Auberge de jeunesse, auberge des fesses !

La rédaction 24 octobre 2025

Coucou, c’est Lucia, c’est moi dans la voiture avec mes p’tits nichons tout pointus et de gros mamelons ! Vous aimez ? Je l’espère ! Et j’espère que vous vous branlerez copieusement sur moi, j’adore voir les garçons éjaculer ! J’ai une passion pour les belles et bonnes bites qui crachent des flots de foutre ! Voici mon histoire de sexe érotique.

Vacances coquines

Lorsque je suis partie en vacances en août dernier, j’avais réservé une place dans une auberge de jeunesse. Cela ne m’enchantait pas, mais quand j’ai vu l’ambiance qui régnait dans le lieu, je n’ai pas regretté ! Il y avait là une belge, Fabienne, une Hollandaise, Ruth et Nora, un kabyle hyper sexy qui portait toujours des dessous à faire bander un mort. Côté mecs, il y avait de tout, des blancs, un noir à la queue dingue, même le gardien s’est joint à nous quelques soirs. Ça baisait de partout, du soir au matin, j’allais faire ma toilette, un couple niquait déjà dans la cabine, la plupart du temps, on m’invitait à partager ce doux moment sous l’eau. On a également fait un trio entre filles, nous branlant la chatte avec les doigts ou avec le pommeau de douche. Mais le mieux, c’était le soir, les bières étaient de sorties, les garçons flirtaient gentiment jusqu’à ce que l’une d’entre nous s’agenouille, pour libérer une queue et la sucer, ou dévoile sa poitrine, conviant les hommes à venir la peloter et lui manger les tétons, indiquant par-là que les hostilités pouvaient commencer.

Dans le tas, il y avait toujours deux trois volontaires pour filmer ou photographier nos parties fines, c’est le plus mignon de la bande qui m’a shootée dans ma voiture après que j’ai perdu un pari. Je dois avouer que j’avais mon lot de succès avec mes petits seins très élastiques et leurs mamelons protubérants qui rendaient tout le monde dingue… mâles et femelles n’avaient de cesse de venir me les malaxer et me les aspirer jusqu’à ce que j’en ai mal. En fonction du rythme de chacun, certains étaient d’abord spectateurs, tandis que les autres s’adonnaient aux joies de l’exultation des corps. Fabienne, en particulier, adorait sucer les bites à … la queue leu leu, totalement nue, à part ses éternelles socquettes blanches, parce qu’elle avait froid aux pieds ! Elle passait de phallus en phallus, nous dévoilant ses talents pour des gorges profondes qui m’arrachaient des hoquets rien qu’à la regarder faire. Les deux autres et moi, de notre côté, aimions profiter de jeux en trios, avec un bon manche bien dur qui nous prenait et nous baisait avec force la chatte ou le petit trou et un second, en face, pour le pomper !

Soirées partouzes

Certaines soirées étaient vouées à la partouze générale, d’autres à des séances plus vicieuses où nous nous répartissions les rôles entre acteurs et voyeurs, jusqu’à réaliser de véritables courts-métrages pornos maison. Les garçons avaient de l’imagination et les filles mettaient du cœur et du cul à l’ouvrage ! Les parties de baise filmées nous excitaient toutes et tous beaucoup. Pendant que la gent féminine se maquillait, les hommes se masturbaient en nous mâtant et en nous caressant, comme pour tout bon préliminaire à nos scènes. Les queues durcissaient devant nos regards gourmands, certains plongeaient même entre nos cuisses ouvertes pour nous donner leurs langues et nos premiers orgasmes. Essayez un peu de vous mettre du mascara en étant immergée dans des affres de plaisir, vous verrez à quel point c’est commode !

Enfin prête, la « sucette party » pouvait commencer. Nous étions guidées vers le lieu de tournage choisi par avance. On nous bandait les yeux et nous recevions nos sucres d’orge. Les bites changeaient de bouche régulièrement, les érections de nos amants se renforçaient, nous n’avions alors plus qu’à pivoter et attendre que nos orifices soient investis en levrette. Ruth désirait toujours débuter par le mieux membré de la troupe. Nora offrait son trou du cul à qui voulait bien le défoncer et il y avait du candidat, c’est le moins qu’on puisse dire. Quant à moi, je me caressais le clito en cambrant les reins à fond, espérant qu’un des garçons vienne me faire du bien. J’ai même fini par céder aux avances de Bernard, le gardien, il ne tenait plus le pauvre, à nous regarder niquer dans tous les sens. On a tourné une séquence « papy et la jeune infirmière » : moi en nurse à l’anglaise, donnant la douche à cet homme d’âge mûr, insistant bien sur son service trois pièces jusqu’à ce qu’il bande. Il m’enculait ensuite pour un vidage de couille prophylactique et je vous garantis qu’il avait du jus à revendre le vieux cochon !

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