Le bouche-à-bouche de la secouriste

Je me suis décidé à passer un brevet de secourisme la semaine dernière. Je n’ai pas regretté d’avoir fait ce geste citoyen. C’est-à-dire qu’en plus d’apprendre les rudiments des premiers secours, j’ai eu affaire à une instructrice qui a capturé mon attention.

Je m’appelle Boris et voici mon histoire de sexe !

Une secouriste pas comme les autres

C’était une jeune femme, très mignonne dans sa tenue de secouriste. Une sorte de combi de la protection civile. Elle était blonde et enthousiaste. Elle avait à cœur de nous transmettre ses savoirs dans une atmosphère ludique. C’est ainsi que nous avons dû nous mettre par deux pour faire les exercices et qu’elle s’est servie de moi comme cobaye. Je vous jure, j’étais aux anges ! La belle était au-dessus de moi avec ses cheveux qui pendaient devant ses yeux et ses seins que je pouvais voir en contre-plongée. J’étais au bon endroit, juste en-dessous de ces deux beautés doucement arrondies !

Elle a placé les deux mains sur le haut de mon corps pour mimer les flexions des bras censées ramener une personne en détresse à la vie. Le contact de ses paumes contre mon torse m’a troublé. J’aimais sentir la forme de ses doigts contre ma peau, respirer son haleine et son parfum. Elle était si proche… J’avais du mal à me concentrer tellement elle me captivait.

Elle me glissait des petits sourires pour me mettre à l’aise, avec une réelle complicité dans ses mimiques. Elle m’attirait. J’avais de plus en plus envie d’elle à mesure que je la voyais en train de former le groupe. Elle se mouvait dans l’espace avec son corps puissant dans sa combinaison, et son visage mutin.

La force des pensées

Je m’imaginais déjà lui faire du bouche-à-bouche et me délecter de ce corps en l’aidant à retirer sa combi pour me lover contre sa poitrine. Elle m’a repris comme cobaye tout le long de la journée et, mine de rien, ces choses-là rapprochent deux êtres ! J’ai fini par faire quelques vannes en sous-entendant que je devais lui plaire… Pour qu’elle s’acharne à ce point à me toucher tout le temps. Elle s’est penchée à mon oreille et m’a dit : « Je choisis toujours les mecs les plus mignons pour la démonstration. » Un début d’érection m’a titillé l’entrejambe après pareille confession !

À la fin du cours, elle m’a entraîné dans une partie réservée au personnel avec un petit bureau et une salle d’eau. Elle nous y a enfermés à clé. « Alors, toi qui faisais le malin, montre-moi ce que tu as dans le ventre !  » a-t-elle déclaré.  « Tu fais ça avec tous les mecs qui te servent de mannequins vivants ? » « Pas tous », a-t-elle répondu du tac au tac.

« Mais j’aime bien m’amuser et collectionner quelques images de mes amants passagers. Si ça t’excite, tu peux me prendre en photo. » Il n’en fallait pas plus pour qu’elle se mette à mes genoux, ouvre mon jean et se rue sur ma verge.

La belle secouriste m’a sucé en guise d’introduction. Sa jolie tête blonde coulissant sur mon membre, dans une espèce de fantasme éveillé qui me faisait bander comme rarement !

J’ai caressé ses cheveux tout en promenant l’appareil photo de mon téléphone autour de son visage. Je voulais capturer ses expressions faciales dans ce moment si intime. De dessous, du dessus, en contre-plongée : c’est devenu un jeu. A tel point qu’elle aussi s’est saisie du téléphone pour se prendre en selfie avec ma tige dans la bouche. Elle avait un côté facétieux que j’aimais bien. Je me disais que la prochaine personne qu’elle sauverait avec ses soins de premier secours serait bien chanceuse… S’il s’agissait d’un homme, il en tomberait de suite amoureux !

Séance photo torride

Si j’étais un jour en situation d’être réanimé, je voudrais bien être sauvé par pareille créature.

Ma verge disparaissait profondément dans sa gorge et, grâce aux photos, je pouvais voir son visage sous des angles nouveaux pour moi. Voir sa bouche m’accueillir en grand, ma turgescence se fondre dans sa propre chair. J’ai même pris une photo de nos deux visages ! Moi au-dessus du sien en train de me gober les couilles, dans une expression d’abandon savoureuse… Que je souhaite à n’importe qui de pouvoir admirer sur le visage d’une femme.

Pris de folie, nous sommes sortis de la salle d’eau et de son décor de carrelage bleu pour nous mettre dans le petit bureau. C’est moi qui l’ai déshabillée à mon tour pour voir les trésors que recelait sa combinaison. Ses deux mains caressaient mes cuisses, mes fesses et mes bourses tandis qu’elle continuait sa fellation. Ses allées et venues sur mon chibre se faisaient de plus en plus voraces. Elle a ranimé ma bite avec tant de cœur, lui faisant un bouche-à-bouche si appuyé, que j’ai fini par ouvrir les vannes de mon plaisir… Et j’ai pu, enfin, en un baiser, goûter à sa bouche une fois nos désirs rassasiés.

A LIRE AUSSI>>Sucer et aller mieux!

A LIRE AUSSI>>Mieux vaut tard

A LIRE AUSSI>>Viol de nuit