Coup de chaud chez la repasseuse
28 février 2020Albin, 31 ans
Ma femme et moi avons des situations professionnelles très prenantes. Elle bosse dans une banque et moi, je suis photographe. Nous avons choisi de vivre à la campagne, ce qui est très plaisant, mais nous devons nous rendre à Paris tous les jours, ce qui implique de longs trajets. Aussi, le soir, nous nous endormons généralement épuisés, après un dîner vite préparé et tout aussi vite avalé. Quelle vie exaltante ! Heureusement, il y a les week-ends. Parlons-en, des week-ends !
Ils sont généralement consacrés aux corvées de ménage, de lessive et de repassage… Sur ce tout dernier point, nous avons fini par opter pour une solution assez peu onéreuse et bien pratique : nous avons fait appel aux services d’une jeune étudiante qui n’habite pas loin de chez nous. Ma femme, ou moi-même, lui apportons le linge toutes les semaines.
La première fois que j’ai porté à Sonia une corbeille de vêtements à repasser, elle m’a ouvert en tenue plutôt cool : pieds nus, vêtue seulement d’une petite robe blanche presque transparente qui laissait deviner la raie de ses fesses et ses mignons tétons qui pointaient sous le tissu. Sonia était une jeune maghrébine de tout juste 19 ans, qui entamait des études de commerce. Dès ma première visite, j’ai remarqué sa jolie peau cuivrée, son parfum chaud et envoûtant, ses grands yeux noirs. J’ai tout de suite craqué pour elle, dès l’instant où elle m’a pris la panière des mains et m’a adressé un large sourire.
Quand elle m’a tourné le dos, j’ai pu admirer ses hanches rondes et sa cambrure parfaite. Nous ne parlions jamais beaucoup. En général, c’était bonjour et au revoir. Jusqu’au jour où elle m’a proposé un café. Nous nous sommes assis dans son petit studio, sur des poufs, autour d’une minuscule table basse, et nous avons papoté. Elle était très curieuse de mon métier de photographe. Je lui ai raconté quelques anecdotes de mes shootings. Elle était fascinée. Sans arrière-pensée, je lui ai proposé de faire quelques photos d’elle, la prochaine fois. L’idée l’a enthousiasmée. À tel point que pour me dire au revoir, elle m’a donné un petit smack. Ce soir-là, je suis rentré à la maison, aussi troublé qu’un ado.
Des semaines ont passé. J’ai laissé ma femme gérer le linge. J’avais sans doute peur de ce que je ressentais pour cette fille qui avait la moitié de mon âge. Un soir de l’été dernier, ma femme m’a dit qu’elle avait un travail important à terminer et qu’elle ne pourrait se rendre chez Sonia pour récupérer le linge. J’ai donc dû y aller. Et en partant, j’ai pensé à prendre un de mes compacts. Quand je suis arrivé, elle m’a souri et m’a montré le linge repassé et plié, sur la table. Puis, elle a ajouté : « Je pensais ne jamais vous revoir ! » Elle portait une petite jupe écossaise et un débardeur blanc.
L’atmosphère était lourde et chaude. Je ne sais pas ce qui m’a pris, je l’ai serrée contre moi et je l’ai embrassée longuement. Vibrante et fraîche, elle se pâmait dans mes bras. J’ai glissé mes mains sous son débardeur, elle a posé les siennes sur mon bermuda dont le tissu était déjà bien tendu. Je me suis débraguetté, j’ai baissé en même temps bermuda et slip, et ma queue raide s’est dressée devant elle. Elle a posé une main dessus et a commencé à la branler doucement et régulièrement, tout en me regardant droit dans les yeux. Je me suis dégagé un instant pour poser mon numérique sur la table, mais elle m’a dit : « Non, garde-le, j’ai envie que tu fasses des photos. » Là-dessus, elle s’est dirigée vers sa chambre, m’invitant du regard à la suivre. Ce que j’ai fait.
Elle était bien exhib’, cette petite. Elle s’est installée à quatre pattes sur son lit… Elle me regardait par en dessous. Ses yeux noirs me rendaient fou. Elle m’a lancé: « Vas-y prends des photos, qu’est-ce que tu attends? »J’ai commencé à la mitrailler, elle relevait peu à peu le tissu de sa jupe en soupirant. Je découvrais son cul bien rond, sa petite chatte toute lisse et son trou plissé qui m’appelait. Je lui ai demandé si je pouvais lui glisser un doigt, elle m’a répondu : « Évidemment! »Je lui ai doigté la rondelle, c’était brûlant à l’intérieur. Elle s’ouvrait et se fermait autour de mon index, c’était bon… L’odeur poivrée de son anus me parvenait, irrésistible. À tel point que je me suis délecté de son trou du cul, le léchant, pendant de longues minutes. Avec trois doigts, je lui caressais le clito par-dessous. Sonia mouillait, mouillait…
Elle s’est retournée, s’est assise et je lui ai présenté ma bite. Elle a déposé un filet de salive dessus et m’a masturbé. Sa caresse était douce. En même temps, elle me tétait le gland. Excité, j’avais envie de me branler en la regardant. J’ai donc empoigné ma bite, je l’ai secouée sous ses yeux. Pendant ce temps, elle me gobait les couilles. Puis, je me suis retourné, lui présentant mes fesses, assuré qu’elle saurait deviner mon envie.
Effectivement, pas effarouchée, elle m’a écarté les miches et a pointé direct sa langue pointue dans mon petit trou qui n’attendait que ça. Elle m’a bouffé le cul un long moment pendant que je continuais à me branler. Puis, quand j’ai senti un doigt entrer dans mon rectum, j’ai compris que je ne tiendrais pas longtemps. Je lui ai demandé une capote, elle me l’a enfilé sur la bite, et je l’ai baisée par-derrière, en levrette. Je n’ai évidemment pas oublié d’immortaliser ce moment… Son petit cul était parfait.
En plus, elle arborait un tatouage sexy qui m’excitait. Elle m’a demandé de lui « décalquer la chatte » ! Je ne me suis pas fait prier, je l’ai empoignée par les hanches et je lui ai tamponné le cul jusqu’à lui arracher des cris de jouissance. Chaud comme j’étais, même avec la capote, je n’ai pas pu me retenir. Mes accélérations brutales dans sa chatte ont fini par avoir raison de moi.
Sonia m’a invité à prendre une douche pour me rafraîchir et éviter de sentir le cul quand je rentrerais chez moi. Quand je suis parti, elle m’a lancé: » À la semaine prochaine! » Nous nous sommes revus et, à chaque fois nos étreintes ont été plus intenses et passionnées. Nous avons refait des photos, toujours plus sexy, avec de la lingerie, des strings, des porte-jarretelles… Cela fait des mois que Sonia et moi entretenons cette liaison. Ma femme ne se doute de rien. Quoique…
(Image à la une : Getty Images)
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« Nadema s’est approchée de moi, m’a goulûment roulé une pelle, puis m’a déshabillé lentement. Elle a commencé à me masser la queue d’une main, tandis que de l’autre, elle effectuait des mouvements de rotation avec sa paume sur mon gland. » Adam
Samira fait péter le décolleté
« L’ours a dézippé son costume en deux secondes et le marsupilami a eu un peu plus de mal à arracher le bas, mais il y est finalement arrivé dans un bruit de craquement. Je me suis retrouvée avec deux belles queues devant moi. Ils m’ont sauté dessus, je les avais mis en appétit en me déshabillant tout doucement. » Samira