Le Berlin de la baise

Sorelle Spet 19 octobre 2021

Je m’appelle Hugues, j’ai 49 ans et je tiens un journal intime depuis que je suis adolescent. Ce qui me permet de partager quelques histoires pornos plutôt sympas. Au début de ma vie intime, j’ai eu l’idée de l’orienter « sexe ». Avec le temps j’y ai adjoints des photos, histoire de ne rien oublier de ces bons moments. Isabelle, Nadia, Sophie, Clara, Ingrid ! Ah ! Ingrid ! Je ne résiste pas à vous livrer un morceau de mon « secret diary », nous partons en 1992, à Blankenfelde au sud de Berlin.

La Polonaise à la poitrine opulente

21 mars : Je viens d’arriver dans une « jungenherberge », les auberges de jeunesse outre-Rhin. Tout y est comme en France, on collabore au ménage et aux diverses tâches, ça n’est vraiment pas cher et super propre, Allemand quoi.On est dix garçons et filles mélangés et on attend une nana pour ce soir. 22 mars : La nouvelle est arrivée, Ingrid. Wouhaou ! La bombe ! Elle est polonaise et visite l’Europe. On a pas mal discuté, le feeling passe bien. J’ai essayé de ne pas être trop lourd mais j’ai bien vu à ses sourires que je lui plaisais aussi.

23 mars : J’ai embrassé Ingrid, de longs baisers, sa langue est toute petite et parfaite pour rouler des pelles. Celles d’hier soir m’ont filé une gaule d’enfer. Elle m’a même laissé lui caresser les seins à travers son pull. Elle était crevée de sa journée de marche dans les rues de Berlin, elle est partie se coucher en me balançant un clin d’œil lourd de sous-entendus. Pourvu que je ne me sois pas planté. 24 mars : Pas de bol, Ingrid est partie super tôt et rentrée super tard, journée parc d’attraction.

25 mars : J’ai retrouvé Ingrid ce matin. Nous sommes partis ensemble visiter check-point Charlie et le Bundestag. Sa grande bouche souriante est une invitation constante. Elle est belle, ses seins sont des mappemondes qui rebondissent quand elle marche. Je n’avais d’yeux que pour sa blondeur et ses formes à faire bander une statue. Elle a une façon de me manger la bouche comme si c’était un fruit. Elle m’a chauffé à blanc ! Arrivés à l’auberge nous sommes allés prendre une bonne douche mais juste avant elle m’a demandé de la rejoindre dans sa chambre. J’avais envie de crier tellement j’étais excité, j’ai quand même pris le temps de me raser le pubis et les bourses. Quelque chose me disait que les lèvres d’Ingrid n’étaient pas taillées que pour embrasser merveilleusement bien.

J’ai toqué à sa porte quelques instants plus tard. Rien. Une nouvelle fois, cette fois la porte s’est entrouverte et j’ai entendu Ingrid courir puis le bruit d’un sommier fatigué sur lequel elle s’est allongée. Je me suis faufilé discrètement, baiser dans une auberge de jeunesse n’est jamais très bien vu. Je l’ai alors vue, nue sur le lit, enfin, pas tout à fait. Elle avait enfilé une combinaison en résilles extra larges. Autant dire qu’elle était totalement à poil. Évidemment, la première chose que j’ai maté ce sont ses roploplos ! Je n’ai pas été déçu. Une paire de loches XXL, une poitrine extravagante avec des aréoles larges comme des soucoupes roses.

Je n’ai pas réfléchi, je me suis déshabillé pour la rejoindre mais elle m’a montré une chaise. Je me suis assis, obéissant, elle s’est levée et s’est installée à mes pieds.

Une experte en fellation

J’ai déjà été sucé auparavant, mais ce que m’a fait cette polonaise à la blondeur des blés ? il n’y a pas de mots. Son nez aquilin s’affinait encore un peu plus lorsqu’elle aspirait ma queue, tout sourire elle m’a branlé, léché les couilles pour mieux me reprendre entre ses lèvres qu’elle ourlait le long de mon manche jusqu’à l’engloutir entièrement.

Quel nul ! J’ai tenu deux minutes et encore. Je l’ai alertée, elle n’a pas lâché l’affaire et m’a pompé jusqu’à la dernière goutte. Ensuite elle est retournée sur le lit et s’est masturbée devant moi jusqu’à se faire jouir en quelques caresses seulement. Je suis reparti dans ma chambre entre euphorie et honte… j’espère que j’aurais une seconde chance.

26 mars : Je n’ai pas osé adresser la parole à Ingrid ce matin, elle s’est moquée gentiment de moi et m’a dit que ça faisait ça à tous les hommes la première fois. J’en ai conclu que j’étais loin d’être sa première fellation bien qu’elle m’ait avoué ne jamais avoir sucé de garçon sans poils et que c’était très agréable de ne pas en avoir un collé au palais. La nuit tombée, c’est elle qui est venue dans ma chambre, toujours avec sa combinaison en résille. Cette fois-ci je me suis retenu, elle a pourtant développé des trésors de sensualité dans une nouvelle pipe ! Nom de Dieu, cette fille sait y faire avec une queue en bouche !

Mais elle avait envie d’aller plus loin cette fois-ci, elle s’est mise en levrette et je l’ai baisée à en faire s’écrouler le vieux lit de l’auberge. Ingrid s’est montrée très gourmande ce soir et elle m’a demandé de la sodomiser. Je ne lui ai rien dit bien entendu mais c’était une première pour moi. Mes copines ne voulaient pas en entendre parler, c’est sale, dégradant, ça fait mal, bla, bla, bla…

J’ai eu du mal à la pénétrer par-là, je ne pensais pas qu’il était si difficile de forcer ce petit anneau. Elle a fait comme avec sa bouche, en poussant ses fesses vers moi elle m’a englouti la bite toute entière ! J’avais peur de lui faire mal… à tort, je n’ai jamais vu ni entendu une nana jouir aussi fort et aussi bruyamment ! Et moi, j’ai éjaculé deux fois. La première sur ses seins, la seconde dans son cul.

Quand on cessé de secouer la literie dans tous les sens, le silence est revenu quelques instants et nous sommes devenus tout rouges… les autres locataires applaudissaient à tue-tête et sifflait tant que ça pouvait à l’étage en-dessous !

Voilà, vous avez découvert un extrait du journal intime de mes vingt ans et vous devez penser que je suis un goujat d’avoir livré des photos de cette fille sans son autorisation ? Mais je vous garantis qu’elle est d’accord, nous sommes mariés depuis 25 ans et elle est la mère de mes deux fils. Elle est toujours aussi incroyable qu’autrefois au lit et je prends encore un pied terrible avec ses sucettes infernales et son petit trou accueillant. Peut-être qu’en lisant ces lignes elle aura envie que je vous compte un épisode plus récent, qui sait ?

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