Ma Vénus Gallypage

La rédaction 2 mai 2024

William, 32 ans, rencontre une grosse femme au camping. Après un tour dans la forêt, elle lui montre ses énormes seins et va même plus loin…

Bravo pour votre remarquable dossier consacré aux femmes rondes dans votre dernier numéro [ndlr : interstron.ru n° 273, juin 2011]. À mon tour, j’aimerais vous raconter les circonstances de ma rencontre avec Sandra, ma plantureuse et sublime compagne. Voici mon histoire de sexe.

L’été dernier, je me suis retrouvé célibataire après une histoire de trois ans. J’aspirais à partir un peu en voyage pour me changer les idées, mais mes moyens étaient limités. J’ai opté pour des vacances en mobile home, dans un camping près de Lacanau, en Gironde. Et justement, c’est le premier mot qui m’est venu à l’esprit quand j’ai vu la charmante jeune fille qui avait loué le mobile home juste à côté du mien.

Une charmante grosse dame

Elle s’appelait Sandra. Elle avait 25 ans, une peau laiteuse avec de jolies taches de rousseur. De grandes boucles blond vénitien tombaient sur ses épaules. Elle était ce que l’on appelle généralement une « grosse« . Son poids devait avoisiner les 85 kg. Je n’avais jamais été attiré par ce genre de filles. Mais plus je regardais Sandra, plus je trouvais ses traits gracieux. Ses bonnes joues lui donnaient un air mutin. Son corps respirait le bien-être et l’épanouissement. Sandra représentait exactement le genre de personnes dont j’avais besoin à ce moment-là : une fille généreuse et sans complexes, pour me faire oublier mes déboires sentimentaux. Elle marchait en se tenant très droite, bombant le torse comme pour faire ressortir sa poitrine.

Évidemment, les femmes du camping en étaient jalouses, et leurs maris feignaient l’indifférence. Les hommes ont souvent du mal à s’avouer qu’ils sont attirés par les femmes fortes. Je suis persuadé que la plupart d’entre eux rêvaient de caresser ses gros seins ou de peloter son cul généreux !

Petit tour en cabriolet

Trois jours après mon arrivée, tout a basculé. Elle est passée devant mon mobile home alors que je rentrais dans mon cabriolet. Elle m’a lancé : « Jolie voiture ! » Du tac au tac, je lui ai proposé de monter pour aller faire un tour. Elle m’a répondu : « Avec plaisir ! » Elle s’est installée et m’a lancé : « Elle est bien soignée, ta voiture… Tu t’occupes des femmes de la même façon ? » Et là, trop facile, j’ai pu lui glisser que j’étais célibataire !

Comme nous sortions du camping, elle a grillé que je matais ses gros seins… J’ai eu un coup de chaud. Nous sommes arrivés dans un petit parc boisé. Le bruit de l’océan nous parvenait. J’ai arrêté la voiture et, comme j’avais remarqué un chemin ombragé, je lui ai proposé une balade. La belle n’était pas farouche, comme le chantait Brassens. Nous avancions à l’ombre des pins, et mes yeux étaient régulièrement attirés par ses mamelles. Elle a fait semblant d’être excédée par mon comportement, et elle m’a dit : « Bon, ça suffit maintenant, je vais te les montrer une fois pour toutes, comme ça, tu arrêteras de me mater ! Ça devient plutôt gênant ! » J’ai bafouillé : « Ben… je n’y peux rien… Ils m’impressionnent. »

Seins nus !

Nous nous enfoncions dans le petit bois. Elle s’est arrêtée, et a enlevé son T-shirt. J’ai écarquillé les yeux. Ses seins étaient deux énormes ballons blancs, parsemés de taches de rousseur. Des veines bleues zébraient la chair laiteuse. Seul problème : son soutien-gorge était vraiment laid, un truc bon marché et trop petit pour elle. Je lui ai demandé : « Tu n’es pas trop serrée là-dedans ? » Elle a soupiré : « Si… » Puis, elle a libéré ses énormes nichons. J’ai avancé les mains. Sandra respirait fort. Je soupesais ses seins, en triturais les aréoles larges et roses. Elle m’a pris par la main et m’a emmené dans le sous-bois. Je l’ai embrassée avec fougue.Mes doigts sont descendus sur ses fesses, puis sur ses cuisses dodues. Elle s’est retournée et s’est appuyée contre un tronc d’arbre. Elle tendait son fessier en arrière. Je me suis agenouillé derrière elle, et j’ai copieusement peloté son gros cul à travers son short en jean.

Soudain, c’est elle qui s’est déboutonnée. Le short est tombé à ses chevilles. Je me suis mis à bander tout de suite à la vue de ces fesses grasses et sublimes. Je les ai bien écartées. J’en avais l’eau à la bouche. Son anus m’appelait, j’y ai plongé la langue. « Bouffe-moi, vas-y bouffe-moi !« , réclamait-elle. L’odeur de son cul était enivrante, poivrée et chaude. J’ai sorti ma queue pour me branler, tout en continuant à lui lécher la rondelle. Elle s’est retournée et a écarté ses cuisses pour me faire comprendre qu’elle avait bien envie que je m’occupe aussi de sa chatte.

Donne moi ta queue !

Son minou était rasé, je voyais sa mouille perler sur ses lèvres. Elle sentait la sueur et la femelle en chaleur. Je l’ai léchée à grands coups de langue, puis j’ai sucé son clito, à la mesure du reste: énorme ! J’ai craché sur sa fente pour la lubrifier… J’ai commencé à la masturber. Mon index et mon majeur frottaient son point G. Au bout de quelques secondes, elle s’est mise à couler sur mon bras. Un long jet translucide m’a inondé. J’ai retiré mes doigts et je les ai plantés dans son cul. En même temps, j’ai plongé ma langue dans le gouffre de sa chatte. Sandra a joui de nouveau, en jets de plus en plus longs. Essoufflée, en sueur, elle a articulé : « Tu m’as bien fait jouir, gros cochon, maintenant, je vais m’occuper de ta jolie queue. »

A mon tour, je me suis adossé au tronc d’arbre, le sexe raide. Elle a fait tourner sa langue sur mon gland. Puis, elle a enfoncé toute la longueur de ma bite dans sa bouche. Elle suçait divinement, je sentais qu’elle le faisait autant pour elle que pour moi. Par moments, elle me branlait, prenait soin de mouiller régulièrement le noeud d’un gros crachat pour que sa main glisse bien. Je n’ai pas dû résister plus de quelques secondes. Elle s’est empressée de tout avaler. Elle m’a gardé dans sa bouche, remplaçant la succion par une tétée douce et câline. Pendant plusieurs minutes, j’ai continué à couler dans sa gorge. Elle m’a intégralement nettoyé le sexe.

Je l’ai relevée et je l’ai embrassée. Nous nous sommes rhabillés en silence. En rentrant, sur le chemin, un jeune couple nous a adressé un « bonsoir » complice. C’était notre première fois. Aujourd’hui, nous vivons ensemble. Et je suis toujours aussi fou de ses sublimes formes plantureuses.

(Image à la une : Getty Images)

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« Dans moins d’un mois, un dîner avec les collègues de l’agence est prévu, et je pressens que mes seins appétissants lui serviront de dessert. Je ne ferai en tout cas rien pour m’y soustraire. J’y suis résolue ; j’en mouille d’avance » Mathilde

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« Cette fille me rendait complètement dingue. Je n’avais plus qu’une seule idée en tête : la baiser à tout prix ! Je l’ai basculée sur le côté, sur la table et je l’ai pénétrée d’un seul coup ! » Julien


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