De la coupe aux lèvres…

La rédaction 30 août 2024

La coiffeuse réalise son fantasme de coucher avec l’un de ses clients dans la boutique lorsqu’un bel homme de 40 arrive dans le salon.

De la coupe aux lèvres...

Je m’appelle Béa, j’ai 31 ans, je bosse en extra dans la coiffure, ce qui me laisse pas mal de temps libre. Je vis avec Pascal, mon compagnon depuis huit ans. Nous sommes un couple très ouvert et très libre. Pascal aime que je sois toujours sexy et surtout, que les autres hommes me regardent. Cela l’excite. Il adore que je sorte faire les courses en bas et porte-jarretelles, nue sous mon manteau, et aussi en minijupe sans culotte, avec un chemisier transparent qui laisse deviner le bout de mes seins. Voici mon histoire de sexe.

Depuis quelques mois, j’avais bien envie d’aller plus loin. Un beau jour, je suis partie au travail en minijupe, sans rien en dessous. En haut, je portais un décolleté hyper provocant. Et, comme je suis coiffeuse pour hommes, je vous laisse imaginer le regard des mecs quand je leur tournais autour avec mes ciseaux… En plus, cette journée-là , je bossais seule, mon patron étant absent pour la semaine.

Une coiffeuse qui en demande

J’ai coiffé mon dernier client de la journée vers 18 h 30. Il s’agissait d’un homme plutôt pas mal, dans les quarante ans à peu près. Je lui avais collé mon décolleté sous le nez plusieurs fois, sans aucune réaction de sa part. Je suis alors passée à l’étape suivante. J’ai fait tomber mon peigne à plusieurs reprises et, à chaque fois, je me suis penchée pour le ramasser, lui montrant mon arrière-train pour qu’il voit que je ne portais pas de culotte.

La réaction ne s’est pas fait attendre. J’ai clairement vu une bosse se former dans son pantalon. Il ne me quittait plus des yeux, je le sentais scruter le moindre de mes mouvements. Quand j’ai commencé à lui couper les cheveux devant, j’ai placé une de ses jambes entre les miennes et j’ai frotté ma cuisse « par hasard » contre son genou. Après quelques minutes, bingo ! J’ai senti une main frôler mes fesses, puis passer plus ouvertement sous ma jupe, remonter le long de mes cuisses. Je ne disais pas un mot, je continuais à lui couper les cheveux comme si de rien n’était.

Une baise à l’abri des regards

Ses attouchements sont devenus plus précis et ses doigts ont fouillé ma fente. Je mouillais à fond. Je n’arrivais plus à me concentrer pour lui couper les cheveux. Je suis allée fermer la porte du salon à clé, puis j’ai baissé les stores. À présent, nous étions seuls, totalement à l’abri des regards indiscrets. Quand je suis revenue vers lui, il avait déjà sorti sa bite bien dure et, ma foi, assez conséquente.

Je me suis de nouveau placée en face de lui et je me suis empalée sur son pieu. J’ai joui une première fois très rapidement, d’autant plus qu’il me titillait l’oeillet avec ses doigts. J’ai très vite compris ce qu’il voulait. Il m’a demandé de me retourner et de m’asseoir sur ses genoux. Là, j’ai senti son membre pénétrer mon anus. Au début, c’était un peu difficile mais, très vite, je me suis ouverte pour accueillir cette belle queue. Je me suis agitée sur lui jusqu’à ce qu’il crache en moi. Et, vu qu’il continuait à agacer mon bouton, j’ai eu un orgasme inouî, criant mon plaisir.

Une pipe pour finir le travail

Pour finir mon travail, car je suis une « ouvrière » très très très consciencieuse, j’ai pris sa tige dans ma bouche pour lui nettoyer le gland. Il a eu l’air d’apprécier, car sa bite est vite redevenue dure comme du bois. Je l’ai sucé un peu, puis il m’a demandé d’arrêter car il se faisait tard. Il fallait qu’il rentre chez lui, et moi aussi. J’étais très heureuse, car je venais de réaliser un des fantasmes qui me trottaient dans la tête depuis longtemps.

Depuis ce jour, j’en ai concrétisé plusieurs autres. Je vous les détaillerai dans de prochains courriers. Quand je raconte à Pascal ce que je fais, il est très heureux pour moi. Il adorerait me voir faire l’amour avec un autre homme et voudrait que je filme mes ébats. Je n’en suis pas encore là… Pour l’instant, je m’éclate, je jouis par tous les trous possibles et je profite du corps que la nature m’a donné.

(Image à la une : Getty Images)

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« Du coup, quand il me prend en levrette, je me visualise moi-même en train d’être prise en levrette par tout un tas d’hommes qui me baisent à tour de rôle et que je suce en même temps. »


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  • Victor

    Sa dois être très agréable Jorai adore avoir une coiffeuse comme toi

  • Dussy

    Bonjour on.peut remaitre sa kan tu veux avec un Senario plus toride au plaisir sa été un très gramd plaisir de te satisfaire que dir un très bon minou un fessier trop bon mai tu en na a aprendre encor au plaisir bis

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