Au top le chef !

La rédaction 16 mai 2021

Théodore, 56 ans bon vivant et cuisinier retrouve ses anciennes amies de l’école de cuisine. Des retrouvailles qui dérapent en trio des plus gourmands.

Je m’appelle Théodore et aujourd’hui, je vous raconte mon histoire porno. Je suis un quinquagénaire bon vivant, drôle, amateur de bonne chère (et de bonne chair !), grand, baraqué et un peu rond à cause de ma gourmandise ! Mais je crois que je plais toujours aux femmes. Surtout, je travaille en cuisine dans un très bon restaurant. Alors je prépare des petits plats à mes amantes et ça a toujours le don de les amener encore plus vite dans mon lit !

A ce propos, l’autre soir, j’ai passé une longue soirée dans un bar à discuter avec deux copines que je n’avais pas revues depuis l’école de cuisine ! C’était comme un pot de retrouvailles, disons. Nous avons descendu des cocktails en nous remémorant les bons moments passés ensemble, notre jeunesse. Tout le monde autour de la table avait un peu vécu un naufrage sur le plan sentimental et nous étions plutôt tous amateurs de plans cul, de ce que je comprenais. Cela nous faisait bien marrer, car déjà à l’école, nous étions tous les trois ceux qui couchaient avec tout ce qui bougeait. Mes copines s’appellent Linda et Aline et, dans leur cinquantaine toutes les deux, elles sont toujours canons. Linda est blonde, mince aux yeux bleus et Aline, brune pulpeuse moulée dans des vêtements près du corps. Elles ne s’étaient jamais perdues de vue et continuaient de courir les soirées tard dans la nuit après leur service.

Notre rencontre s’éternisait et vous étions enivrés de la présence des autres. Nous ne voulions clairement pas nous quitter. Je leur ai alors proposé d’aller dans le resto où je bossais, où je pourrais leur préparer un dessert. On y est allés. J’avais les clés, j’ai ouvert la porte et on est passés en cuisine, où je leur ai dressé deux assiettes avec des fruits et de la crème pâtissière, tout cela arrosé de prosecco. L’ambiance était mutine. Une cuisine de resto n’est pas le lieu le plus sexy du monde, mais celle-ci était plutôt agréable avec un éclairage doux et elle était propre et plutôt “luxueuse” pour le milieu. Les filles se sont mises à jouer avec leur dessert.

Linda a trempé son doigt dans la crème et l’a fait sucer à sa complice qui a avalé sa phalange pleine de sucre. Je voyais qu’elles avaient l’habitude de faire des bêtises ensemble ! Puis Linda a pris une framboise pour me la faire manger à moi. Elle a avancé sa main avec le fruit et l’a introduit entre mes lèvres. C’était très érotique, surtout que Aline nous regardait faire avec intensité. Les doigts de Linda ont profité de ma bouche ouverte pour s’avancer à l’intérieur. Je les ai sucés en plongeant mes yeux dans les siens. Elle ouvrait la bouche en même temps que moi. Bien vite, ma langue y a atterri, allant à la rencontre de cette bouche sensuelle qui aimait la vie, manger et embrasser. Nous nous sommes roulé une pelle passionnée au goût de crème fouettée. Aline s’est approchée et a embrassé son amie à son tour dans un baiser d’une folle sensualité. Les deux femmes se sont mises à se caresser les seins et les hanches l’une l’autre. Ma queue bandait sous mon pantalon et le tablier blanc que j’avais revêtu… Elles partageaient tout ces deux là, car toutes deux ont ensuite entrepris de me sucer au beau milieu des fours et des ustensiles en inox… Leurs deux bouches se disputaient ma queue, ou du moins celle-ci passait de gosier en gosier, de la brune à la blonde, et leurs deux langues se chevauchaient tout autour de mon gland gonflé de ma luxure. Quelles déesses !

J’étais au septième ciel d’avoir ces belles cuisinières licencieuses comme moi, qui avaient abandonné toute décence pour s’adonner aux joies des sens – de tous les sens. S’est ensuivie une série d’acrobaties sexuelles des plus amusantes. J’ai soulevé Linda pour la poser sur le plan de travail et, pendant que je lui léchais la chatte sous sa mini-robe, Aline, à genoux contre moi, continuait de me sucer et de me branler. Ma bite recevait ces tendres attentions et bandait plus que jamais, et moi j’essayais de communiquer cette énergie que Aline me donnait, à travers mon cunni sur le sexe frémissant de Linda. C’était beau… Je l’ai prise sur le plan de travail, ma bite en plein dans sa minette de polissonne dévergondée. J’espérais qu’il n’y avait pas de caméra cachée dont j’ignorais l’existence dans cette cuisine…

Nos corps ondulaient l’un contre l’autre sur l’inox, délicieusement. Aline s’était collée, toute nue, dans mon dos et je sentais sa lourde poitrine contre moi. Elle entreprenait avec sa main, en même temps que je sautais sa copine, de caresser mes fesses et mes bourses par en-dessous. Sa main douce les enveloppait et a même osé quelques doigts dans mon cul, ce qui augmentait les palpitations de plaisir dans tout mon sexe… Elles étaient divines… J’ai fait jouir Linda en la baisant sans relâche sur la table, puis je me suis occupé d’Aline qui m’avait si bien cherché (et trouvé) en me titillant le trou de balle… Je l’ai prise par-derrière avec véhémence. Son corps nu était beau et réchauffait ce décor froid… Son amie, qui venait de jouir, s’est glissée entre son corps et la table pendant que je la baisais et elle l’a embrassée, lui a tripoté les tétons et branlé le clito avec ses mains, tandis qu’Aline était secouée par mes coups de queue entêtants. J’ai fini par éjaculer toute la purée de mon excitation sur le cul d’Aline… Linda, en la caressant, l’a faite jouir elle aussi tandis qu’elle recevait les giclées de mon plaisir sur sa peau.

Quelle euphorie ! Une fois remis de nos émotions, nous avons trinqué au prosecco à notre amitié, à nos retrouvailles et à notre passion commune pour les cuisines…

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