À la recherche de sensations

La rédaction 23 juin 2021

Avoir 28 ans, c’est un âge un peu paradoxal. On a encore la vie devant soi mais déjà de solides attaches. Je suis mariée à un homme charmant, j’ai un enfant de trois ans, un amour, mais voilà, je m’ennuie ferme. Je ne vibre plus à l’idée de passer un week-end avec ma petite famille, et je ne touche presque plus mon mari. Voici l’histoire porno d’Alix…

Pour fuir mon quotidien

Je me suis alors inscrite sur un site de rencontres. Je suis tombée sur l’annonce d’un trentenaire qui m’a immédiatement séduite : il partait en vacances une semaine en août et proposait à une jeune femme du site de le suivre. Nous avons échangé quelques messages et j’ai découvert un homme à la fois poli et courtois. Très vite, j’ai commencé à envisager le projet comme quelque chose de sérieux et j’ai dit à mon mari qu’un séminaire de prérentrée se profilait dans la boîte. Adorable comme à son habitude, il m’a dit de ne pas m’en faire, qu’il garderait bien la petite et de lui envoyer quelques photos. En quelques jours, l’affaire était réglée : les billets et la réservation furent pris, ma valise pliée. J’ai déposé un petit baiser sur la joue de mon homme et je me suis enfuie dans les bras d’un inconnu que je devais retrouver directement sur place, dans un petit village du sud de la France.

Mon cœur battait la chamade durant tout le voyage, je me trouvais totalement folle, inconsciente, et à la fois terriblement vivante ! Rémy, c’est le prénom de mon amant, m’a accueillie dans sa villa avec un charmant sourire. Il était aussi agréable que sur ses photos. Il était certes un peu plus épais que mon mari, mais il compensait par un charisme ravageur auquel il était difficile de résister.

Sa villa était très belle. Il m’a emmenée faire le tour de propriétaire et a terminé par le clou du spectacle : une magnifique terrasse orientée avec très peu de vis-à-vis. « Pensez-vous que vous allez vous sentir à votre aise ? » m’a demandé mon presque inconnu en jouant avec la bretelle de mon débardeur. Je me suis retournée et l’ai embrassé tendrement, pour lui montrer à quel point j’étais aux anges de m’être évadée de mon quotidien.

Des vacances épuisantes

Il m’a alors mise intégralement nue et m’allonger sur un transat. Il s’est déshabillé également et m’a présenté sa bite bien poilue et déjà bandante. « Elle vous plaît ? » Elle était plus grosse que celle de mon mari, et je me réjouissais d’avance de la suite des événements. J’ai hoché la tête avec enthousiasme en approchant mes lèvres de son sexe que le soleil rendait brûlant. Je l’ai pris en bouche pour tester sa rigidité. Je faisais quelques caresses timides du bout de la langue, alors il a passé une main derrière ma tête et m’a forcée à tout avaler, d’un coup. Son gland déformait ma joue droite par intermittence et ça m’a pas mal secouée.

Petit à petit, je me suis faite à cette fellation assez musclée, au point d’en apprécier chacun de ses à-coups. J’avançais même un peu ma tête pour l’engloutir de quelques centimètres supplémentaires. J’ai tenu plusieurs minutes, puis je me suis allongée sur le transat, coquine. De là, j’ai écarté les cuisses, puis mes petites lèvres, pour le laisser mater l’objet de ma venue. Il a pris quelques photos avec son téléphone, il n’en revenait pas qu’une nana aussi « bonasse » atterrisse chez lui. Puis il m’a baisée, d’un coup sec et bref, sur sa terrasse, en couvrant ma bouche de sa paume moite pour éviter que je ne hurle sous ces assauts. Je connaissais cet homme depuis quinze minutes et, déjà, il visitait les profondeurs les plus intimes de mon être. Cela faisait bien cinq ans qu’aucun autre homme que mon mari n’avait eu ce privilège et je dois bien avouer que cela avait quelque chose de très bon de lâcher-prise là-dessus. De se comporter comme une fille facile.

Au bout de quelques minutes, il a secoué des gouttes de sperme sur moi et m’a demandé si je souhaitais aller à la plage, me rincer. Évidemment, j’ai accepté, avec l’envie dévorante qu’il remette le couvert une fois arrivé au bord de l’eau. La suite, vous la devinez. Évidemment, ça n’a pas raté !

J’ai passé une des plus belles semaines de ma vie et je suis rentrée à la maison, épuisée, de lourdes valises éloquentes sous les yeux.

« Et mes photos ? » a demandé mon mari, inquiet. Je lui ai dit que j’avais malheureusement tout perdu. Au vu des clichés, il valait mieux non ?

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

Mon escapade libertine

Escapade amoureuse

L’inconnu du marché 

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru