance… La paire qu’elle se payait me faisait tourner la tête, sans doute parce que le sang m’était descendu dans la queue ! Cela m’a valu une belle histoire de sexe.

Dès les premières semaines, nous nous sommes tournés autour avec Julie, mais je n’osais pas trop en faire. La belle est fraîchement mariée et notre entreprise, un important cabinet comptable, ne rigole pas avec les relations au sein (vous l’avez aussi ?) de l’équipe. J’espérais trouver une occasion de lui dire combien son corps voluptueux me faisait bander, mais j’attendais mon moment. Celui-ci est arrivé grâce à notre passion pour le vélo.

Tous les jours, je fais les 12 km qui me séparent de mon boulot sur mon VTT. En arrivant, je prends une douche dans la petite salle de bain exiguë que mon boss a fait installer à l’entrée des bureaux. Julie, elle, a une bécane type vélo de ville. J’avais remarqué que le soir, elle partait tôt du bureau pour aller chercher sa gosse à la crèche et que le matin, elle arrivait avant le reste de l’équipe pour compenser. Alors j’ai fini par me caler sur son rythme, au point d’arriver un lundi à 8 h, juste après elle.

Son vélo était attaché sur le parking vide. Je me suis engouffré dans l’ascenseur en priant pour ne croiser personne. En arrivant à notre étage, j’ai entendu les couinements de la tuyauterie… Julie était dans la douche. Un rapide coup d’œil dans l’open space, personne. J’ai fermé les yeux et imaginé le corps de la belle et l’eau coulant le long de ses seins pesants. J’aurais voulu être tout près d’elle et coller mon chibre contre ses fesses, pendant que mes mains auraient palpé ses bonnes mamelles… Dans mon slip, ça dansait la gigue.

À pas de loup, je me suis approché de la porte de la salle de bain et je l’ai poussée. J’avais le visage plein de buée, recouvrant mes lunettes. En plissant les yeux, j’ai distingué les rondeurs de Julie. Son cul surtout, que j’avais bien en face et qu’elle était en train de savonner généreusement. Comme ça glissait bien… D’un coup, elle s’est retournée, sans doute parce qu’elle a senti le courant d’air sur sa peau nue. Je suis resté pétrifié, autant par la peur qu’elle me hurle dessus que par l’image de ses globes parfaits.

Lentement et à mon agréable surprise, Julie a ramené ses mains à la hauteur de ses seins. Tout en regardant dans ma direction, elle s’est mise à faire mousser le savon avec des gestes totalement érotiques. J’ai bien cru que j’allais me jeter sous la douche pour la laver de fond en comble, mais l’idée d’un licenciement pour attouchement sexuel m’a retenu. Il fallait que la garce vienne à moi pour que je puisse venir en elle…

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Julie a joué quelques minutes avec ses nibards luisants de gel douche, pendant que je glissais la main dans mon futal pour me titiller la nouille entre le pouce et l’index. Quand la coquine s’est rincée, j’avais le dard en main, prêt pour la suite des opérations. Sans un mot, Julie est sortie de la cabine et s’est plantée devant moi. Une vraie sirène, avec une paire de flotteurs dressés droit vers moi ! Provocante, elle est passée devant moi après avoir noué sa serviette autour de ses hanches, répandant de l’eau partout autour d’elle. Et elle est entrée dans l’open space.

Là, je l’ai regardée se planter devant mon bureau puis commencer à se sécher. Dès qu’elle se penchait, ses loches tombaient vers le sol puis tressautaient sous les coups de serviettes énergiques. Je me suis calé sur son rythme pour me branler de plus belle. Enfin, la dodue a donné le signal : la serviette a fini sur le sol et Julie s’est allongée, un air gourmand sur les lèvres. Je n’ai pas attendu une seconde de plus : mon pantalon est tombé par terre et je me suis rué sur elle façon bête en rut.

Ah, comme ça elle pensait pouvoir me faire languir des mois durant, avec ses décolletés et ses sourires en coin ? J’allais me les payer, ses tétines, et pas seulement ! J’ai commencé par lui fourrer le chibre sur la glotte en me plaçant à genoux au-dessus de sa tête. J’avais donc une vue imprenable sur l’objet de ma convoitise. J’ai très vite accéléré le rythme pour le plaisir de voir bouger ses mamelles à chaque fois que je la lui mettais au fond. De mes mains, je pétrissais la chair, me laissant aller à de petites claques pour me venger d’avoir attendu si longtemps ce corps parfait. Elle aimait caresser mes couilles, alors je lui ai fait avaler tout rond. Quel délire !

Quand je l’ai eu dure à souhait, j’ai compris que Julie souhaitait la sentir passer par sa petite chatte. J’étais tellement absorbé par son avant-scène que j’avais oublié d’aller jeter un œil plus bas. Tout en lui fourrant la bouche, je suis descendu le long de son corps. Le ventre était doux et soyeux. Encore un peu plus bas, j’ai trouvé une petite minette qui aurait pu avoir 10 ans de moins. Une chatte serrée et juteuse, qui n’attendait plus que mon pieu !

J’ai installé Julie en levrette et je l’ai enfilée. De part et d’autre de son corps, je voyais ses mamelles qui virevoltaient tandis que j’enfonçais mon gourdin jusqu’à la garde. Il fallait faire vite, nos collègues risquaient d’arriver d’une minute à l’autre… J’ai donc glissé mes mains entre ses cuisses bien rondes et j’ai caressé son clito gonflé de plaisir. Très vite, elle s’est mise à miauler. Ses bruits de chatte m’ont mis le feu et quand la jouissance de la belle a enfin éclaté, je n’ai pu que suivre dans un grand éclat de foutre.

J’ai pensé que la goulue en avait eu assez, mais non ! Encore tremblante de plaisir, elle a pivoté puis s’est placée entre mes jambes. Là, elle s’est mise à lécher ma queue pour la nettoyer de nos fluides. Je n’ai même pas eu besoin d’aller me rincer, sa langue agile m’a lavé jusqu’au bout du gland ! Nous nous sommes ensuite resapés au plus vite. Heureusement : trois minutes plus tard, mon chef déboulait. Et a appelé la maintenance en râlant contre les fuites dans l’immeuble, à cause de « la grosse flaque » sur la moquette. Une flaque mi-eau, mi-Julie !

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