Le cul plein c’est bien !

La rédaction 26 juillet 2021

Je m’appelle Michel, je suis un Parisien de 35 ans et je voulais vous raconter comment j’ai découvert le plaisir anal avec ma copine. Attention, entendons-nous bien, je parle de MON plaisir anal, le sien étant devenu plus que coutumier… Voici mon histoire porno.

Elle a changé quelque chose

Cela va faire cinq ans que je suis l’homme de Béa, et nous avons essayé une multitude de choses tous les deux. Les différentes positions n’ont plus de secret pour nous, nous avons testé quelques endroits insolites, inventé des scénarios, pratiqué même l’échangisme. Il a toujours été important pour nous de faire évoluer nos relations sexuelles dans le sens de nos envies.

Un soir de la semaine dernière, sans que cela soit prévu, nos petits jeux sexuels ont pris une tournure inattendue. Béa était sagement à genoux en train de me sucer dans notre chambre. Alors qu’elle me tenait la queue d’une main, elle me massait les couilles avec l’autre. Elle se mit à quitter la zone de mon scrotum pour aller caresser mes fesses. Elle me pompait toujours lorsque cette coquine à glisser un doigt pour aller chatouiller mon anus. « Qu’est ce que tu fais ? » lui demandai-je. « Je tente un truc », me répondit-elle avant de fourrer carrément un doigt dans mon cul.

J’ai toujours cru que j’allais protester si jamais on passait par là, mais ses va-et-vient dans mon anus conjugués à la vision de sa langue se baladant autour de mon gland ne faisaient que me durcir encore plus. Au bout de quelques minutes, je n’y tenais plus. Je l’ai relevée et me suis installé sur le lit, les quatre fers en l’air, réclamant sa langue. Elle ne se fit pas prier pour la fourrer loin dans mon derrière. Elle léchait bien, que ce soit le pourtour ou l’intérieur, qu’elle cherchait à racler le plus possible. Je me branlais alors qu’elle goûtait mon moi le plus profond. De mon bras libre, je me tenais la jambe gauche afin de lui offrir mon petit trou plus facilement.

Une bonne surprise !

« Si t’aimes ça, on va aller un plus loin », me dit-elle brusquement. Elle grimpa sur le lit à quatre pattes, se dirigea vers le tiroir de la table de chevet pour fouiller à l’intérieur. Alors qu’elle était en pleine recherche, c’est son cul qui s’offrit à moi. J’en profitai alors pour lui rendre la pareille et bouffer son petit oignon en lui fourrant quelques doigts dans sa petite chatte. Je la soupçonne d’ailleurs d’avoir fait semblant de chercher tant elle gémissait.

Moi, je me régalais, mais j’avoue avoir été pressé qu’on s’occupe à nouveau de moi. Finalement, elle revint à ma hauteur en reculant, son godemiché à la main. J’aurais dû m’en douter. C’était un compagnon régulier de nos jeux coquins, mais il a toujours été utilisé pour le plaisir de madame… Ses yeux me fixaient alors qu’elle lubrifiait le godemiché avec sa langue. Elle cracha ensuite dans sa main dans le but de me tartiner allègrement le fion.

C’était assez jouissif de n’être présent que pour recevoir du plaisir, sans faire d’effort pour en donner soi-même. Béa mouillait d’ailleurs fort bien, et, je ne sais si c’est par gourmandise ou pour instaurer une sorte de préambule aux hostilités, mais elle commença à se faire du bien avec le gode. Elle m’avait si bien préparé que cette attente était une torture, bien que voir ma belle se faire jouir devant moi renforçait mon érection.

Elle arrêta afin de me guider pour changer de position. Je me retrouvai à quatre pattes, le cul toujours trempé de bave et d’excitation, et elle se glissa entre mes jambes, face à ma queue, et commença à me branler tout en léchant mes couilles. De son autre main, elle commença à me pénétrer gentiment avec le gode. C’est entré assez facilement. Ça a duré une bonne demi-heure comme ça, je n’arrivais pas à savoir si le plaisir venait de ses pénétrations répétées ou de sa masturbation, peut-être des deux. Toujours est-il que quand j’ai joui, elle a tout pris sur le visage en riant. J’avais le sourire aux lèvres, soulagé et heureux de cette découverte charnelle.

Une chose est sûre, c’est quelque chose qu’on refera, Béa et moi !

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