J’adore ma maîtresse !

La rédaction 23 novembre 2021

Je m’appelle Luc, j’ai 45 ans et j’aimerais partager une histoire porno très coquine. Avant toute chose, sachez que j’ai une maîtresse. Une jolie brune de type eurasienne. Nous sommes complices depuis de nombreuses années et je l’ai progressivement initiée aux plaisirs du sexe, à l’abandon total, sans retenue, ni tabou. Je ne suis pas du genre jaloux et je trouve égoïste de profiter seul de son corps. Elle me dit souvent qu’elle ferait n’importe quoi pour me faire plaisir. Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd…

Sans culotte sous la table

Un soir, nous étions dans un petit resto chinois. Après deux apéros, ma chérie a pris des couleurs et a décidé de retirer sa petite culotte. Elle a discrètement relevé sa jupette et, sous la table, offrait à mon regard son magnifique triangle noir bien touffu. Mais le patron s’est alors approché pour prendre notre commande, m’empêchant de profiter du spectacle. Un jeune serveur a apporté les premiers plats. Il s’est penché en avant, mais – hélas ! – la jupette était retombée. J’ai choisi ce moment pour faire tomber ma fourchette. L’homme s’est baissé pour la ramasser et ma chérie, voyant clair dans mon petit jeu, en a profité pour entrouvrir les cuisses, lui permettant de profiter de ses parties intimes. La coquine était d’humeur joueuse elle aussi, et j’attendais de voir vers quoi ce petit manège allait nous mener.

Encouragé par la situation, le serveur est resté encore un moment sous la table. Peut-être était-il sidéré et fasciné par ce spectacle alléchant, bloqué dans sa contemplation. « Je sens son souffle sur mes cuisses ! » a murmuré ma belle. « Ça t’excite ? » « Oh oui, je suis toute mouillée » a-t-elle admis.

Le serveur s’est relevé, écarlate, les yeux brillants. « Il fait très chaud, si vous voulez vous mettre à l’aise, je vais fermer la porte et nous serons entre nous », a-t-il suggéré. Nous étions en fait seuls dans la pièce à cette heure tardive de la soirée. Il a joint le geste à la parole et ma maîtresse, enhardie, a retiré tous ses vêtements pour se retrouver nue devant le jeune serveur, qui, les mains jointes, s’est prosterné en la remerciant.

Elle s’est blottie contre moi. « Caresse-moi partout mon amour. Fais-moi jouir devant eux, j’en ai tellement envie. » Le patron et le serveur, troublés mais curieux, se sont installés face à elle, pendant qu’elle se caressait les cuisses ouvertes. J’ai commencé à titiller ses tétons gros comme des bouchons. J’évitais de caresser le clitoris pour que ses spectateurs voient bien sa chatte prête à exploser. Ma chérie a gémi et crié : « Oh, ça vient fort mon chéri ! ». Cette séance d’exhibitionnisme et ce partage de ma belle avec d’autres hommes qui savaient apprécier sa beauté ont fait naître un très fort désir en moi.

Mon amante s’est cambrée sur sa chaise, offrant aux deux hommes une vue plongeante sur ses fesses et sa chatte gonflée de désir, s’abandonnant au plaisir en criant. Chaque spasme provoquait un petit jet de sa liqueur d’amour. Elle était trempée ! Le jeune serveur est revenu avec une serviette. À genoux entre ses cuisses, il a épongé doucement ses jambes, ses cuisses puis sa foune. Ensuite, il a écarté ses lèvres et l’a pénétrée dans sa fente. Elle s’est laissée faire avec plaisir, les yeux mi-clos. Puis, reprenant ses esprits, elle a dégagé ma gaule de mon pantalon, m’a masturbé puis m’a englouti dans sa bouche, avant de me demander de lui faire l’amour.

Face aux deux hommes, elle s’est empalée sur mon gland gonflé à bloc. Elle s’est beaucoup agitée en se pinçant les tétons, et nous avons joui ensemble. Ma jouissance était accentuée par cette situation érotico-comique et j’aimais être celui qui la possédait en dernier lieu. Le patron, un vieil homme visiblement encore vaillant, a demandé s’il pouvait caresser ma chérie et nous avons accepté.

Il lui a retiré ses hauts talons et s’est mis à lui masser les pieds doucement, ce qui lui arrachait des petits soupirs de plaisir. Puis il a léché doucement ses chevilles, ses jambes, ses cuisses. Sa bouche a fait ventouse sur son sexe et sa langue a titillé son clitoris. Elle a frissonné, gémi, tremblé, puis s’est à nouveau cambrée sur sa chaise, offrant son cul au vieil homme et jouissant dans sa bouche dans un râle de plaisir. Nous avions fêté dignement son anniversaire !

A lire aussi

Exhibition nocturne

Une exhibition très hot…

Les saints libertins

Libertins chéris

Quatuor à queues !

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

  • lenoil59

    J’aurais aimé être au restaurant !

interstron.ru