Secret de famille

C’était la première fois que je rencontrais la famille de Guy. J’aurai pu y aller la tête légère, mais Guy m’avait annoncé que j’étais la première copine présentée à ses parents. Et Guy a 35 ans. Le jour-même, j’étais très nerveuse. Nous avions fait beaucoup de route pour rejoindre la maison familiale, près d’Arras, et j’arrivais à peine à prononcer correctement mon prénom au déjeuner tant j’étais stressée. Ses parents étaient nerveux également, son père a fait tomber mon manteau en voulant l’accrocher, sa mère a failli renverser du champagne sur ma jupe en me servant. Bref, la tension était palpable malgré les adorables sourires et blagues de Guy pour détendre l’atmosphère. Ses parents avaient travaillé dans le BTP et la comptabilité toute leur carrière, ils avaient un léger accent du Nord, à peine perceptible. Mais cela suffisait à marquer la différence. Ils devaient certainement me trouver d’un autre monde, avec mes talons de luxe et ma jupe fendue. Voici mon histoire de sexe.

Visite coquine de la maison

Guy m’a pris la main, tendrement, sur le canapé, pour me rassurer, mais rien n’y faisait : j’étais raide comme un pic. Je sentais le regard de ses parents épier mes moindres faits et gestes. Leurs oreilles s’attarder sur les mots qui sortaient de ma bouche. Tout était très contrôlé. Trop, sûrement. Guy tout d’un coup s’est écrié : « Mais ! Je ne lui ai même pas fait découvrir toute la maison. Pourrions-nous nous absenter quelques minutes ? » Il est sorti du salon en trombe en me prenant par la main, et, juste après une présentation succincte de la chambre d’amis et des toilettes, m’a poussé à monter les escaliers. Il m’a complimentée sur ma tenue, sur mon comportement, puis m’a demandé si tout allait bien. Je me suis alors lâchée et lui ai fait part de ma gêne.

Avant que je n’en dise plus, il m’a mis la main sur la bouche, assez fermement, puis m’a isolée dans la chambre de ses parents, qui avait l’avantage d’être assez loin du salon pour parler librement. Et faire quelques cochonneries. En voyant mon état de nervosité, Guy a doucement massé mes épaules, m’a répété à quel point j’étais belle et bien foutue. Il a doucement remontée ma jupe et m’a allongée sur le lit. J’avais le cœur qui battait à cent à l’heure. Là, il a sorti un trépied, un appareil photo, et m’a dit : « on se fait une petite séance de baise avant de les rejoindre ? Je sais qu’ils ont le matériel pour immortaliser le tout. » Et il s’est mis à poil en riant. J’étais un peu gênée d’être dans le lit de la belle famille, en utilisant en plus un vieux matériel de photographie, mais après tout, j’avais bien besoin de ça pour décompresser.

Dans le lit de la belle-famille

On a commencé par se mettre tout nu et faire quelques réglages pour voir si on prenait bien la lumière. C’était parfait ! Guy triturait mon corps dans tous les sens, et ça lui donnait une belle érection. On a d’abord pris en photo son pénis, bien en gros plan, face à l’objectif. C’était très drôle, ma main sur sa bite bien bandante, et son énorme tige qui paraissait démesurée. Sur les photos, elle faisait presque la taille de mon visage. J’ai ensuite approché son gland de mes lèvres. Et dire que ma belle- famille hyper coincée nous attendait en bas alors que nous faisions les pires bêtises sur leur lit ! J’ai pensé à eux tout en avalant goulument la bonne grosse bite de Guy. Est-ce que la taille de bite est génétique ? Si oui, il faudra peut-être que je pense à remercier son papa et sa maman en redescendant. Ils ont fait du beau boulot ! Et j’aime particulièrement son gland qui se décalotte avec beaucoup de facilité. Je l’ai avalé de tout mon soûl, dans de grandes lampées bien amples. Guy a fini par me retourner sur le lit, d’autorité. Son sexe bandant, lubrifié de ma salive, a naturellement trouvé sa place entre mes deux jambes. Il m’a tenue fermement les poignets pour que je ne bouge plus. Puis, il m’a laminée en long et en large.

Je sentais sa bonne grosse queue frotter contre ma paroi. C’était sublime. Il me murmurait plein de cochonneries à l’oreille, s’arrêtait parfois pour prendre une nouvelle photo, puis reprenait son rythme effréné. Il a fini par m’éjaculer sur le visage tout en prenant un dernier cliché. C’était dans la boîte ! Il a vidé la carte mémoire sur sa tablette, a replacé tout le matériel sous le lit, nous nous sommes rhabillés à la hâte et les avons rejoints. Guy a prétexté m’avoir montré toutes les photos de famille, depuis sa naissance : « c’est pour ça que l’on a mis autant de temps. ». J’ai pouffé de rire en imaginant celles que l’on venait de prendre, à même le lit de mes nouveaux beaux-parents. Des photos de famille, vraiment ?

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