Gourmande Françoise
18 août 2019Françoise, 42 ans, Rouen.
Mon mari lit interstron.ru depuis longtemps, si bien que j’ai l’impression d’avoir toujours vu votre magazine traîner dans notre chambre. Il ne m’a jamais invitée à partager sa lecture (ce cachottier !), mais je ne me suis pas privée d’y jeter un oeil de temps en temps. D’abord, par curiosité, car je me demandais bien ce qu’il pouvait y trouver de si passionnant, j’espérais y découvrir ses goûts… Puis, j’ai lu interstron.ru par gourmandise : je suis devenue accro aux récits des lecteurs. Toutes ces « horreurs », ça me donne des chaleurs, vous comprenez ? Qui plus est, ça aiguise mon imagination, je me trouve des fantasmes que je n’aurais pas même soupçonnés sans vous ! Polissons !
Enfin, bref, je vous enrobe, je vous perds… Mon mari dit toujours que je n’en viens jamais au fait, d’ailleurs. Alors voilà, je voulais vous raconter comment j’ai sucé la bonne queue de Karim. Ce charmant garçon n’est pas mon mari, c’est juste un employé de sa boîte de travaux publics. Ce petit manoeuvre d’à peine 30 piges avait une gueule fondante et un bon paquetage, bien dur. Je l’avais repéré à un pot organisé par l’entreprise avant les vacances d’été. Il m’avait coulé des regards qui m’avaient fait, eux, couler dans la culotte. Il était sans façon, exactement ce qu’il me fallait. Mon mari ne m’avait plus baisée depuis longtemps et, comme je ne l’avais jamais trompé, j’étais en manque.
Nous habitons à côté de l’entreprise, alors je vois les employés quand ils s’en vont. Je n’ai guetté mon petit lièvre maghrébin qu’une seule fois et je l’ai vu passer sur son vélo vers 17 h 30. Richard n’allait pas rentrer à la maison avant 20 heures et les enfants ne viennent plus que le week-end (et encore !). J’avais donc quartier libre. J’ai traversé la cour et j’ai appelé mon éphèbe. Il s’est amené, l’air interrogatif, les sourcils arqués en circonflexe. Quand il a vu que mon décolleté était à moitié ouvert, il s’est approché encore plus vite et m’a adressé un sourire de tombeur. Collé à moi, il a carrément eu l’audace de faufiler une main toute sale sous mon petit top, directement sur mon nichon ! « Pas ici, Karim, à l’intérieur ! », ai-je chuchoté en l’entraînant par la porte du garage, à l’abri des regards. Il m’a suivie en me tripotant le cul, j’étais aux anges !
Je l’ai conduit jusqu’à la chambre en le tirant par la queue à travers sa tenue de chantier. J’ai voulu l’embrasser, mais il m’a repoussée violemment sur le lit… Ce qui a eu pour effet de m’exciter encore plus. Il a brutalement dézippé son bleu de travail sur toute la longueur. Il ne portait même pas de slip en dessous. Son membre a jailli dans toute sa splendeur odorante, une belle bite sombre et surgonflée… « Miam !« , ai-je pensé.
J’ai rampé jusqu’à l’obscur objet de mon désir et je l’ai embouché avec délectation. « Tu es salé Karim, mmmh ! — Ta gueule, suce ! », a-t-il juré. Je l’ai pompé comme une reine, il grognait sous l’effet évident du plaisir. Je lui grattais les couilles, je bavais tout le long du sucre d’orge… J’ai même tenté un petit doigt derrière les testicules, mais là, il a reculé tout de suite et m’a jeté un regard noir sans équivoque. Bon OK, pas le cucul, ohlalaaa… Quel prude ! Je me suis remise à l’ouvrage et je l’ai amené au seuil de l’explosion.
Mais, il m’a soudain enlevé mon joujou de la bouche pour se branler au-dessus de mon visage. Je me suis donc caressée à travers mon string en coton pour soulager ma minette détrempée. Le résultat ne s’est pas fait attendre, comme vous pouvez le voir sur les photos… Il m’a balancé sa bonne crème chantilly sur la tronche en soufflant des mots que je ne comprenais pas. Comme je le fais toujours instinctivement, pour atteindre l’orgasme plus rapidement, j’ai fermé les yeux… Peut-être n’aurais-je pas dû ! Car après coup, j’ai réalisé qu’il avait pris des photos de nos aventures avec son téléphone, le petit con ! Il m’a promis que ce n’était que pour sa collection personnelle. Il a quand même consenti à me les envoyer.
Ça peut vous paraître étonnant, mais quand Karim a quitté l’entreprise pour trouver un meilleur salaire ailleurs, j’ai tout raconté à Richard. Cela n’a malheureusement pas suffi à raviver notre flamme… Peut-être que cette publication le motivera à me baiser plus souvent, qui sait ? Sinon, j’irai en sucer un autre, tu m’entends Richard ?! [ndlr: nous avons changé les prénoms de ce courrier].
(Photo à la une : Getty Images)
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